Saint-Étienne-de-Lauzon

quartier de Lévis, au Canada

Saint-Étienne-de-Lauzon est l'un des dix quartiers de la ville de Lévis et se retrouve dans l'arrondissement Chutes-de-la-Chaudière-Ouest, il est situé dans la province de Québec, en Chaudières-Appalaches, dans la grande région de Québec. Avant les fusions municipales de 2002, il s'agissait d'une municipalité.

Saint-Étienne-de-Lauzon
Saint-Étienne-de-Lauzon
Administration
Pays Drapeau du Canada Canada
Province Drapeau du Québec Québec
Municipalité Lévis
Statut Quartier
Arrondissement Chutes-de-la-Chaudière-Ouest
Constitution
Conseiller municipal
Mandat
M. Serge Bonin
2021-
Maire
Mandat
M. Gilles Lehouillier
2013 -
Démographie
Gentilé Stéphanois, Stéphanoise
Population 11 053 hab. (2019)
Densité 119 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 38′ 48″ nord, 71° 18′ 40″ ouest
Superficie 9 300 ha = 93 km2
Divers
Site(s) touristique(s) Exposition internationale d'auto de Lévis
Localisation
Carte
Quartiers de la ville de Lévis.

Géographie actuelle

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Le quartier de Saint-Étienne-de-Lauzon est scindé en deux par la rivière Beaurivage et est délimité à son extrême par la rivière Chaudière.

Au nord du quartier se situe le quartier de Saint-Nicolas, au nord-est le quartier de Saint-Rédempteur, au sud Saint-Lambert-de-Lauzon, au sud-ouest Saint-Gilles, à l'ouest Saint-Agapit et au nord-ouest Saint-Apollinaire.

Faits intéressants quant à la rivière Beaurivage ;

Bien que paisible durant une bonne partie de l'année, elle sort de son lit quasiment tous les printemps à cause de la fonte de la neige, du couvert de glace qui se fragilise et des pluies qui commencent. Pour mieux faire face aux inondations causées par la rivière, on utilise la "grenouille", une rétrocaveuse amphibie[1]. On a longtemps utilisé une pelle mécanique afin de casser la glace ou encore afin de creuser le fond de la rivière pour que l'eau soit moins haute, mais les résultats n'ont jamais été aussi fructueux qu'avec la rétrocaveuse amphibie.

Histoire du quartier

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1. La seigneurie de Lauzon

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Afin de comprendre la création du village, l'on se doit de remonter à l'époque de La Seigneurie de Lauzon.

Plan de La Seigneurie de Lauzon
Plan de La Seigneurie de Lauzon[2]

Tout commence en 1635, 27 ans après la création de La Ville de Québec. Simon Le Maître acquiert alors le territoire de La Seigneurie de Lauzon. 15 jours après l'acquisition, l'homme vend le territoire à Jean de Lauzon. Il est à noter que les deux hommes ne sont pas en Nouvelle-France lors du marchandisage du territoire.

Dès 1648, des lots sont concédés à Guillaume Couture et François Bissot.

Jean de Lauzon, en 1651, vient en Nouvelle-France avec ses trois fils et donne à son fils Jean La Seigneurie de Lauzon. Il nomme son fils ; Grand Sénéchal de La Nouvelle France. Charles-Joseph, fils de Jean de Lauzon (fils) hérite du territoire et lorsque celui-ci décède, la seigneurie est vendue à Thomas Bertrand.

Seigneur Bertrand, alors en France, traverse l'océan afin de disposer pleinement de ses terres. Il vend les terres, par la suite, à Georges Regnard.

En 1714, le Seigneur Étienne Charest active le commerce de la pêche et le défrichement.

Au même moment, les terres près de La Beaurivage et de La Chaudière voient leurs premiers colons arriver. Ces terres correspondent à celles de Saint-Étienne-de-Lauzon.

Lorsque la Nouvelle-France tombe aux mains des Anglais, le Gouverneur James Murray acquiert le territoire de La Seigneurie de Lauzon. À ce moment, les terres sont occupés par 802 personnes.

Après James Murray, son fils Richard reprend les terres, mais s'en occupe peu. Par la suite, Henri Caldwell reprend les terres et devient Seigneur de Lauzon.

