Saint-Gilles (Indre)

commune française du département de l'Indre

Saint-Gilles est une commune française située dans le département de l'Indre, en région Centre-Val de Loire.

Saint-Gilles
Saint-Gilles (Indre)
L'église en 2010.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Indre
Arrondissement Le Blanc
Intercommunalité Communauté de communes Marche Occitane - Val d'Anglin
Maire
Mandat
Spike Groen (REC)
2020-2026
Code postal 36170
Code commune 36196
Démographie
Gentilé Saint-Gillois
Population
municipale
94 hab. (2021 en évolution de −12,15 % par rapport à 2015)
Densité 12 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 29′ 45″ nord, 1° 26′ 44″ est
Altitude Min. 162 m
Max. 259 m
Superficie 7,68 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Argenton-sur-Creuse
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Gaultier
Législatives Première circonscription
Localisation
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Saint-Gilles
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Saint-Gilles
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Saint-Gilles
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Saint-Gilles

Géographie

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Localisation

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La commune est située dans le sud[1] du département, dans la région naturelle du Boischaut Sud.

Les communes limitrophes[1] sont : Chazelet (3 km), Parnac (3 km), Vigoux (4 km), Saint-Civran (6 km) et Roussines (6 km).

Les communes chefs-lieux[1] et préfectorales sont : Saint-Gaultier (18 km), Le Blanc (35 km), Châteauroux (41 km), La Châtre (42 km) et Issoudun (66 km).

Carte
Localisation de la commune de Saint-Gilles

Hameaux et lieux-dits

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Les hameaux et lieux-dits de la commune sont : Abloux, Chanteloube, le Moulin de Chanteloube et le Moulin de Saint-Gilles[2].

Géologie et hydrographie

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La commune est classée en zone de sismicité 2, correspondant à une sismicité faible[3].

Le territoire communal est arrosé par la rivière Abloux[2], de plus il possède les sources du ruisseau Chinan[2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Centre et contreforts nord du Massif Central » et « Ouest et nord-ouest du Massif Central »[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 804 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 7,4 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Éguzon », sur la commune d'Éguzon-Chantôme à 12 km à vol d'oiseau[6], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 934,4 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Voies de communication et transports

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Le territoire communal est desservi par les routes départementales : 1, 1B et 59[10].

La ligne du Blanc à Argenton-sur-Creuse via Saint-Benoît-du-Sault passait par le territoire communal, deux gares (Saint-Gilles et La Fontouret) desservaient la commune. Les gares ferroviaires les plus proches sont les gares d'Éguzon[10] (13 km), Argenton-sur-Creuse[10] (15 km) et Saint-Sébastien[10] (16 km).

Saint-Gilles est desservie par la ligne L du Réseau de mobilité interurbaine[11].

L'aéroport le plus proche est l'aéroport de Châteauroux-Centre[10], à 53 km.

Urbanisme

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Typologie

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Au , Saint-Gilles est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle est située hors unité urbaine[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Argenton-sur-Creuse, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[13]. Cette aire, qui regroupe 7 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (76,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (37,9 %), zones agricoles hétérogènes (34,4 %), forêts (23,7 %), terres arables (4,1 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Logement

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Le tableau ci-dessous présente le détail du secteur des logements[17] de la commune :

Date du relevé 2013
Nombre total de logements 93
Résidences principales 61,4 %
Résidences secondaires 22,6 %
Logements vacants 16 %
Part des ménages propriétaires de leur résidence principale 88,9 %

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Saint-Gilles est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible)[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Gilles.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (84,7 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 98 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 98 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 86 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[20],[21].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2016 et par des mouvements de terrain en 1999[18].

Toponymie

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Cette commune porte le nom de « Saint-Gilles » en référence à l'abbé bénédictin saint Gilles l'Ermite. La légende veut que cet abbé bénédictin soit lié à la fondation de l'abbaye de Saint-Gilles (Gard), un lieu important de pèlerinage sur la route de Saint-Jacques-de-Compostelle.

Un décret de la Convention du 25 vendémiaire an II () invita les communes ayant des noms pouvant rappeler les souvenirs de royauté, féodalité ou superstition, à les remplacer par d'autres dénominations. En cette période de Révolution, la commune de Saint-Gilles porta le nom de Mont-d'Abloux.

Ses habitants sont appelés les Saint-Gillois[22].

Histoire

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La paroisse dépendait du prieuré de Saint-Benoît-du-Sault.

