Sainte-Marie-de-Gosse

commune française du département des Landes

Sainte-Marie-de-Gosse (Senta Maria de Gòssa, en occitan[1]) est une commune française située dans le département des Landes en région Nouvelle-Aquitaine.

Sainte-Marie-de-Gosse
Sainte-Marie-de-Gosse
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Landes
Arrondissement Dax
Intercommunalité Communauté de communes de Maremne-Adour-Côte-Sud
Maire
Mandat
Francis Betbeder
2020-2026
Code postal 40390
Code commune 40271
Démographie
Gentilé Mariot
Population
municipale
1 214 hab. (2021 en évolution de +5,84 % par rapport à 2015)
Densité 46 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 33′ 27″ nord, 1° 14′ 13″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 108 m
Superficie 26,54 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Bayonne (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Pays tyrossais
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Sainte-Marie-de-Gosse
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Sainte-Marie-de-Gosse

Le gentilé est Mariot[2].

Géographie

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Localisation

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La commune est limitrophe du département des Pyrénées-Atlantiques.

OpenStreetMap Limite communale.

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Biarrotte, Port-de-Lanne, Saint-Étienne-d'Orthe, Saint-Laurent-de-Gosse, Saint-Martin-de-Hinx, Guiche et Sames.

Hydrographie

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En bordure de l'Adour (12 km de rives) et au confluent avec les Gaves réunis (Horgave) le bourg se trouve sur la partie haute, le Séqué (sec). Altitude 100 m environ (point géodésique au Tuc Lambert 109 m).

La partie basse des barthes est large d'environ 3 à 400 mètres, et borde l'Adour dans sa partie devenue très large à cause de l'apport des eaux des Gaves réunis dont le débit est plus important que celui du fleuve.

Historiquement, la commune est exposée à un micro climat océanique basque[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hiver très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 344 mm, avec 12,9 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Martin-de-Hinx à 4 km à vol d'oiseau[7], est de 14,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 410,1 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Sainte-Marie-de-Gosse est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bayonne (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[12]. Cette aire, qui regroupe 56 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (49,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (54,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (49,8 %), terres arables (36,4 %), zones agricoles hétérogènes (5,8 %), eaux continentales[Note 2] (5,2 %), prairies (1,7 %), zones urbanisées (1,1 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Sainte-Marie-de-Gosse est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée)[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Adour et le Gave de Pau. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1988, 1999, 2009, 2014, 2018, 2019 et 2021[18],[16].

Sainte-Marie-de-Gosse est exposée au risque de feu de forêt. Depuis le , les départements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. Ce règlement vise à mieux prévenir les incendies de forêt, à faciliter les interventions des services et à limiter les conséquences, que ce soit par le débroussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la réglementation des activités en forêt. Il définit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associés différentes mesures[19],[20].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[21]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[22].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Sainte-Marie-de-Gosse.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 64,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (19,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 480 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 288 sont en aléa moyen ou fort, soit 60 %, à comparer aux 17 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[16].

Toponymie

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Il existe plusieurs explications possibles au nom de la commune :

  • La terminaison « osse » proviendrait du suffixe euskarien « otz(a) » qui indique un domaine, un lieu. Ce suffixe basque est resté en gascon (-os(se) \ -òç(a)) et aragonais (-ués) et a constitué de nombreux noms de village dans l'aire vasconne (Tosse, Seignosse, Biaudos, Angresse, Seyresse, Tarnos, Tyrosse, Biscarosse…). Voir l'article connexe Toponymie basque.
  • Il semblerait que « gosse » vienne de Gosse < Garros < (Goi/garai)-oz, 'lieu en hauteur' (dans la commune, le quartier Gayrosse proviendrait du même fond proto-basque).
  • Le mot « gosse » pourrait être une déformation de l'anglais goose, oie, car ce volatile est très présent dans cette région des Landes, conquise par les Anglais pendant la guerre de Cent Ans

Fondée par les bénédictins, ancienne halte des pèlerins de Saint-Jacques-de-Compostelle.

Au cours de la période de la Convention nationale (1792-1795), la commune porta le nom révolutionnaire de Barra[24].

Son nom occitan gascon est Senta Maria de Gòssa[25].

Histoire

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Héraldique

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Blason de Sainte-Marie-de-Gosse Blason
Écartelé: au 1er d'azur au bœuf soutenu d'un canard, le tout d'or, au 2e d'azur à l'épi de maïs senestré d'une tranche de kiwi, le tout d'or, au 3e d'azur à trois fasces ondées d'argent, au 4e d'azur à l'alose, soutenue d'une pibale [civelle/anguille], le tout d'or; à la croix pattée estrée d'argent brochant sur la partition.
Détails
Le Bœuf, le Canard, le maïs et le kiwi représentent les productions de Sainte Marie de gosse, L'alose et l'anguille les activités de pêche, Les trois ondines représe l'Adour. Le bleu roi et la croi pattée est un rappel d'Henri IV qui venait à Labegorre dans le Quartier Benzin
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1921 1932 Bertrand Marmande
(1877-1941)
SFIO Artisan carrier, épicier et aubergiste, conseiller d'arrondissement (1919-1925)
1995 En cours Francis Betbeder PS Agriculteur
Président du Syndicat Intercommunal de la Basse Vallée de l'Adour
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[27].

