Saint-Barthélemy-de-Séchilienne

commune française du département de l'Isère

Saint-Barthélemy-de-Séchilienne est une commune française située dans le département de l'Isère et la région Auvergne-Rhône-Alpes.

Saint-Barthélemy-de-Séchilienne
Saint-Barthélemy-de-Séchilienne
Le village vu du col de la Madelaine (le quart supérieur à droite de l'image).
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Isère
Arrondissement Grenoble
Intercommunalité Grenoble-Alpes Métropole
Maire
Mandat
Gilles Strappazzon
2020-2026
Code postal 38220
Code commune 38364
Démographie
Gentilé les Cujalas
Population
municipale
426 hab. (2021 en évolution de −6,17 % par rapport à 2015)
Densité 35 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 02′ 36″ nord, 5° 49′ 31″ est
Altitude 450 m
Min. 301 m
Max. 1 925 m
Superficie 12,10 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Grenoble
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de l'Oisans-Romanche
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Géographie

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Vue générale de Saint-Barthélemy-de-Séchilienne depuis les hauteurs de Séchilienne.

Situation et description

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La commune est située au sud de Grenoble, dans la vallée de la Romanche. Elle est composée de plusieurs hameaux : Le village, le Sappey, Montfalcon, Belle-Lauze. Le bourg central est l'agglomération la plus peuplée de la commune et regroupe la plupart des services (mairie, école…).

Communes limitrophes

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Communes limitrophes de Saint-Barthélemy-de-Séchilienne
Vizille Séchilienne Livet-et-Gavet
Laffrey Saint-Barthélemy-de-Séchilienne
Cholonge La Morte

Géologie

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En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Alpes du nord » et « Alpes du sud »[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 19,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 284 mm, avec 10,3 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lavaldens », sur la commune de Lavaldens à 8 km à vol d'oiseau[3], est de 8,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 241,5 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Hydrographie

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Le territoire de la commune est bordé par la Romanche, un affluent du Drac, dans sa partie septentrionale.

Voies de communication

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La commune est traversée par la RD 113 qui la relie à Laffrey et la RD 114 qui la relie à la vallée de la Romanche et l'ancienne route nationale 91 qui permet de rejoindre Vizille et Grenoble.

Urbanisme

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Typologie

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Au , Saint-Barthélemy-de-Séchilienne est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle est située hors unité urbaine[8]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Grenoble, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[8]. Cette aire, qui regroupe 204 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[9],[10].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (88,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (88 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (88,1 %), zones agricoles hétérogènes (11,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,4 %), prairies (0,1 %)[11]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques naturels et technologiques

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Risques sismiques

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Bien que situé en limite méridionale de la zone de sismicité n°4 (sur une échelle de 1 à 5), le territoire de la commune de Saint-Barthélemy-de-Séchilienne est déclaré en zone de sismicité n°3 (modérée), comme sa voisine, la commune de Laffrey, située sur le plateau matheysin et la plupart des communes de la vallée de la Romanche[12].

Terminologie des zones sismiques[13]
Type de zone Niveau Définitions (bâtiment à risque normal)
Zone 3 Sismicité modérée accélération = 1,1 m/s2

Autres risques

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Hameaux, lieux-dits et écarts

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Le hameau du Sapey est situé au-dessus, il surplombe le village ; il n'y a pas de route permettant de relier directement les deux hameaux. Le hameau de Montfalcon est accessible par la D 113 en direction de Laffrey et le hameau de Belle-Lauze est accessible par la D 114 en direction de l'Alpe du Grand Serre. Le territoire communal comprend aussi la plaine de l'Ile Falcon, dans laquelle se trouvait autrefois un hameau dont les habitants ont dû être expropriés du fait de son emplacement, en face des Ruines de Séchilienne.

Toponymie

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Histoire

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Aucune présence de maisons fortes ou châteaux du Moyen Âge n'est attestée sur le territoire de la commune[14].

Dans les années 1980, l'accentuation des mouvements d'un versant montagneux de la chaîne de Belledonne nommé ruines de Séchilienne fait craindre un effondrement de grande ampleur de cette partie de montagne avec un risque pour le hameau de l'Ile Falcon situé en contrebas, la route (la route nationale 91, devenue plus tard route départementale 1091) mais aussi de barrage se créant sur la Romanche, engendrant alors des risques d’inondation en amont de cet éventuel barrage naturel, mais aussi un risque de rupture inopinée de celui-ci avec des conséquences importantes sur les communes en aval[15]. Cela a entraîné une mise sous surveillance plus forte du versant montagneux à partie de 1985 et des réaménagements des installations humaines en contrebas (pour le hameau, d'abord une inconstructibilité, puis des expropriations et déconstructions qui se terminent en 2011 ; et, en parallèle, la déconstruction d'une usine hydroélectrique, le déplacement de la route (avec une première déviation en 1986, puis une déviation plus importante inaugurée dans les années 2010), et des travaux sur la Romanche dans cette zone)[15],[16]. Le risque est considéré moindre depuis le début des années 2010, mais les aménagements et la surveillance se sont poursuivis[15],[17]. Pour la commune, c'est plus de 300 habitants (environ la moitié de la population communale à cette période) qui sont amenés, en quelques années, à se reloger ailleurs que dans le hameau de l'ile Falcon[16],[17].

