Sainte-Gemmes-sur-Loire
Sainte-Gemmes-sur-Loire (prononcé en français : [sɛ̃t ʒam syʁ lwaʁ]) est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.
Sainte-Gemmes-sur-Loire | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Pays de la Loire | ||||
Département | Maine-et-Loire | ||||
Arrondissement | Angers | ||||
Intercommunalité | Angers Loire Métropole | ||||
Maire Mandat |
Paul Heulin 2020-2026 |
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Code postal | 49130 | ||||
Code commune | 49278 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Gemmois | ||||
Population municipale |
3 552 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 240 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
248 271 hab. (2021) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 25′ 35″ nord, 0° 33′ 22″ ouest | ||||
Altitude | 21 m Min. 12 m Max. 45 m |
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Superficie | 14,83 km2 | ||||
Type | Ceinture urbaine | ||||
Unité urbaine | Angers (banlieue) |
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Aire d'attraction | Angers (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Angers-2 | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Maine-et-Loire
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
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Liens | |||||
Site web | Site de Sainte-Gemmes-sur-Loire | ||||
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Elle se trouve en périphérie sud d'Angers, et fait partie de la communauté urbaine Angers Loire Métropole.
Géographie
modifierLocalisation et description
modifierCommune angevine implantée sur la rive nord de la Loire, Sainte-Gemmes-sur-Loire est limitrophe d'Angers, située à 6 km[1], et se trouve aux abords de la route D 112, Bouchemaine - Les Ponts-de-Cé[2].
Au XVIIe siècle, Port Thibault, la partie au bord de Loire de la commune, devient un lieu de villégiature notamment pour l'évêque et les bourgeois d'Angers ; de nombreuses maisons cossues y sont alors construites, en tuffeau, pierre ou brique, avec des jardins descendant en terrasses vers le fleuve souvent terminés par une petite construction, « bricole » ou « gloriette », qui surplombe la berge.
-
« Bricole » ou « gloriette ».
-
Autre « bricole » ou « gloriette ».
-
Chemin de Halage près de Port Thibault.
Communes limitrophes
modifierBouchemaine | Angers | Angers Les Ponts-de-Cé |
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Bouchemaine | N | Les Ponts-de-Cé | ||
O Sainte Gemmes/Loire E | ||||
S | ||||
Denée | Saint-Jean-de-la-Croix | Mûrs-Érigné |
Hydrographie
modifierLa commune est située dans l'angle que forme la Loire et la Maine. Elle comprend également deux îles dans le fleuve, appelées l'Île aux Chevaux et l'Île Courgan. C'est sur la commune que l'Authion rejoint la Loire.
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 626 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 5,6 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Beaucouzé à 8 km à vol d'oiseau[5], est de 12,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 709,3 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Sainte-Gemmes-sur-Loire est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Angers[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant douze communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[10],[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angers, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[11]. Cette aire, qui regroupe 81 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (72,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (49,7 %), prairies (16 %), zones urbanisées (9,9 %), eaux continentales[Note 4] (9,1 %), terres arables (7 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (3,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,8 %), forêts (1,9 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Logement
modifierEn 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 1 707, alors qu'il était de 1 647 en 2014 et de 1 578 en 2009[I 1].
Parmi ces logements, 90,5 % étaient des résidences principales, 1,7 % des résidences secondaires et 7,8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 77,2 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 21,3 % des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Sainte-Gemmes-sur-Loire en 2020 en comparaison avec celle du Maine-et-Loire et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (1,7 %) inférieure à celle du département (3,2 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation des résidences principales, 69 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (64,4 % en 2014), contre 60,4 % pour le Maine-et-Loire et 57,5 pour la France entière[I 3].
Typologie | Sainte-Gemmes-sur-Loire[I 1] | Maine-et-Loire[I 4] | France entière[I 5] |
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Résidences principales (en %) | 90,5 | 90,3 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 1,7 | 3,2 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 7,8 | 6,6 | 8,2 |
Toponymie
modifierTerra Sancte Gemme en 1009, Ste Gemme sur Loyre en 1399. De Gemma de Saintonge, sainte Gemmes ou Gemma, dont le culte était répandu dans les régions bordant l'Atlantique et le Centre. Une autre commune angevine (ancienne commune depuis 2016) commence par « Sainte-Gemmes », Sainte-Gemmes-d'Andigné[15],[16].