Vers 1780-1790, la partie Ouest de la Seigneurie se colonise ainsi que le village des Grandes Pointes (Longues Pointes?, correspond à la concession Ste-Elisabeth). Ce sont des familles allemandes qui commencent à coloniser Grandes Pointes et St-Gilles.

En 1791, L'Angleterre cède aux demandes des colons ; le territoire fait maintenant partie du comté de Dorchester.

Comme la colonisation va très bien, les habitants de Grandes Pointes demande l'érection d'une chapelle en 1798.

En 1810, John Caldwell hérite du territoire et gère les terres avec succès. Il est élu à plusieurs reprises comme député du comté de Dorchester. John Caldwell fût le 11e et dernier Seigneur de La Seigneurie de Lauzon[3].

La paroisse de Saint-Étienne-de-Lauzon a été érigée civilement le 10 juillet 1861.

2. L'économie de Saint-Étienne-de-Lauzon

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La Seigneurie de Lauzon devient la propriété du Bas Canada lorsque John Caldwell décède entre 1836-1838.

Le comté de Dorchester englobe alors presque toute la seigneurie. Elle se subdivise en trois le 14 juin 1853. Le territoire est dorénavant divisé en trois comtés : Dorchester, Lévis et Beauce.

C'est seulement en 1658 que la demande d'une nouvelle paroisse se fait. En effet, les habitants travaillent presque tous dans l'agriculture et peu travaille dans les métiers connexes comme la fabrication d'outils. C'est la raison pour laquelle une paroisse est demandée, afin de revitaliser l'économie du village. Cependant, la paroisse ne sera pas érigée tout de suite.

En 1804, à cause du blocus de Napoléon Bonaparte, L'Angleterre a besoin de beaucoup de bois et c'est donc à cette année que débute réellement la coupe de bois dans La Seigneurie ce qui marque la pénétration officielle des terres de la future paroisse.

De nombreux moulins à scies sont construits en 1935 aux abords de la rivière Beaurivage. Il y a les moulins suivants ; P. Lambert, Isaïet Paquet, Moulin Ross, Baptiste Simoneau et Benjamin Dubois.

Vers 1893, un nouveau moulin est installé et emploie environ 18 hommes. Le moulin appartient à Victor Filteau et le bois flotte sur la rivière. Le moulin déménage à Charny.

En 1914, la Compagnie Beaurivage Lumber fait installé un monte-charge pour le commerce de la pulpe de bois.

Les terres de Saint-Étienne ont une riche couche de marne ce qui procure d'abondantes récoltes pour ceux et celles qui les cultivent. Jusqu'aux 1860, le blé et le sarrazin sont surtout cultivés, mais les agriculteurs de Saint-Étienne sont détronés par la concurrence des États-Unis et de l'Ouest Canadien. Ils se tournent alors vers la culture des céréales comme l'avoine et des légumes comme la patate. L'industrie laitière arrive sur le village et on envoie le lait aux beurreuries de Saint-Agapit et de Saint-Nicolas puis l'on en ouvre une au village.

Les productions du village sont vendus aux marchés de Québec et de Lévis.

En 1879, les premiers permis de vente d'alcool sont émis à Saint-Étienne. L'un est émis à Édouard Fontaine pour la station de train de La Chaudière et l'autre à Charles Tonkin pour la station de train de Craig's Road.

Le pont qui relie les deux rives de Saint-Étienne est construit en 1917 permet la revalorisation des régions rurales et de l'agriculture.

Saint-Étienne-de-Lauzon commence à devenir une banlieue de Québec vers les années 1960. De plus, la construction de grandes routes comme l'autoroute 20 et la dominance de la voiture sur le train cause la perte du secteur secondaire à Saint-Étienne et bientôt il ne reste presque que le secteur tertiaire[4].

3. Service d'incendie de Saint-Étienne-de-Lauzon

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Le quartier est actuellement desservi par la caserne 4 de la sécurité incendie de la ville de Lévis. La caserne est située au Place 1 Chamberland.

Autrefois, Saint-Étienne était desservi par les casernes des municipalités de Saint-Agapit et de Saint-Rédempteur.

Le premier poste de pompiers fût terminé de construire en 1965 et le seul camion entrait en opération en mars de cette année. Le poste avait alors coûté 5 000 $ et le camion 26 000 $. À ce moment, il n'y a que des pompiers volontaires au poste.

