Ruynes-en-Margeride

commune française du département du Cantal

Ruynes-en-Margeride est une commune française située dans le département du Cantal, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Ruynes-en-Margeride
Ruynes-en-Margeride
Le viaduc de Garabit sur la Truyère.
Blason de Ruynes-en-Margeride
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Cantal
Arrondissement Saint-Flour
Intercommunalité Saint-Flour Communauté
Maire
Mandat
François Odoul
2020-2026
Code postal 15320
Code commune 15168
Démographie
Population
municipale
714 hab. (2021 en évolution de +6,41 % par rapport à 2015)
Densité 24 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 00′ 10″ nord, 3° 13′ 27″ est
Altitude Min. 724 m
Max. 1 371 m
Superficie 29,66 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Saint-Flour
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Neuvéglise-sur-Truyère
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Ruynes-en-Margeride
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Géographie

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La commune de Ruynes-en-Margeride, traversée par le 45e parallèle nord, est de ce fait située à égale distance du pôle Nord et de l'équateur terrestre (environ 5 000 km).

Elle est située sur le versant ouest de la Margeride, sur le bord de la Truyère. Elle est traversée par la ligne ferroviaire de Béziers à Neussargues et par l'autoroute A75.

Communes limitrophes

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En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Sud-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 500 mm, minimale en été, maximale en automne[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 778 mm, avec 9,5 jours de précipitations en janvier et 6,6 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Saint-Flour à 11 km à vol d'oiseau[3], est de 8,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 800,3 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Ruynes-en-Margeride est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Flour, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 36 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[8],[9].

La commune, bordée par un plan d’eau intérieur d’une superficie supérieure à 1 000 hectares, le lac du Barrage de Grandval, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[10]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[11].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63,1 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (60,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (48,3 %), forêts (32,8 %), zones agricoles hétérogènes (14,8 %), zones urbanisées (1,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,9 %), eaux continentales[Note 2] (0,1 %)[12]. L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Habitat et logement

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En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 474, alors qu'il était de 425 en 2013 et de 410 en 2008. Parmi ces logements, 67 % étaient des résidences principales, 22,6 % des résidences secondaires et 10,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 88,7 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 10 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Ruynes-en-Margeride en 2018 en comparaison avec celle du Cantal et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (22,6 %) supérieure à celle du département (20,4 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 78,3 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (75,3 % en 2013), contre 70,4 % pour le Cantal et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Ruynes-en-Margeride en 2018.
Typologie Ruynes-en-Margeride[13] Cantal[14] France entière[15]
Résidences principales (en %) 67 67,7 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 22,6 20,4 9,7
Logements vacants (en %) 10,3 11,9 8,2

Toponymie

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Histoire

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La Ruine seigneuriale

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La première mention attestée du seigneur de Ruines date de 1119. Il s'agit alors de Gausfred de Ruines et sa femme Alcie. La famille de Ruines s'éteint au XIVe siècle[16]. La seigneurie devient une propriété de la famille Mercœur puis du dauphin d'Auvergne en 1339. Il devient une propriété de la famille de Bourbon-Montpensier en 1442.

La seigneurie fait l'objet de différentes possessions au terme des successions. Elle est achetée en 1771 par Monsieur de Lastic. Il en assure la possession jusqu'à la Révolution.

Liste des seigneurs de la famille de Ruines connus au Moyen Âge
Nom du seigneur Dates Personnes mentionnées
Gausfred de Ruines Attesté en 1119 Sa femme Alcie.
Bernard de Ruines Attesté en 1204
Pons de Ruines Attesté en 1290 En 1294, sa veuve Delphine de Ruines assure la tutelle de ses enfants mineurs.

Pendant la guerre de Cent Ans, la ville est prise par Rodrigue de Villandrando, comte de Ribadeo. Cette situation entraîne des forts conflits avec la ville de Saint-Flour.

En 1640, la ville de Ruines est particulièrement atteinte par la peste.

Histoire administrative de la commune

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De février 1790 à 1803, la Foraine de Ruines est érigée en commune.

Elle est le chef-lieu du canton de Ruynes depuis sa création jusqu'en 2015, date du redécoupage des cantons du Cantal.

En 1837, la commune absorbe celle du Morle[17], et en 1839, conjointement avec Vabres, celle de Saint-Gal[17].

Le 10 juin 1944, lors de la bataille du Mont Mouchet entre maquisards et armée allemande, 26 civils (dont deux femmes et un enfant) sont fusillés à Ruynes-en-Margeride par la SS Polizei Regiment 19. La commune est décorée de la Croix de guerre 1939-1945[18].

En 1962, la commune de Ruines change de nom pour Ruynes-en-Margeride.