En Bas-Berry, au XVIe siècle, le haut-fourneau et le « procédé indirect » d'obtention du fer apparaissent et de grandes forges sur terres seigneuriales se constituent alors. Dans l’Indre, notamment autour d’Abloux (à Chazelet et à Saint-Gilles), des forges seront établies jusqu'au milieu du XIXe siècle.

Parce que Saint-Gilles (et le Bas-Berry dans son ensemble) a été relativement mieux épargné par les destructions consécutives à la Révolution et aux guerres, son patrimoine s'est mieux maintenu qu'en d'autres régions.

Lors de la débâcle (Seconde Guerre mondiale), des populations en exode fuyant la zone conquise par la Wehrmacht, furent parfois logées dans les environs. Dans le département, la Résistance) fut active dès 1940-41[23]. Lors de la répression allemande de l'été 1944, Saint-Gilles ne connut pas de pillage, saccage ou d'exécution sommaire.

La commune fut rattachée de 1973 à 2015 au canton de Saint-Benoît-du-Sault.

Politique et administration

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La commune dépend de l'arrondissement du Blanc, du canton de Saint-Gaultier, de la première circonscription de l'Indre et de la communauté de communes Marche Occitane - Val d'Anglin[13].

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
juin 1995[24],[25] mars 2014 Jacqueline Aufrère ? Retraitée
mars 2014[26] 2020 Daniel Laforêt DVD[27] Retraité
juillet 2020 En cours Spike Groen[28] LR puis REC  
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[30].

En 2021, la commune comptait 94 habitants[Note 2], en évolution de −12,15 % par rapport à 2015 (Indre : −3,11 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
370311303386390423476503501
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
448434480332353341359361355
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
364338332302279237266204176
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
18518518514713513310096114
2015 2020 2021 - - - - - -
1079594------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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La commune ne possède pas de lieu d'enseignement.

Manifestations culturelles et festivités

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Équipement culturel

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Médias

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La commune est couverte par les médias suivants : La Nouvelle République du Centre-Ouest, Le Berry républicain, L'Écho - La Marseillaise, La Bouinotte, Le Petit Berrichon, France 3 Centre-Val de Loire, Berry Issoudun Première, Vibration, Forum, France Bleu Berry et RCF en Berry.

Économie

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La commune se situe dans la zone d’emploi de Châteauroux et dans le bassin de vie d’Argenton-sur-Creuse[13].

L’économie de la commune repose sur des entreprises individuelles, transport routier de marchandises et produits fermiers.

Culture locale et patrimoine

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  • Église romane
  • Monument aux morts

Bibliographie

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Chatel de Brancion (Laurence) [dir.], Val de Creuse et Val d'Anglin. Nature et patrimoine. Guide, Bélâbre, Histaval, 2023, p. 245-246, notice de Daniel Berrnard.

Voir aussi

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Articles connexes

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Lien externe

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Notes et références

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  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a b et c « Indre », sur le site de Lion 1906, consulté le 3 septembre 2018.
  2. a b et c « Saint-Gilles » sur Géoportail., consulté le 17 septembre 2018.
  3. « Didacticiel de la règlementation parasismique : Indre », sur le site de la Prévention du risque sismique, consulté le 3 septembre 2018.
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Saint-Gilles et Éguzon-Chantôme », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Éguzon », sur la commune d'Éguzon-Chantôme - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Éguzon », sur la commune d'Éguzon-Chantôme - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. a b c d et e « Saint-Gilles », sur le site de ViaMichelin, consulté le 3 septembre 2018.
  11. « Indre (36) - Fiches horaires », sur le site du Réseau de mobilité interurbaine, consulté le 2 septembre 2018.
  12. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  13. a b c et d Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Gilles ».
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Argenton-sur-Creuse », sur insee.fr (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. Site de l'Insee : Saint-Gilles (Indre), consulté le 6 septembre 2016.
  18. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Gilles », sur Géorisques (consulté le ).
  19. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  20. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  21. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  22. « Nom des habitants des communes françaises, Saint-Gilles », sur le site habitants.fr de la SARL Patagos (consulté le ).
  23. Site de l'académie d'Orléans-Tours : Mémoire d'un paysan de l'Indre dans la Résistance, consulté le 28 novembre 2009.
  24. « Résultats des élections municipales 2001 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
  25. « Résultats des élections municipales 2008 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
  26. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
  27. Site du Monde.fr : Saint-Gilles (Indre), consulté le 21 septembre 2016.
  28. « Spike Groen, le plus jeune maire de l'Indre », sur La Nouvelle République, .
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.