Démographie

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Évolution démographique
1861 1871 1881 1889 1890 1891 1901 1911 1921
7627668107357508038541 024683
1931 1941 1951 1956 1961 1966 1971 1976 1981
5886827888438681 0921 2122 1564 631
1986 1991 1996 2001 2006 2016 2019 - -
5 7857 2568 2078 8979 80010 51011 053--

Économie actuelle

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L'économie de Saint-Étienne se concentre surtout sur les commerces de vente aux détails, secteur tertiaire. Autrefois très agricole, le village se composait surtout de fermiers. Les terres agricoles furent peu à peu remplacées par des maisons unifamiliales de style bungalow. En 2016, la maison unifamiliale représentait 71% des ménages du quartier[5]. Toutefois, quelques fermes ont subsisté surtout autour du chemin Sainte-Anne.

La majorité des commerces de Saint-Étienne tournent autour de la restauration, coiffure, des soins de santé et l'alimentation.

Éducation actuelle

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Le quartier Saint-Étienne-de-Lauzon abrite trois écoles : Plein-Soleil, La Chanterelle ainsi que La Clé-du-Boisé. Les deux premières sont de niveau primaire alors que la dernière enseigne aux deux niveaux soit primaire (5e et 6e année) et secondaire (1re et 2e secondaire). Ces trois écoles faisaient partie de la Commission scolaire des Navigateurs (CSDN)[6]. Cependant, à la suite des changements apportés par la loi 40, elles font, maintenant, partie du Centre de services scolaires des Navigateurs (CSSDN)[7].

L'éducation passée à Saint-Étienne-de-Lauzon

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1. La commission scolaire de Saint-Étienne-de-Lauzon

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Bien avant le Centre de services scolaires des Navigateurs (CSSDN), il exista d'autres commissions scolaires et d'autres écoles dans la région de Saint-Étienne.

En 1861, la première commission scolaire était la Commission scolaire de Saint-Étienne-de-Lauzon. Sa première assemblée fut le 3 octobre 1861 et lors de sa deuxième assemblée, on prit la décision de créer quatre arrondissements à Saint-Étienne. On note aussi que l'année de création de la commission coincide avec l'année de création de la paroisse de Saint-Étienne.

De plus, à l'époque on ne parlait pas du Ministère de l'Éducation, mais du Département de l'Instruction Publique.

À cette époque existait, donc cinq écoles dans la région ;

1.1 Craig's Road #1
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Cette école était située dans une maison près de l'ancienne station du chemin de fer Craig's Road. Aujourd'hui, elle aurait été située sur la 116 (route des Rivières en direction de St-Gilles et St-Agapit). Cette école fonctionna jusqu'en 1954 et à partir de cette année on utilisa la nouvelle école qui respectait plus les normes de l'époque. Cette dernière fut utilisée jusqu'en 1963.

1.2 Village ; École de L'église ou Petite École du Village #2
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Cette école était située tout juste en face de l'église près du salon funéraire sur l'actuelle 116. Elle fut déménagée lors de sa vente. Jusqu'en 1943, tous les élèvent qui fréquentaient cette école allaient sur ces lieux. Cependant, après 1943, elle devint trop petite et on loua un local durant plusieurs années pour les 1ères, 2e et 3e chez M. Maurice Roy. Les autres années jusqu'en 7e allaient toujours à l'école et non au local.

1.3 Saint-Denis ; Le Bas Saint-Denis ou Le Bas de La Paroisse #3
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L'école était située sur le terrain de M. James Doyle, près de Saint-Rédempteur et du Moulin des Arts d'Albert-Rousseau. Comme il n'y avait presque pas d'enfants près de l'école, elle fut presque toujours fermée.

1.4 Saint-André ; Le haut Saint-Denis, concession Saint-André ou Le Sault #4
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Cette école était plus vaste que les autres et fut située près de la rivière Chaudière.

1.5 #5 Sainte-Anne ; École du Sud de la Rivière ou École du su
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Cette école était située de l'autre côté de la rivière Beaurivage sur le chemin Sainte-Anne.

2. Un couvent à Saint-Étienne-de-Lauzon

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En 1950, le couvent qui vient d'être construit au village ouvre ses portes au religieuses qui veilleront à l'éducation des jeunes écoliers. À ce moment, toutes les petites écoles de Saint-Étienne avaient été fermées.

