Saint-Morillon
Saint-Morillon est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine.
Saint-Morillon | |||||
La mairie (août 2015). | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Gironde | ||||
Arrondissement | Bordeaux | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de Montesquieu | ||||
Maire Mandat |
Laurence Bourgade 2020-2026 |
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Code postal | 33650 | ||||
Code commune | 33454 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saint-Morillonais | ||||
Population municipale |
1 786 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 88 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 39′ 02″ nord, 0° 30′ 05″ ouest | ||||
Altitude | Min. 15 m Max. 67 m |
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Superficie | 20,4 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Bordeaux (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de La Brède | ||||
Législatives | Neuvième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Gironde
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | saint-morillon.fr/ | ||||
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Géographie
modifierLocalisation
modifierLa commune est située dans le vignoble des Graves, sur le Guat mort.
Communes limitrophes
modifierLes communes limitrophes en sont La Brède au nord, Saint-Selve à l'est, Saint-Michel-de-Rieufret au sud-est, Landiras à l'extrême sud-est sur environ 500 mètres, Cabanac-et-Villagrains au sud et Saucats à l'ouest.
Climat
modifierHistoriquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 907 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 7,1 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Cadaujac à 12 km à vol d'oiseau[5], est de 13,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 918,3 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Saint-Morillon est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[10]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[11],[12].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (68,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (68 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (53,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (15 %), cultures permanentes (12,7 %), zones agricoles hétérogènes (11,4 %), prairies (4 %), zones urbanisées (3,7 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
modifierLe territoire de la commune de Saint-Morillon est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].
Saint-Morillon est exposée au risque de feu de forêt. Depuis le , les départements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. Ce règlement vise à mieux prévenir les incendies de forêt, à faciliter les interventions des services et à limiter les conséquences, que ce soit par le débroussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la réglementation des activités en forêt[16]. Il définit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associés différentes mesures[17],[18].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[19].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 667 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 667 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[20],[Carte 2].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999, 2009, 2020 et 2021, par la sécheresse en 1989, 1991, 2002, 2003, 2005 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[14].
Toponymie
modifierLe nom de la commune provient du nom de l’évêque d’Angers Maurille (423-453), en latin Maurilius[21].
Le nom gascon de la commune est Sent Maurilhon.
Histoire
modifierPréhistoire
modifier- Nécropole du Graveyron
Une nécropole (ou tumulus de Perbos) est parfois indiquée comme située sur Saint-Morillon (par ex. dans Roussot-Larroque)[22]. D'après Devigne (1995), elle se trouve sur la commune de la Brède près du hameau de Perbos, en bordure de la commune de Saint-Morillon. Voir l'article « La Brède », section « Préhistoire ».
Il y a bien une nécropole sur Saint-Morillon : celle du Graveyron[23],[24], soit un groupe de quatre tumulus mentionné en 1876 par Daleau à la confluence du Guat mort et du ruisseau de Mitaud[23],[25].
Selon Daleau, un cinquième tumulus est exploré vers 1860 par de Mergance. Il contient une sépulture en moellon, ce qui suggère une sépulture à coffre en pierre sèche[23] et l'apparente aux grands tumulus néolithiques à sépulture primaire en coffre de type Bernet (Saint-Sauveur[26]) ou Campet (Saint-Laurent-Médoc)[23].
J. Roussot-Larroque mentionne une hache polie provenant de la collection Braquehaye, hache qu'elle assigne, de son propre aveu, à la nécropole de Perbos malgré le fait que cet objet soit étiqueté « Tumulus de Saint-Morillon »[27] ; c'est Daleau qui signale cette hache comme appartenant à la collection Braquehaye et elle provient plus probablement du Graveyron, comme la resitue Devignes[23].
XVe siècle
modifierA l'aube du XVe siècle, le village est coupé en deux, non seulement par le ruisseau du Guat mort — ou Gua Mort —, mais aussi par deux seigneuries qui s'octroient une rive chacune
- la rive gauche acquise depuis toujours à la baronnie de La Brède,
- la rive droite rattachée avec huit autres paroisses à la prévôté de Barsac.
Jeanne de Lestonnac, canonisée en 1949, y effectue plusieurs séjours. Née en 1540, cette nièce de Michel de Montaigne est l'épouse du seigneur de Montferrand, baron de Landiras. À la mort de celui-ci, elle reprend son nom de jeune fille. Depuis la maison noble de Lusié, bâtie sur une rive du Guat mort — et dont il reste aujourd'hui les vestiges de l'ancien moulin —, elle organise la fondation d'un ordre de religieuses chargées de l'éducation des jeunes filles, la compagnie des religieuses de Notre-Dame. Elle meurt à Bordeaux en 1640.
XVIIIe siècle
modifierEn 1746, Montesquieu achète la partie de Barsac pour l'intégrer à sa baronnie, réalisant ainsi l'unité du village.