Histoire
modifierSituée au confluent de la Maine et de la Loire, un éperon barré, d'époque au moins protohistorique, contrôlait la navigation sur les deux cours d'eau[17].
Au XIXe siècle on a trouvé à Port-Thibault un protomé de griffon (il s'agit d'une anse d'un grand chaudron transporté sur la Loire) en bronze provenant de Grèce ou d'Étrurie. Cette pièce est désormais exposée au musée des Beaux-Arts d'Angers[18].
Au Moyen Âge, la seigneurie de Sainte-Gemmes relève du château d'Angers. Au XVe siècle, la terre est qualifiée de châtellenie puis se constitue en fief et domaine[19].
Entre les 27 décembre 1793 et 12 janvier 1794, entre 1500 et 1800 prisonniers de guerre vendéens sont fusillés puis jetés dans la Loire.[réf. nécessaire]
Politique et administration
modifierAdministration municipale
modifierTrente maires se sont succédé à Sainte-Gemmes-sur-Loire depuis 1790.
Tendances politiques et résultats
modifierIntercommunalité
modifierLa commune est intégrée à la communauté urbaine Angers Loire Métropole[23], elle-même membre du syndicat mixte Pays Loire-Angers[24].
Population et société
modifierDémographie
modifierÉvolution démographique
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[26].
En 2021, la commune comptait 3 552 habitants[Note 5], en évolution de +2,51 % par rapport à 2015 (Maine-et-Loire : +1,8 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
modifierLa population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 29,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 32,5 % la même année, alors qu'il est de 25,6 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 639 hommes pour 1 757 femmes, soit un taux de 51,74 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,37 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Vie locale
modifierSainte-Gemmes-sur-Loire est une ville fleurie, obtenant en 2017 sa quatrième fleur au palmarès du concours des villes et villages fleuris.
Le Musée des boissons et de la sommellerie s'installe en 2011 à Sainte-Gemmes-sur-Loire[31].
On trouve sur la commune plusieurs activités sportives, dont du judo, du cyclisme, de la gymnastique, du basket-ball, de la pétanque, etc[32].
L'équipe masculine de Handball évolue au niveau national.
Économie
modifierSur 287 établissements présents sur la commune à fin 2010, 12 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 8 % du secteur de l'industrie, 11 % du secteur de la construction, 55 % de celui du commerce et des services et 15 % du secteur de l'administration et de la santé[33]. Fin 2015, sur les 346 établissements actifs, 9 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour 11 % sur le département), 6 % du secteur de l'industrie, 10 % du secteur de la construction, 61 % de celui du commerce et des services et 14 % du secteur de l'administration et de la santé[34].
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifierMonuments historiques
modifierLa commune abrite trois monuments historiques :
- Les vestiges archéologiques gallo-romains datant des Ier et IVe siècles situés aux lieux-dits les Chavelliers, les Grandes Maisons et le Ruisseau. Ils ont été classés par décret du [35].
- Le manoir de Belligan, construit au XVe siècle : peintures murales, boiseries. Il a été inscrit par arrêté du [36].
- Le domaine de Chateaubriant édifié au XVIIIe siècle : château, ancienne chapelle, octogonal, temple périptère. Il a été inscrit par arrêté du [37].
Autres sites et monuments
modifier- Le pont de Pruniers enjambant la Maine entre Sainte-Gemmes-sur-Loire et Bouchemaine.
- Ancien château de Sainte-Gemmes-sur-Loire transformé en hôpital psychiatrique (Centre de santé mentale angevin)[38].
- Manoir de Chanzé XVe siècle remanié au XIXe siècle.
- Manoir du Clos-Lorelle : chapelle XVIIIe siècle.
- Trois moulins à cavier en plus ou moins bon état, non restaurés, situés dans la rue des Moulins.
- Église XIIe et XIXe siècles : chœur à voûtes angevines XIIIe siècle, arc triomphal polychrome XVIIIe siècle, statues.
- Ancienne chapelle XIIIe siècle aux Châtelliers de Frémur : reste d'un ancien prieuré bâti sur les ruines romaines.
- Musée des boissons et de la sommellerie[31].
- Jardin méditerranéen : jardin composé d'essences méditerranéennes (palmiers, cyprès, vignes...) construit en terrasses et dominant la Loire.
Personnalités liées à la commune
modifier- Georges Bans (1870-1913), aéronaute et journaliste, y est mort.