Attraits touristiques

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L'aréna Centre Bruno-Verret en décembre 2020

On retrouve l'aréna Centre Bruno-Verret[8] qui a été agrandie au fil des années. Elle abrite, maintenant, une patinoire de taille standard ainsi qu'une de taille olympique. Juste en face de l'aréna, se situe le local du 121e groupe scout[9].

On retrouve de nombreux parcs au sein du quartier : des Grandes-Pointes, Ludger-Bastien, des Aînés, Jean-de-Lauzon, Gilles-Rageot, Martin, L'Art-de-Vivre.

On retrouve au centre du quartier, l'exposition internationale d'autos de Lévis[10] appartenant à Jean-Guy Sylvain[11], propriétaire de l'hôtel Le Concorde[12].

La religion à Saint-Étienne-de-Lauzon

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Église de Saint-Étienne-de-Lauzon

1. La première chapelle

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La première cloche de la première chapelle de la paroisse de Saint-Étienne-de-Lauzon fut baptisé le 12 décembre 1861 et nommée Josephte-Stéphanie. Il s'agissait d'une bonne nouvelle pour les résidents de la paroisse puisque qu'on n'avait pu à se déplacer à Saint-Nicolas ou Saint-Lambert. Cela signifie aussi que le Curé de Saint-Nicolas, Étienne Baillargeon, n'a plus besoin de se déplacer tout le long de la rivière Beaurivage afin de rencontrer ses paroissiens.

1.1 La première et actuelle église

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L'église de Saint-Étienne-de-Lauzon fut érigée en 1904 et fêtait son centenaire en 2004. Pour l'occasion du centenaire, on revampa le plancher du chœur et le remplaça par du bois franc. On vendit aussi certaines parties de l'ancien tapis rouge.

L'église fait partie de la Paroisse Saint-Nicolas-de-Lévis[13] qui regroupe les églises suivantes : Saint-Étienne, Saint-Nicolas et Très-Saint-Rédempteur.

2. Les curés résidents de Saint-Étienne-de-Lauzon

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Tableau 2 - Liste des curés résidents de Saint-Étienne-de-Lauzon 1861-1981[14]
Prénoms et noms des abbés dates de résidence
C. Lafontaine 1861-1862
Joseph-Honoré Desruisseaux 1862-1865
Pierre-H. Beaudet 1865-1866
G.-F. Casgrain 1866-1873
P. Talbot 1873-1874
Pantaléon Bégin 1874-1881
Louis-David Guérin 1881-1883
Joseph-Édouard Roy 1883-1891
F.-N.-Albert Rouleau 1891-1899
J.-Denis Garon 1899-1912
Jean-Jacques Blais 1912-1933
Amédée Létourneau 1933-1940
Napoléon Tanguay 1940-1945
Louis-Philippe Blais 1945-1968
Ovila Labrecque 1968-1974
Monseigneur Jacques Garneau 1974-1976
Brunot Verret 1976-1981
Gérard Moffet 1981-?

3. Les religieuses de Saint-Étienne-de-Lauzon

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Tableau 3 - Liste exhaustive des religieuses de Saint-Étienne-de-Lauzon[15]
Prénoms et noms Noms de sœur Congrégation Année d'arrivée
Germaine Guay Sr St-Louis-Émile Sœurs de Sainte-Chrétienne-de-Giffard 1950
Cécile Goulet Sr Ste-Marie-Bertille Sœurs de Sainte-Chrétienne-de-Giffard 1950
Cécile Goupil Sr Ste-Marie-Alphonsine Sœurs de Sainte-Chrétienne-de-Giffard 1950
Hélène Berger Sr Ste-Marie-Juliette Sœurs de Sainte-Chrétienne-de-Giffard 1950
Édith Beaudoin Sr Édith Beaudoin Sœurs de Sainte-Chrétienne-de-Giffard ?
Charlotte Lachance Sr Charlotte Lachance Sœurs de Sainte-Chrétienne-de-Giffard ?
Agathe Bilodeau Sr Agathe Bilodeau Sœurs de Sainte-Chrétienne-de-Giffard ?
Georgette Forunier Sr Georgette Fournier Sœurs de Sainte-Chrétienne-de-Giffard ?
Andrée Gagnon Sr Andrée Gagnon Sœurs de Sainte-Chrétienne-de-Giffard ?

