Saint-Vincent-Jalmoutiers

commune française du département de la Dordogne

Saint-Vincent-Jalmoutiers est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Saint-Vincent-Jalmoutiers
Saint-Vincent-Jalmoutiers
Le village de Saint-Vincent-Jalmoutiers.
Blason de Saint-Vincent-Jalmoutiers
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Périgueux
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Saint-Aulaye
Maire
Mandat
Robert Denost
2020-2026
Code postal 24410
Code commune 24511
Démographie
Population
municipale
238 hab. (2021 en stagnation par rapport à 2015)
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 12′ 12″ nord, 0° 11′ 36″ est
Altitude Min. 42 m
Max. 133 m
Superficie 16,21 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Ribérac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Montpon-Ménestérol
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Saint-Vincent-Jalmoutiers
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Saint-Vincent-Jalmoutiers

Géographie

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Généralités

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Dans le quart nord-ouest du département de la Dordogne, en forêt de la Double[1], la commune de Saint-Vincent-Jalmoutiers est arrosée par la Rizonne, un affluent de la Dronne. C'est une commune rurale[2] qui fait partie de l'aire d'attraction de Ribérac[3], zonage d’étude défini par l'Insee, qui a remplacé en 2020 l'aire urbaine de Ribérac qui n'incluait pas la commune.

En bordure nord du territoire communal et traversé par la route départementale (RD) 44, le bourg de Saint-Vincent-Jalmoutiers se situe, en distances orthodromiques, cinq kilomètres à l'est de Saint-Aulaye et treize kilomètres au sud-ouest de Ribérac.

Le territoire communal est également desservi à l'est par la RD 100.

D'après les calculs effectués par l'Institut national de l'information géographique et forestière, le centre géographique de la région Nouvelle-Aquitaine se situe sur le territoire de Saint-Vincent-Jalmoutiers[4].

Communes limitrophes

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Saint-Vincent-Jalmoutiers est limitrophe de cinq autres communes.


Géologie et relief

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Géologie

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Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Saint-Vincent-Jalmoutiers est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[5].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c5d, date du Campanien 4, des calcaires crayo-marneux grisâtres et des calcaires graveleux bioclastiques à orbitoides. La formation la plus récente, notée CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatées de vallons secs : sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « no 757 - Ribérac » et « no 781 - Montpon-Ménestérol » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[6],[7] et leurs notices associées[8],[9].

Carte géologique de Saint-Vincent-Jalmoutiers.

Relief et paysages

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Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 42 mètres[10] au nord-ouest, là où la Rizonne quitte la commune pour servir de limite entre celles de Saint Aulaye-Puymangou (territoire de l'ancienne commune de Saint-Aulaye) et Saint Privat en Périgord (territoire de l'ancienne commune de Saint-Privat-des-Prés), et 133 mètres[10] au sud-ouest[11].

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [12]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[13]. La commune est dans le Ribéracois, une région naturelle possédant un relief vallonné avec des altitudes moyennes comprises autour des 130-160 m, sculpté par la Dronne et ses nombreux affluents. Les paysages sont ondulés de grandes cultures dont les vastes horizons contrastent avec les paysages plus cloisonnés de la Dordogne[14],[15].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 16,21 km2[10],[16],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 16,36 km2[7].

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[19]. Elle est drainée par la Rizonne, la Bauronne, la Cordogne, la Nauve du Petit Cros et par divers petits cours d'eau[Note 3], qui constituent un réseau hydrographique de 24 km de longueur totale[20],[Carte 1].

La Rizonne, d'une longueur totale de 26,73 km, prend sa source dans la commune de Saint-Vincent-de-Connezac et se jette dans la Dronne en rive gauche en limite de Saint Aulaye-Puymangou et de Bonnes, un kilomètre et demi au nord du centre bourg de Saint-Aulaye[21],[22]. Elle traverse la commune du nord-est au nord-ouest sur cinq kilomètres et demi dont plus de trois kilomètres servent de limite naturelle, face à Saint Privat en Périgord et Saint Aulaye-Puymangou.

Affluent de rive gauche de la Rizonne, la Bauronne borde le territoire communal à l'est sur près de deux kilomètres et demi, face à La Jemaye-Ponteyraud.

Autre affluent de rive gauche de la Rizonne, la Cordogne arrose la commune du sud au nord sur plus de quatre kilomètres et demi.

Affluent du Moudelou et sous-affluent de la Rizonne, la Nauve du Petit Cros prend sa source dans le sud de la commune qu'elle arrose sur près de deux kilomètres, dont près d'un kilomètre et demi en limite de Saint Aulaye-Puymangou.

