Saint-Georges-le-Fléchard

commune française du département de la Mayenne

Saint-Georges-le-Fléchard est une commune française, située dans le département de la Mayenne en région Pays de la Loire, peuplée de 377 habitants[Note 1].

Saint-Georges-le-Fléchard
Saint-Georges-le-Fléchard
La mairie-école.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Mayenne
Arrondissement Mayenne
Intercommunalité Communauté de communes des Coëvrons
Maire
Mandat
Arlette Leutelier
2020-2026
Code postal 53480
Code commune 53220
Démographie
Gentilé Fléchardais
Population
municipale
377 hab. (2021 en évolution de −9,37 % par rapport à 2015)
Densité 45 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 02′ 12″ nord, 0° 30′ 36″ ouest
Altitude Min. 70 m
Max. 112 m
Superficie 8,44 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Laval
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Meslay-du-Maine
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Saint-Georges-le-Fléchard
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Saint-Georges-le-Fléchard
Liens
Site web http://www.saint-georges-le-flechard.fr

La commune fait partie de la province historique du Maine[1], et se situe dans le Bas-Maine.

Géographie

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Cette commune est situé à l'est du Massif armoricain. Sa géologie présente donc des faciès très variés et a permis l'ouverture de carrières et de mines au XIXe siècle. Comme un drapeau, la géologie présente trois bandes : au nord-est des rhyolites, au milieu le bourg est bâti sur les calcaires de Sablé, au sud-ouest on retrouve les schistes de Laval et des limons. Situé à 105 mètres d'altitude, la Vaige(rivière) et l'Ouette (rivière) sont les principaux cours d'eau qui servent de limites communales. La commune est situé non loin de la route nationale Laval-Le Mans et depuis à peu de distance de l'autoroute A81 avec sa sortie à Vaiges.

Communes limitrophes

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Communes limitrophes de Saint-Georges-le-Fléchard
Soulgé-sur-Ouette Vaiges
Bazougers Saint-Georges-le-Fléchard
La Bazouge-de-Chemeré

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

  • Moyenne annuelle de température : 11,2 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,2 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,8 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 13,8 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 756 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,2 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et en service de 1993 à 2020 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques[8]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

Statistiques 1981-2010 et records ST-GEORGES-LE-FLECHARD (53) - alt : 90 m 48° 02′ 06″ N, 0° 32′ 18″ O
Statistiques établies sur la période 1993-2010 - Records établis sur la période du 01-04-1993 au 31-12-2020
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 2,1 2,3 3,4 4,9 8,6 11 12,7 12,7 10 8,3 4,5 2,1 6,9
Température moyenne (°C) 5,1 6 8,1 10,3 14 17,2 18,9 19 15,8 12,6 7,9 5,1 11,7
Température maximale moyenne (°C) 8,1 9,8 12,7 15,7 19,4 23,3 25,1 25,3 21,6 16,9 11,4 8,1 16,5
Record de froid (°C)
date du record
−12,5
02.01.1997
−15,4
11.02.12
−11
01.03.05
−4,6
11.04.03
−2,7
06.05.19
0,8
01.06.06
4
30.07.15
4
26.08.18
0,5
26.09.10
−4
30.10.1997
−8,3
22.11.1993
−10,4
29.12.05
−15,4
2012
Record de chaleur (°C)
date du record
15,2
09.01.07
20
27.02.19
23,1
30.03.17
29,1
21.04.18
31,5
27.05.05
38,8
29.06.19
40,2
25.07.19
40
10.08.03
34,5
14.09.20
30,2
02.10.11
21,1
01.11.15
17,3
07.12.00
40,2
2019
Précipitations (mm) 83,2 66,3 56,3 59,9 60,4 49,6 58,2 40,7 74,9 79,6 78,7 90,6 798,4
Source : « Fiche 53220001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base


Urbanisme

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Typologie

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Au , Saint-Georges-le-Fléchard est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Laval, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[10]. Cette aire, qui regroupe 66 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (58 %), prairies (41,7 %), zones agricoles hétérogènes (0,2 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

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le nom d'origine au XIIe siècle est St George le Feschal qui est devenu au XVIIe siècle St Georges le Fléchard, nous dit l'abbé Angot. Nom sans doute lié à la Famille de Feschal et de leurs terrains : les Feuchauds.

Le gentilé est Fléchardais.

Histoire

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Les mines

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De 1825 à 1896, les mines de charbon de La Bazouge-de-Chemeré et de Saint-Georges-le-Fléchard étaient florissantes et le maire était directeur de la mine. Elles extrayaient de l'anthracite pour les fours à chaux de la région. La chaux était achetée par les agriculteurs pour le chaulage de leurs terres mais à la fin du XIXe siècle les engrais sont arrivés, la chaux ne s'est plus vendue et les fours à chaux se sont arrêtés. Les mines ne fournissant qu'un anthracite ordinaire, le meilleur du département cependant, n'avaient pas d'autres débouchés et se sont brutalement arrêtées, créant une crise majeure dans les deux bourgs que racontent les instituteurs dans les monographies de leurs communes qu'ils ont rédigés en 1899.