Listes des politiciens et politiciennes de Saint-Étienne-de-Lauzon

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Tableau 4 - Liste des maires et mairesses de la paroisse de Saint-Étienne-de-Lauzon 1865-1956 [16]
Prénoms et Noms Métier Années de mandat Plus d'un mandats
Joseph Olivier cultivateur 1865-1866
Évangéliste Desrochers cultivateur 1866-1868
Octave Hallée cultivateur 1868-1872
Louis Laberge cultivateur 1872-1874
Pierre Arguin cultivateur 1874-1875
Nazaire Fréchette cultivateur 1875-1878
Victor Plante marchand 1878-1881 1 de 2
Ferdinand Gosselin cultivateur 1881-1884 1 de 2
Nazaire Dubois cultivateur 1884-1885 1 de 2
Victor Plante marchand 1885-1888 2 de 2
Xavier Bilodeau marchand 1888-1889
Modeste Demers cultivateur 1889-1890 1 de 2
Ferdinand Gosselin cultivateur 1890-1892 2 de 2
Bazile Bolduc cultivateur 1892-1895 1 de 3
Modeste Demers cultivateur 1895-1896 2 de 2
Israël Lafontaine cultivateur 1896-1897 1 de 2
Victor Filteau industriel 1897-1899
Nazaire Dubois cultivateur 1899-1903 2 de 2
Louis Béland cultivateur 1903-1905
Israël Lafontaine cultivateur 1905-1906 2 de 2
Joseph Gosselin industriel 1906-1907
Modeste Bilodeau cultivateur 1907-1908
Samuel Belleau cultivateur 1908-1909 1 de 2
Bazile Bolduc cultivateur 1909-1915 2 de 3
Calixte Bolduc cordonnier 1915-1915
Edmond Dubois cultivateur 1915-1917
Bazile Bolduc cultivateur 1917-1919 3 de 3
Samuel Belleau cultivateur 1919-1921 2 de 2
Octave Olivier cultivateur 1921-1923 1 de 3
Napoléon Arguin cultivateur 1923-1931
Octave Olivier cultivateur 1931-1933 2 de 3
Eugène Desrochers forgeron 1933-1939
Octave Olivier cultivateur 1939-1941 3 de 3
Victor Marois cultivateur 1941-1942
Wilfrid Huot cultivateur 1942-1943 1 de 2
Aristide Rousseau emp. C.N.R 1943-1946
Wilfrid Huot cultivateur 1947-1955 2 de 2
Tableau 5 - Liste des maires et mairesses de la municipalité de Saint-Étienne 1957-1984[16],[17]
Prénoms et noms Métier années de mandats plus d'un mandats
Mme Aristide Rousseau ménagère 1955-1959
Joseph Béland cultivateur 1959-1963
Maurice Huot emp. Anglo 1963-1967
Fernand Laberge cultivateur 1967-1973
Georges-Émile Huot industriel 1973-1979
Jean-Guy Béland dist. d'huile 1979-1985
Tableau 6 - Liste des maires et mairesses de la municipalité de Saint-Étienne-de-Lauzon 1985-2002[16],[17]
Prénoms et noms Métier années de mandats plus d'un mandats
Normand Henri fonctionnaire 1985-1989
Gilles Saindon ? 1989-1992
Christian Jobin ? 1992-2002
Tableau 7 - Liste des maires et mairesses de la Ville de Lévis à la suite des fusions municipales de 2002
Prénoms et noms années de mandats Parti municipal
Jean Garon 1998-2005 Parti des Citoyens et des citoyennes
Danielle Roy-Marinelli 2005-2013 Lévis Force 10
Gilles Lehouillier 2013-aujourd'hui Lévis Force 10
Tableau 8 - Liste des conseillers municipaux du quartier de Saint-Étienne-de-Lauzon à partir de 2002[18],[19]
Prénoms et noms années de mandats Parti municipal
Inconnu? 2002?-2009? Lévis Force 10?
Mario Fortier 2009-2021 Lévis Force 10
Serge Bonin 2021-aujourd'hui Repensons Lévis

Notons que le nom du territoire de Saint-Étienne-de-Lauzon évolue au cours de sa vie ;

De 1861 à 1956 : Paroisse de Saint-Étienne-de-Lauzon

De 1957 à 1984 : Municipalité de Saint-Étienne

De 1985 à 2002 : Municipalité de Saint-Étienne-de-Lauzon

De 2003 à aujourd'hui : Quartier de Saint-Étienne-de-Lauzon de la ville de Lévis

Faits Intéressants quant aux mandats

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Mme Aristide Rousseau est la première femme à siéger au pouvoir de la paroisse de 1955 à 1959.