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[23]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [24].

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[25]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[26].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 878 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 7 jours en juillet[27]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint Aulaye-Puymangou à 4 km à vol d'oiseau[28], est de 13,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 854,8 mm[29],[30]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[31].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Saint-Vincent-Jalmoutiers est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[32]. Elle est située hors unité urbaine[33]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Ribérac, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[33]. Cette aire, qui regroupe 24 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[34],[35].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (68,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (68,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (61,6 %), zones agricoles hétérogènes (19,2 %), prairies (9,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (7,1 %), terres arables (2,8 %)[36]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Prévention des risques

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Le territoire de la commune de Saint-Vincent-Jalmoutiers est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible)[37]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[38].

Saint-Vincent-Jalmoutiers est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[39]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[40],[41].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Vincent-Jalmoutiers.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[42]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[43]. 84 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 5],[44].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1987, 1999 et 2014, par la sécheresse en 1989, 1992, 2003 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[37].

Toponymie

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En occitan, la commune porte le nom de Sent Vincenç de Jau Mostier[45].

Histoire

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Politique et administration

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Administration municipale

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La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[46],[47].

Liste des maires

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La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1990[48]
(réélu en mai 2020)
En cours Robert Denost DVG[49] Retraité

Équipements et services publics

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Justice

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En 2023, dans le domaine judiciaire, Saint-Vincent-Jalmoutiers relève[50] :

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[51]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[52].

En 2021, la commune comptait 238 habitants[Note 6], en stagnation par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
410342361335364338350448457
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
377424361334397417389352345
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
329322292266287272275274295
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
303243247236239213254260242
2017 2021 - - - - - - -
250238-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[10] puis Insee à partir de 2006[53].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

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Bar-restaurant et alimentation

Commerces

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  • Centre multi-services, au bourg (épicerie, bar, restaurant, station essence)

En 2015[54], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 93 personnes, soit 39,1 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (neuf) a diminué par rapport à 2010 (seize) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 9,2 %.

Établissements

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Au , la commune compte dix-huit établissements[55], dont huit au niveau des commerces, transports ou services, cinq dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, trois dans la construction, un dans l'industrie, et un relatif au secteur administratif[56].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Bien que proche du bourg de Saint-Vincent-Jalmoutiers, le château de la Meynardie se trouve sur la commune de Saint-Privat-des-Prés.

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason de Saint-Vincent-Jalmoutiers Blason
Taillé : au 1er d'argent à l'arbre de sinople, au 2d d'azur au pont ruiné et isolé d'argent, au lion d'or brochant sur le taillé à senestre ; le tout sommé d'un comble d'or fuselé de gueules[60].
Devise
Jungi ac renovare
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[17],[18]
  3. Contrairement à ce qu'indique le Sandre, le ruisseau du Pontet, affluent de rive droite de la Rizonne, n'arrose pas la commune de Saint-Vincent-Jalmoutiers située en rive gauche à leur confluence.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Saint-Vincent-Jalmoutiers » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. Florence Broussaud-Le Strat, La Double Un pays en Périgord, Éditions Fanlac, 2006, (ISBN 2-86577-252-7), p. 95.
  2. [PDF] Arrêté fixant la liste des communes rurales 2023, Recueil des actes administratifs normal no 4, Préfecture de la Dordogne, , p. 126-140.
  3. « Aire d'attraction des villes 2020 de Ribérac », sur insee.fr (consulté le ).
  4. Adrien Vergnolle, « Nombril de la région, l'aubaine capitale ? », Sud Ouest édition Dordogne, 20 juin 2015, p. 10.
  5. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
  6. « Carte géologique de Saint-Vincent-Jalmoutiers » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
  7. a et b « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Saint-Vincent-Jalmoutiers », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
  8. « Notice associée à la feuille no 757 - Ribérac de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  9. « Notice associée à la feuille no 781 - Montpon-Ménestérol de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  10. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  11. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com.
  12. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  13. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  14. « Repères géographiques du Ribéracois », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  15. « Portrait du Ribéracois », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  16. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Saint-Vincent-Jalmoutiers », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  17. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le ).
  18. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le ).
  19. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  20. « Fiche communale de Saint-Vincent-Jalmoutiers », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
  21. « Confluence Rizonne-Dronne au nord-est du lieu-dit Labinaud » sur Géoportail (consulté le 19 octobre 2022)..
  22. Sandre, « la Rizonne ».
  23. « SAGE Isle - Dronne », sur gesteau.fr (consulté le ).
  24. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
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  32. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  33. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
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  42. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
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  53. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
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