Du au , elle est le siège de la communauté de communes Margeride-Truyère.

Elle est jumelée avec Le Fief-Sauvin, située en Maine-et-Loire.

Politique et administration

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Liste des maires

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Liste des maires successifs[19]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1912 1929 Pierre Hugon   Député (1898-1910 et 1914-1919). Conseiller général
du canton de Ruynes-en-Margeride (1919-1933)
1929 1933 Antoine Aubezat    
1933 1943 Jean Esbrat    
1943 1944 Justin Rolland   Conseiller d'arrondissement du canton de Ruynes-en-Margeride (1937-1940)
1944 1947 Hélène Odoul    
1947 1959 Armand Roudil    
1959 1977 Maurice Montel SFIO puis DVG Député (1936-1942 et 1945), Conseiller général
du canton de Ruynes-en-Margeride (1937-1940 et 1945-1976)
1977 1996 Louis Clavillier DVD puis UDF
puis UMP
Conseiller général du canton de Ruynes-en-Margeride
(1976-1995 et 1997-2015)
1996 2001 René Aubert    
Mars 2001 Mai 2020 Gérard Delpy DVG Retraité de l'enseignement.
Juin 2020 En cours François Odoul[20]    

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[22].

En 2021, la commune comptait 714 habitants[Note 3], en évolution de +6,41 % par rapport à 2015 (Cantal : −1,36 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
648649559625597642944859773
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
8518468218578959059601 0271 118
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 049980960902880907835757725
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
692672584591605648640639630
2015 2020 2021 - - - - - -
671712714------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[23].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est plus jeune que celle du département. En 2020, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 30,9 %, soit un taux supérieur à la moyenne départementale (26,7 %). Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (29,3 %) est inférieur au taux départemental (36,3 %).

En 2020, la commune comptait 337 hommes pour 375 femmes, soit un taux de 52,67 % de femmes, supérieur au taux départemental (51,16 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit :

Pyramide des âges de la commune en 2020 en pourcentage[I 4]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,3 
90 ou +
0,5 
9,8 
75-89 ans
9,9 
20,5 
60-74 ans
17,6 
22,8 
45-59 ans
20,8 
18,1 
30-44 ans
18,1 
11,3 
15-29 ans
13,3 
17,2 
0-14 ans
19,7 
Pyramide des âges du département du Cantal en 2021 en pourcentage[24]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,2 
90 ou +
3,1 
10,1 
75-89 ans
13,5 
22,9 
60-74 ans
22,6 
21,8 
45-59 ans
20,5 
16,1 
30-44 ans
15,2 
13,8 
15-29 ans
11,9 
14,2 
0-14 ans
13,3 

Économie

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  • Zone d'activités de Belvezet.

Culture locale et patrimoine

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Distinctions culturelles

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Ruynes-en-Margeride fait partie des communes ayant reçu l’étoile verte espérantiste, distinction remise aux maires de communes recensant des locuteurs de la langue construite espéranto.

Lieux et monuments

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Monument des fusillés
du 10 juin 1944.

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason de Ruynes-en-Margeride Blason
Coupé : au 1er d'or à la croix alésée de gueules, au 2e d'azur au mur pignonné de neuf pièces.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi

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Articles connexes

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Bibliographie

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  • Edouard Coudy, Ruynes et son canton, Le livre d'histoire, 1932.

Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références

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Site de l'Insee

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Autres sources

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Ruynes-en-Margeride et Saint-Flour », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Saint-Flour », sur la commune de Saint-Flour - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Saint-Flour », sur la commune de Saint-Flour - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  8. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Flour », sur insee.fr (consulté le ).
  9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  10. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  11. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. « Chiffres clés - Logement en 2018 à Ruynes-en-Margeride » (consulté le ).
  14. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans le Cantal » (consulté le ).
  15. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  16. Edouard Coudy, Ruynes et son canton, Le Livre d'Histoire, .
  17. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  18. Liste des communes décorées de la Croix de guerre 1939-1945.[PDF].
  19. Les maires de Ruynes-en-Margeride..
  20. Annuaire des maires du Cantal., sur le site de l'AMF15.
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  24. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Cantal (15) », (consulté le ).
  25. « École de Signalauze », notice no PA00125277, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  26. « Château fort de Ruynes-en-Margeride », notice no PA00093591, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  27. « Église Notre-Dame-de-l'Assomption », sur pays-saint-flour.fr (consulté en ).
  28. « autel (maître-autel), son retable et ses trois statues : la Vierge, saint Jean-Baptiste, saint Genès ? », notice no PM15000890, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  29. « Retable majeur, sa toile, ses statues et son autel, bois sculpté et doré, huile sur toile », sur archives.cantal.fr (consulté en ).