En 1789, les habitants de la commune assistent aux violences de la Révolution :
- la vente des biens de leur église et de deux familles locales importantes,
- l'exécution du marquis de Lajararte, propriétaire du domaine de Bel Air.
- La paroisse Saint-Morillon forme la commune de Saint-Morillon[28].
Pour plus d'information sur la situation de la commune au XVIIIe siècle, voir l'ouvrage de Jacques Baurein[29].
XIXe et XXe siècles
modifierAu XIXe et XXe siècles, la commune mène une vie essentiellement rurale, basée sur l'exploitation de la vigne et de la forêt.
Au début du XXe siècle, la commune donne à ses rues et places les noms des héros de la guerre des Boers.
Politique et administration
modifierAux élections municipales (partielle intégrale) de 2017, les résultats ont été :
- Liste Laurence Bourgade = 53,51%
- Liste Jean-Michel Benesse = 46,49%
Démographie
modifierLes habitants sont appelés les Saint-Morillonais[31].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[33].
En 2021, la commune comptait 1 786 habitants[Note 2], en évolution de +9,17 % par rapport à 2015 (Gironde : +6,88 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- L'église Saint-Maurille a été construite vers le XIe ou XIIe siècle. L'église est inscrite au titre des monuments historiques en 1925, puis en 2008[36].
- Le château de Bel Air est inscrit au titre des monuments historiques en 1986[37].
-
L'église Saint-Maurille
-
Le chevet de l'église (août 2015)
-
Le monument aux morts à proximité de la mairie (août 2015)
Personnalités liées à la commune
modifier- Sainte Jeanne de Lestonnac (1556-1640), retirée au moulin de Luisié avant de fonder la Compagnie de Marie-Notre-Dame, en 1607, à Bordeaux.
- Pierre-Gaston Rigaud (1874-1939), artiste-peintre français originaire de Saint-Morillon.
Saint-Morillon autrefois
modifier-
L'église -
La Mairie -
Rue Villebois-Mareuil -
Rue Botha -
Rue Botha -
Rue Principale
Voir aussi
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifier- Ressources relatives à la géographie :
- Site de la mairie
- Saint-Morillon sur le site de l'Institut géographique national
- Site officiel du comité des fêtes de Saint-Morillon
Notes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
modifier- Saint-Morillon sur Géoportail, consulté le 20 août 2015.
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Orthodromie entre Saint-Morillon et Cadaujac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Cadaujac-inra » (commune de Cadaujac) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Cadaujac-inra » (commune de Cadaujac) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Morillon ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Bordeaux », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Morillon », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Le risque feux de forêts. », sur gironde.gouv.fr (consulté le ).
- « Règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. », sur gironde.gouv.fr (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- Saint-Morillon sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 20 août 2015.
- [Roussot-Larroque 1985] Julia Roussot-Larroque, « Protohistoire de la Grande lande du 4e millénaire aux derniers siècles avant notre ère » (Actes du colloque de Sabres, 27-29 novembre 1981), la Grande Lande, histoire naturelle et géographie historique, Sabres, CNRS et Parc naturel régional des Landes de Gascogne, , p. 97-125 (lire en ligne [PDF] sur archeolandes.com, consulté en ), p. 99.
- [Devignes 1995] Marc Devignes, « Inventaire des mégalithes de la France. 9 — Gironde » (monographie, version actualisée d'une thèse de 3e cycle présentée en 1987), Supplément à Gallia Préhistoire, nos 1-9, (lire en ligne [sur persee]) p. 95.
- Devignes 1995, p. 124, carte.
- « Confluence du Guat mort et du ruisseau de Mitaud, sur Saint-Morillon, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques » et « Hydrographie » activées. Vous pouvez bouger la carte (cliquer et maintenir, bouger), zoomer (molette de souris ou échelle sur l'écran), moduler la transparence, désactiver ou supprimer les couches (= cartes) avec leurs échelles d'intensité dans l'onglet de "sélection de couches" en haut à droite, et en ajouter depuis l'onglet "Cartes" en haut à gauche. Les distances et surfaces se mesurent avec les outils dans l'onglet "Accéder aux outils cartographiques" (petite clé à molette) sous l'onglet "sélection de couches".
- « Tumulus du Bernet », sur saint-sauveur-medoc.com (consulté en ).
- Roussot-Larroque 1985, p. 98.
- « Historique des communes » [PDF], sur archives.gironde.fr, Archives départementales de la Gironde (consulté en ).
- Jacques Baurein, Variétés Bordeloises, t. 3, Bordeaux, , 2e éd. (1re éd. 1786) « lien brisé »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), « article 5.IV, pages 38-48 »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
- Commune de Saint-Morillon sur le site de l'AMF, Association des Maires de France, consulté le 25 septembre 2012.
- Nom des habitants de la commune sur le site Habitants.fr, consulté le 20 août 2015.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Notice MH de l'église Saint-Morillon », notice no PA00083792, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Notice MH du château de Bel-Air », notice no PA00083791, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.