- Marie-Anne Colson-Malleville (1892-1971), réalisatrice française, y est née en 1892.
- Jean-Adrien Mercier (1899-1995), qui habitait au domaine de Chateaubriant.
- François Cacheux (1923-2011), sculpteur, prix Abdel Tif 1954, dont l'atelier se trouvait sur la commune[39].
- Romain Guyot (1992-2016), cycliste ayant grandi dans la commune. Le cyclo-cross de Sainte-Gemmes-sur-Loire est renommé en son hommage Souvenir Romain Guyot à partir de l'édition 2016.
Héraldique
modifierBlason | Écartelé : au 1er d'azur à la pointe de lance d'argent, au 2e d'or à la crosse d'azur posée en bande, au 3e d'or au bouquet de fleurs au naturel, posé en barre, au 4e d'azur au moulin à vent d'or; à la face ondée d'argent brochant sur la partition; le tout sur une plaine de sinople; sur le tout, d'azur à trois fleurs de lis d'or[40]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
modifierBibliographie
modifier- Célestin Port (édition révisée par André Sarazin et Pascal Tellier), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : S-Z, t. 4, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (1re éd. 1878) (BNF 35857376, lire en ligne), p. 259-266.
Articles connexes
modifierLiens externes
modifierNotes et références
modifierNotes
modifier- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine d'Angers comprend une ville-centre et onze communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifierSite de l'Insee
modifier- « Chiffres clés - Logement en 2020 à Sainte-Gemmes-sur-Loire » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Sainte-Gemmes-sur-Loire - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Sainte-Gemmes-sur-Loire - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2020 dans le Maine-et-Loire » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2020 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sites
modifier- Lionel Delvarre, « Distances orthodromiques à partir de Sainte-Gemmes-sur-Loire (49) », sur Lion1906 (version du sur Internet Archive), consulté le 21 octobre 2012 — Les distances affichées sont des distances orthodromiques (à vol d'oiseau).
- IGN et BRGM, Géoportail Sainte-Gemmes-sur-Loire (49), consulté le 21 octobre 2012.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Sainte-Gemmes-sur-Loire et Beaucouzé », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Beaucouzé », sur la commune de Beaucouzé - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Beaucouzé », sur la commune de Beaucouzé - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 d'Angers », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Sainte-Gemmes-sur-Loire ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Angers », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Célestin Port 1996, p. 259-260, formes anciennes du nom.
- Pierre-Louis Augereau, Les secrets des noms de communes et lieux-dits du Maine-et-Loire, Le Coudray-Macouard, Cheminements, 2004-2005 (ISBN 978-2-84478-338-7, BNF 39295447), p. 156.
- Célestin Port 1996, p. 262.
- Michel Provost, « Une anse de chaudron étrusques à Sainte-Gemmes-sur-Loire (Maine-et-Loire) », Gallia, t. 41, no 2, , p. 209-215 (lire en ligne).
- Célestin Port 1996, p. 263.
- Célestin Port 1996, p. 260-261, liste des maires jusqu'en 1995.
- Réélection 2014 : « Liste des maires élus en 2014 », sur le site de la préfecture du département de Maine-et-Loire (version du sur Internet Archive), consulté le 19 avril 2014.
- « Sainte-Gemmes-sur-Loire. Municipales : Paul Heulin, les coudées franches », sur Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
- Insee, Composition de l'EPCI d'Angers Loire Métropole (244900015), consulté le 20 juillet 2018.
- Préfecture de Maine-et-Loire, Arrêté DRCL no 879 du 13 décembre 2011, RAA spécial du 21 décembre 2011.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Sainte-Gemmes-sur-Loire (49278) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de Maine-et-Loire (49) », (consulté le ).
- « Sainte-Gemmes-sur-Loire. Les Musée des boissons fête ses 20 ans », sur Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
- « Associations sportives », sur Mairie de Sainte-Gemmes-sur-Loire (consulté le ).
- Insee, Statistiques locales du territoire de Sainte-Gemmes-sur-Loire (49), consultées le 9 mai 2013.
- « Dossier complet - Commune de Sainte-Gemmes-sur-Loire (49278) », sur Insee, (consulté le ).
- Notice no PA00109262, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA00109261, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA00109260, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Centre de Santé Mentale Angevin (CESAME)
- « Angers : le sculpteur François Cacheux est décédé », sur Ouest-France, .
- « Blason… », sur armorialdefrance.fr.