Bazile Bolduc et Octave Olivier ont chacun eu droit à 3 mandats, respectivement 14 ans et 9 ans de mandats au total.

Serge Bonin est le seul député adverse à être élu de toutes les circonscriptions de Lévis en 2021.

Liste des secrétaires-trésoriers de Saint-Étienne-de-Lauzon

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Photos des secrétaires-trésoriers[20]
Tableau 9 - Liste des secrétaires trésoriers de Saint-Étienne-de-Lauzon 1866-1982[21]
Prénoms et noms Métier Date de mandat
Isaac Croteau cultivateur 9 avril 1866
Stanislas Plante cultivateur 9 avril 1872
François Martel cultivateur 4 février 1878
Hilaire Bélanger cultivateur 4 février 1901
N. A. Demers électricien 7 juin 1921
Oscar Bourgault notaire 7 mars 1922
Wilfrid Dubois cultivateur 6 février 1923
Louis-Georges Huot cultivateur 4 juin 1956
Gérard Dubois cultivateur 1 juin 1964
Richard Demers ? 8 août 1982

Personnalités nées à Saint-Étienne-de-Lauzon

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Personnalités ayant vécu à Saint-Étienne-de-Lauzon

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Notes et références

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  1. « Une pelle «grenouille» sur la rivière Beaurivage », sur TVA Nouvelles (consulté le )
  2. Saint-Etienne-de-Lauzon 1861-1986, Sherbrooke, Éditions Louis Bilodeau et Fils ltée, , 327 p., p. 9
  3. Saint-Etienne-de-Lauzon 1861-1986, Sherbrooke, Éditions Louis Bilodeau et Fils ltée, , 327 p., p. 8
  4. Saint-Etienne-de-Lauzon 1861-1986, Sherbrooke, Éditions Louis Bilodeau et Fils ltée, , 327 p., p. 10-11
  5. « Profil statistique de Lévis »
  6. « Le CSSDN - Centre de services scolaire des Navigateurs », sur csdn.qc.ca via Internet Archive (consulté le ).
  7. « CSSDN »
  8. « Centre Bruno Verret », sur centrebruno-verret.com (consulté le )
  9. « http://121groupestetienne.com/ » (consulté le )
  10. « International Lévis Auto Show », sur www.internationallevisautoshow.com (consulté le )
  11. « Jean-Guy Sylvain: l'homme qui veut faire tourner Le Concorde », sur Le Soleil, (consulté le )
  12. « Hôtel Le Concorde Québec », sur Hôtel Le Concorde Québec (consulté le )
  13. « PAROISSE SAINT-NICOLAS-DE-LÉVIS », sur sndl.org (consulté le )
  14. Saint-Étienne-de-Lauzon 1861-1986, Sherbrooke, Éditions Louis Bilodeau et Fils ltée, , 327 p., p. 28-34
  15. Saint-Étienne-de-Lauzon 1861-1986, Sherbrooke, Éditions Louis Bilodeau et Fils ltée, , 327 p., p. 44
  16. a b et c Saint-Etienne-de-Lauzon 1861-1986, Sherbrooke, Éditions Louis Bilodeau et Fils ltée, , 327 p., p. 14,15,16
  17. a et b Janko Pavsic, « Saint-Étienne-de-Lauzon (municipalité) 24.9.1860 - 1.1.2002 », sur www.mairesduquebec.com (consulté le )
  18. « Mario Fortier - candidat dans Saint-Étienne », sur Lévis Force 10 (consulté le )
  19. Ville de Lévis, « Présentation des élus », sur www.ville.levis.qc.ca (consulté le )
  20. Saint-Etienne-de-Lauzon, Sherbrooke, Éditions Louis Bilodeau et fils ltée, , 327 p., p. 17
  21. Saint-Étienne-de-Lauzon 1861-1986, Sherbrooke, Éditions Louis Bilodeau et Fils ltée, , 327 p., p. 17
  22. « Le mystère Pauline Marois », sur La Presse, (consulté le )

Annexes

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Articles connexes

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Liens externes

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