À la fin des années 2010, la commune engage la réalisation d'une bibliothèque et d'une cantine scolaire, tout en menant en parallèle des travaux de rénovation de la mairie[16]. Cela fait partie d'un plan de redynamisation[16].

Politique et administration

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Administration municipale

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Liste des maires

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Liste des maires successifs[18].
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1870 21 septembre 1870 Paulin Chaix    
21 septembre 1870 14 mai 1871 Étienne Clavel   Le citoyen Étienne Clavel fait fonction de Maire
14 mai 1871 8 octobre 1876 Étienne Clavel    
8 octobre 1876 23 janvier 1881 Henri Clavel    
23 janvier 1881 20 mai 1888 Jean Sibillat fils    Jean Sibillat fils a été élu le , puis réélu le et le
20 mai 1888 15 mai 1892 André Mistral    
15 mai 1892 17 mai 1908 Frédéric Micoud    Frédéric Micoud a été élu le , puis successivement réélu le , le et le
17 mai 1908 10 décembre 1919 Léon Poncet    Léon Poncet a été élu le et réélu le
10 décembre 1919 19 août 1926 Adolphe Naud    
29 août 1926 10 juillet 1932 Frédéric Fiat    Frédéric Fiat a été élu le et réélu le
10 juillet 1932 19 mai 1935 André Micoud    
19 mai 1935 19 février 1950 Joseph Biston    
19 février 1950 8 mai 1953 Alfred Angelin    
8 mai 1953 19 mars 1959 Jean Antoine Cancade    
19 mars 1959 21 mars 1965 Frédéric Perret    
21 mars 1965 12 avril 1970 Cyrille Poujol    
12 avril 1970 27 mars 1971 Marcel Fiat    
27 mars 1971 12 juin 1995 Jourdan Strappazzon DVG  Jourdan Strappazzon a été élu le puis successivement réélu le , le et le
12 juin 1995 En cours Gilles Strappazzon PS Retraité
Conseiller général du Canton de Vizille (2008-2015)
Conseiller départemental du Canton de l'Oisans-Romanche depuis 2015
Gilles Strappazzon a été élu le puis successivement réélu le , le , le et le .
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[20].

En 2021, la commune comptait 426 habitants[Note 2], en évolution de −6,17 % par rapport à 2015 (Isère : +2,71 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
7137828679109981 040992943863
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
766751728726703702693661596
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
583562486391376396458395363
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
355361358525635530449479439
2021 - - - - - - - -
426--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[22].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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La commune est rattachée à l'académie de Grenoble.

Médias

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Historiquement, le quotidien à grand tirage régional Le Dauphiné libéré consacre de façon régulière dans son édition de Grenoble et du sud-Isère, un ou plusieurs articles à l'actualité de la commune, de l'agglomération, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations, les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local.

Économie

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Culture et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • L'église Saint-Barthélemy de Saint-Barthélemy-de-Séchilienne du XVIe siècle[14].
  • Au Champ-de-la-Cour, maison natale de Camille Gauthier[14].
  • Ancienne mairie et écoles.
  • La zone de l'ancien hameau de l'Île Falcon, jadis expropriée sous la menace des Ruines de Séchilienne, sera réhabilitée avec la création d'un Espace Naturel Sensible (ENS), inséré dans le projet hydroélectrique Romanche-Gavet en qualité de renaturation d'une zone artificialisée[23].

Personnalités liées à la commune

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  • Gilles Strappazzon, conseiller général de l'Isère.
  • Camille Gauthier, colonel de l'armée napoléonienne[14].

Héraldique

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Saint-Barthélemy-de-Séchilienne possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Saint-Barthélemy-de-Séchilienne et Lavaldens », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Lavaldens », sur la commune de Lavaldens - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Lavaldens », sur la commune de Lavaldens - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  8. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Barthélemy-de-Séchilienne ».
  9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Grenoble », sur insee.fr (consulté le ).
  10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  12. Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité
  13. [1]
  14. a b c et d Eric Tasset, Châteaux forts de l'Isère : Grenoble et le Nord de son arrondissement, Grenoble, éditions de Belledonne, , 741 p. (ISBN 978-2-911148-66-8), p. 435.
  15. a b et c Centre d’études et d’expertise sur les risques, l’environnement, la mobilité et l’aménagement (Cerema), « Mouvement de versant montagneux instable : une instrumentation depuis 1985 du versant de Séchilienne », sur cerema.fr, (consulté le ).
  16. a b c et d C. F., « Isère sud. Effondrement des ruines de Séchilienne: retour sur trente ans de risques », sur ledauphine.com, (consulté le ).
  17. a et b Geneviève Decrop, « La montagne, le hameau et le prophète de malheur », Ethnologie française, vol. Vol. 34, no 1,‎ , p. 49–57 (ISSN 0046-2616, DOI 10.3917/ethn.041.0049, lire en ligne, consulté le )
  18. source liste des maires obtenue par la mairie de Saint Barthélémy de Séchilienne le 4 avril 2017
  19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  23. EDF, Favoriser la biodiversité : un impératif pour EDF, Romanche Energie, n. 9, mars 2012.

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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