Le chemin de fer

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Saint-Georges-le-Fléchard était desservi par la ligne de chemin de fer départemental reliant Laval à Saint-Jean-sur-Erve. Cette ligne fut ouverte à l'exploitation le . À partir du , le service fut transféré sur route. En 1935, seuls vingt-quatre trains spéciaux circulèrent sur la ligne qui fut définitivement fermé le 1er mai 1935.

En 1902, la halte de Saint-Georges-le-Fléchard avait accueilli 2 773 voyageurs[14].

Politique et administration

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Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
1921 1958 Jean-Baptiste Landelle   Métayer
1958 1977 Gaston Moreau   Fermier
1977 1983 Claude Morineau    
1983 1989 Marguerite Aviat   Sans profession
1989 2002 Gérard Bourny SE Technicien agricole
2003 2008 Francis Daligault SE  
2008[15] En cours Arlette Leutelier[16] SE Technicienne électronique retraitée
Les données manquantes sont à compléter.

Le conseil municipal est composé de onze membres dont le maire et trois adjoints[16].

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[18].

En 2021, la commune comptait 377 habitants[Note 6], en évolution de −9,37 % par rapport à 2015 (Mayenne : −0,65 %, France hors Mayotte : +1,84 %). Saint-Georges-le-Fléchard a compté jusqu'à 600 habitants en 1851.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
400365318360425437470550600
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
520494439454504506461434327
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
330331330292307256254235241
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
224200140152189237288300382
2015 2020 2021 - - - - - -
416380377------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[20].)
Histogramme de l'évolution démographique

Le pic de population de 1825 à 1850 s'explique par le développement de l'activité minière qui n'était pas encore très mécanisée. Puis la mécanisation fit diminuer le nombre d'ouvriers. Enfin l'arrêt brutal des mines prolongea la diminution par le départ des ouvriers et la diminution des services. Ensuite l'exode rural se poursuivit se stabilisant entre les deux guerres puis s'effondrant dans les années 1970 et complètement inversé depuis 1980 (sortie de d'autoroute à Vaiges) et le retour à la campagne de travailleurs du bassin de Laval.

Manifestations culturelles et festivités

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Sports et loisirs

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Vie associative

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Médias

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Économie

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Les carrières (ardoise, porphyre) et les mines d'anthracite se sont arrêtées depuis longtemps. Mais à l'époque des mines cette industrie a permis au maire, directeur des mines, de financer la construction des écoles en passant des emprunts aidés par l'état, contrairement aux communes voisines qui ont utilisé des donations de riches propriétaires et de religieuses et ont construit de fait quatre écoles au lieu de deux. C'est ce qu'on peut lire dans les monographies des instituteurs écrites en 1899.

L'économie est aujourd'hui à 37% agricole, à 25% réparation automobiles, à 16% services publics, à 12% industrie et construction...

Lieux et monuments

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Il ne reste que quelques souvenirs industriels des mines comme Mazagran ou le Chalet des mines

Activité et manifestations

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Jumelages

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Le jumelage de la communauté de communes d'Erve et Charnie, avec Sulzheim (Rhénanie-Palatinat) a été initié en 1966 par Victor Julien conseiller général, maire de Thorigné-en-Charnie, et Adam Becker, dans la famille duquel Victor Julien avait été prisonnier de guerre de 1940 à 1945.

Personnalités liées à la commune

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  • Michel Jacquet dit Taillefer (1754 - 1796), chef chouan qui le se fit battre à Saint-Georges-le-Fléchard par les troupes du général Œhlert et fut tué non loin de là à Vaiges.

Héraldique

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Blason de Saint-Georges-le-Fléchard Blason
D'azur au chevron cousu de gueules, accompagné en chef de deux étoiles d'argent et en pointe d'un cœur du même[21].
Détails
* Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (gueules sur azur).
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi

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Bibliographie en ligne

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Cartographie en ligne

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Notes et références

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  1. Population municipale 2021.
  2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
  3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Claude-Marin Saugrain, Dictionnaire universel de la France ancienne et moderne et de la Nouvelle France, vol. 3, , p. 324
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
  8. « Fiche du Poste 53220001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Georges-le-Fléchard ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Laval », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. Un demi-siècle de petits trains en Mayenne, Pierre-Alain Menant, Éditions du Petit Pavé.
  15. « Arlette Leutelier nouveau maire de la commune », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  16. a et b Réélection 2020 : « Saint-Georges-le-Fléchard. Arlette Leutelier, élue maire, part pour un 3e mandat », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  17. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  18. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  19. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  20. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  21. « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).

Liens externes

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