En 2021, la commune comptait 1 214 habitants[Note 3], en évolution de +5,84 % par rapport à 2015 (Landes : +4,9 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 1801 1261 2231 3671 5121 4801 4941 5141 559
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 5701 5331 4981 5621 4551 4031 4201 1621 462
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 4121 3671 3231 1681 1401 0591 057970897
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
8548217657298158781 0161 0361 057
2017 2021 - - - - - - -
1 1841 214-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Monuments

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L'église Notre-Dame de Sainte-Marie-de-Gosse.

L'architecture des maisons de la commune est proche du style bas-navarrais (maisons carrées aux murs blanchis, volets peints, pierres d'angle visibles), propre au pays d'Orthe (Peyrehorade) et du Seignanx (Saint-Martin, Saint-André, Tarnos…).

  • Église Notre-Dame de Sainte-Marie-de-Gosse, fortifiée. Fondée par les bénédictins (XIIe siècle). De style roman à l'origine, elle a été modifiée au XVIe siècle en adoptant le style gothique. On y découvre un beau tableau de la nativité qui aurait été offert par Napoléon III. Église inscrite à l’Inv. suppl. des Monuments historiques le .
  • Château d'Aranguiche.
  • Château de Bordus.
  • Château de Routger.
  • Moulin de Gayrosse. Bâtiment surmonté d’une croix bénédictine. Ancienne possession de l'abbaye de Sorde (mentionné dans le cartulaire de l’abbaye de Sorde, XIIe siècle[29],[30]). Le moulin à eau figure sur la carte de Cassini. Inventaire général.
  • Moulin de Lorta.
  • Maysoun Blanque (maison blanche). Maison natale d'Isidore Salles.
  • Maysoun du Rey (maison du roi, sur les rives de l'Adour) où serait passé Henri IV pour des rendez-vous galants.
  • Domaine de Miradour. Maison construite vers 1930 par les architectes Louis et Benjamin Gomez pour Alfred Eluère maire de Soorts-Hossegor de 1935 à 1972. Résidence du Dr Delay, ancien maire de Bayonne. (XIXe siècle), Inventaire général.
  • Maison Lacoste (actuellement poste), maison construite vers 1782 pour ou par A. Lacoste, Inventaire général.
  • Mairie, maison portant au-dessus d'une porte de l'élévation antérieure, l'inscription : Fait par Charles Galtier 1748. Inventaire général.
  • Domaine de Labégorre, Inventaire général.
  • Ferme de Campet, Inventaire général.

Paysages pittoresques

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  • Barthes de l'Adour.
  • Site de Horgave (ou Bec du Gave) avec de belles maisons anciennes.
  • Île de Mirepech (sur l'Adour, desservie par un accès à découvert seulement à marée basse).
  • Tuc Lambert (sommet de la commune).
  • Tuc de Luc (belle vue sur les Pyrénées).
  • Cascade de Lorta (moulin de Lorta).
  • Étang de Gayrosse (moulin de Gayrosse).

Personnalités liées à la commune

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. Benoit, « Dictionnaire toponymique occitan des Landes et du Bas-Adour », sur locongres.org, Lo Congrès, (consulté le ).
  2. « Le nom des habitants du 40 », sur habitants.fr (consulté le ).
  3. Carte IGN sous Géoportail
  4. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Orthodromie entre Sainte-Marie-de-Gosse et Saint-Martin-de-Hinx », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « St M Hinx Stna-inra » (commune de Saint-Martin-de-Hinx) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « St M Hinx Stna-inra » (commune de Saint-Martin-de-Hinx) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  12. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Sainte-Marie-de-Gosse ».
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Bayonne (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Sainte-Marie-de-Gosse », sur Géorisques (consulté le ).
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  18. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  19. « Règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. », sur landes.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  21. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  22. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Sainte-Marie-de-Gosse », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  24. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. « Toponymes occitans », sur locongres.org (consulté le ).
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. Cartulaire de l'abbaye de Saint-Jean de Sorde XLVIII - De Ferran de Somsec
  30. Bulletin de la Société des sciences, lettres et arts de Pau et du Béarn 1889-1890 « Le cartulaire de Sorde nous apprend que Ferran de Somsec, entre 1072 et 1105, avait donné à l’abbaye de Saint-Jean-de-Sorde un casal et ses aleux pour le repos de son âme et de celles de ses parents, et que Gérald, abbé de Sorde, le donna à son tour à Raymond Fort de Gayrosse […], moyennant la redevance de deux aloses et qu’à sa mort cette propriété rentrerait à l’abbaye. L’Adour coule au pied du coteau de Somsec, un peu en amont de sa jonction avec le gave, au lieu-dit de Hourgave, où l’on prend en la saison quantité d’aloses et de saumons. La redevance s’explique par la situation même du casal de Somsec et sa cession par l’abbé au seigneur de Gayrosse a pour raison que, sur le versant opposé du coteau de Somsec et au pied nord-ouest de la colline, se trouve un moulin qui autrefois a appartenu à la maison de Gayrosse et porte encore le nom de moulin de Gayrosse, bien que situé à 7 ou 8 km du château de ce nom. Le moulin de Gayrosse et Somsec sont dans Sainte-Marie-de-Gosse, dont l’ancienneté comme paroisse paraît remonter beaucoup moins haut que les paroisses voisines. »

Voir aussi

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Articles connexes

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Bibliographie

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  • [Cuvillier & Schoeffler 1946] Jean Cuvillier et Jacques Schoeffler, « Esquisse géologique de la commune de Sainte-Marie-de-Gosse (Landes) », Bulletin De La Société Géologique De France, vol. 16, série 5, nos 1-3,‎ , p. 91–94 (DOI 10.2113/gssgfbull.S5-XVI.1-3.91, résumé).

Liens externes

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