Rue Sartoris
La rue Sartoris est une voie de communication située à La Garenne-Colombes, dans le département des Hauts-de-Seine, en France.
Rue Sartoris | ||
![]() Rue Sartoris et la poste. | ||
Situation | ||
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Coordonnées | 48° 54′ 29″ nord, 2° 14′ 54″ est | |
Pays | ![]() |
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Région | Île-de-France | |
Ville | La Garenne-Colombes | |
Début | Boulevard de la République | |
Fin | Rue Kléber | |
Morphologie | ||
Type | Rue | |
Géolocalisation sur la carte : France
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Situation et accès
modifier![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/a/a4/La_Garenne-Colombes.Rue_Voltaire.Rue_Sartoris.jpg/220px-La_Garenne-Colombes.Rue_Voltaire.Rue_Sartoris.jpg)
Cette rue commence à la rue Kléber, parallèle à la route départementale 992. Elle traverse tout d'abord l'avenue du Général-de-Gaulle, au carrefour de l'avenue Joffre.
Continuant de façon rectiligne dans la direction de l'est, elle rencontre la rue Voltaire[1].
Elle traverse par la suite le rond-point de Valpaços, où convergent aussi la rue de l'Aigle, la rue de Plaisance et la rue d'Estienne-d'Orves.
Origine du nom
modifierCette rue tient son nom du banquier Pierre-Urbain Sartoris, qui acquit la Garenne de Colombes en 1820[2].
Historique
modifier![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/c/c0/Carte_postale_-_La_Garenne-Colombes_-_Rue_de_Sartoris_prise_de_la_rue_Voltaire_-_9FI-GAC_54.jpg/220px-Carte_postale_-_La_Garenne-Colombes_-_Rue_de_Sartoris_prise_de_la_rue_Voltaire_-_9FI-GAC_54.jpg)
Lors du décès de Pierre-Urbain Sartoris en 1833, ses six enfants ne parviennent pas à se mettre d’accord avec les descendants du marquis de L’Aigle sur le partage des terrains de la Garenne de Colombes. Le domaine est morcelé pour y créer un village, les lots sont vendus aux enchères. On donna alors le nom de leur père à une des voies nouvellement créées.
Bâtiments remarquables et lieux de mémoire
modifier- Garenne de Colombes ;
- Parc Victor-Roy ;
- L'horticulteur François Fontaine y mourut à son domicile en 1897 [3];
- Gabriel-Émile Lanvin, un des frères de la couturière Jeanne Lanvin, y vécut à la fin du XIXe siècle[4].
Notes et références
modifier- La Garenne Colombes:le Retour Du Passé, « La Garenne-Colombes: le retour du passé: Histoire d'un coin de rue », sur La Garenne-Colombes, (consulté le )
- Un peu d’histoire: Église Saint-Urbain
- Aliénor Samuel-Hervé, « FONTAINE François Nicolas », sur Graines de culture (consulté le )
- Jeanne Lanvin et Colombes