Sainte-Maure-de-Peyriac

commune française du département de Lot-et-Garonne

Sainte-Maure-de-Peyriac est une commune française, située dans le département de Lot-et-Garonne (région Nouvelle-Aquitaine).

Sainte-Maure-de-Peyriac
Sainte-Maure-de-Peyriac
L'église Saint-Celse.
Blason de Sainte-Maure-de-Peyriac
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Lot-et-Garonne
Arrondissement Nérac
Intercommunalité CC Albret Communauté
Maire
Mandat
Thierry Planté
2023-2026
Code postal 47170
Code commune 47258
Démographie
Gentilé Peyriacais
Population
municipale
308 hab. (2021 en évolution de −10,72 % par rapport à 2015)
Densité 13 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 00′ 50″ nord, 0° 09′ 11″ est
Altitude 160 m
Min. 64 m
Max. 164 m
Superficie 23,06 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de l'Albret
Législatives 1re circonscription de Lot-et-Garonne
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Sainte-Maure-de-Peyriac
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Sainte-Maure-de-Peyriac
Géolocalisation sur la carte : Lot-et-Garonne
Voir sur la carte topographique de Lot-et-Garonne
Sainte-Maure-de-Peyriac
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Sainte-Maure-de-Peyriac

La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de plusieurs zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Géographie

modifier

Sainte-Maure-de-Peyriac est un village de Gascogne.

La commune est limitrophe du département du Gers. Elle est située à la confluence de la Gélise et de l'Izaute.

Elle fait partie de la zone d'emploi d'Agen et du bassin de vie de Nérac[I 1]

Communes limitrophes

modifier

Les communes limitrophes sont Poudenas, Montréal, Castelnau d'Auzan Labarrère, Saint-Pé-Saint-Simon, Sos et Labarrère.

Communes limitrophes de Sainte-Maure de Peyriac[1]
Sos
Saint-Pé-Saint-Simon Sainte-Maure de Peyriac Poudenas
Castelnau d'Auzan Labarrère
(Gers)
Montréal
(Gers)

Géologie et relief

modifier

La superficie de la commune est de 23,06 km2 ; son altitude varie de 64 à 164 mètres[2].

Hydrographie

modifier

La commune est drainée par la Gélise, un affluent gauche de la Baïse et donc un sous-affluent de la Garonne.

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 847 mm, avec 10,8 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Réaup-Lisse à 9 km à vol d'oiseau[6], est de 13,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 858,3 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Milieux naturels et biodiversité

modifier

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Urbanisme

modifier
Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
Carte topographique de la commune en 2021.

Typologie

modifier

Au , Sainte-Maure-de-Peyriac est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[11],[12].

Occupation des sols

modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,5 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (78 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (37 %), forêts (26,1 %), cultures permanentes (24 %), terres arables (6,6 %), prairies (4,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,4 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Habitat et logement

modifier

En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 211, alors qu'il était de 207 en 2015 et de 203 en 2010[I 2].

Parmi ces logements, 71,1 % étaient des résidences principales, 18,5 % des résidences secondaires et 10,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 95,2 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 2,9 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Sainte-Maure-de-Peyriac en 2020 en comparaison avec celle de Lot-et-Garonne et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (18,5 %) supérieure à celle du département (6,3 %) et à celle de la France entière (9,7 %).

Le logement à Sainte-Maure-de-Peyriac en 2020.
Typologie Sainte-Maure-de-Peyriac[I 3] Lot-et-Garonne[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 71,1 81,9 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 18,5 6,3 9,7
Logements vacants (en %) 10,4 11,7 8,2

Risques naturels et technologiques

modifier

Le territoire de la commune de Sainte-Maure-de-Peyriac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à débordement lent de cours d'eau, notamment la Gélise. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2003 et 2009[16],[14].

Sainte-Maure-de-Peyriac est exposée au risque de feu de forêt. Depuis le , les départements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. Ce règlement vise à mieux prévenir les incendies de forêt, à faciliter les interventions des services et à limiter les conséquences, que ce soit par le débroussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la réglementation des activités en forêt. Il définit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associés différentes mesures[17],[18].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines), des glissements de terrain et des tassements différentiels[19]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[20].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Sainte-Maure-de-Peyriac.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[21]. 81,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (91,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 1],[22].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1990 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[14].

Toponymie

modifier

Histoire

modifier

Lors de la Révolution française, la commune est formée par la réunion des paroisses de Peyriac et de Gajo[23]. En 1840, Louspeyrous intègre la commune[2].

Politique et administration

modifier

Rattachements administratifs et électoraux

modifier

Rattachements administratifs

modifier

La commune se trouve depuis 1942 dans l'arrondissement de Nérac du département de l'Lot-et-Garonne[I 1].

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Mézin[2]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

modifier

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de l'Albret[I 1].

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de Lot-et-Garonne.

Intercommunalité

modifier

Sainte-Maure-de-Peyriac était membre de la petite communauté de communes du Mézinais, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1999 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté de communes dénommée Albret Communauté, dont est désormais membre la commune[I 1].

Liste des maires

modifier
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1977 mars 2001 Henri Duffau[Note 2]    
mars 2001 mars 2014[25] Michel Darréon DVD Agriculteur[26]
Président de la CC du Mézinais[27] (2008 → 2014)
mars 2014 avril 2023[28] Robert Linossier[29] DVD Cadre retraité
Démissionnaire
juin 2023[30] En cours
(au 22 janvier 2024[31])
Thierry Planté   Agriculteur

Jumelage

modifier

Équipements et services publics

modifier

Enseignement

modifier

La commune fait partie d'un regroupement pédagogique intercommunal et dispose d'une école[31].

Population et société

modifier

Démographie

modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[34].

En 2021, la commune comptait 308 habitants[Note 3], en évolution de −10,72 % par rapport à 2015 (Lot-et-Garonne : −0,66 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
770711836775764699961926917
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
926907889850839812787712726
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
705635597553658653656596597
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
559503385343327326340344335
2014 2019 2021 - - - - - -
344312308------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[2] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités

modifier

Le comité des fêtes organise chaque année la fête du village. Celle-ci est généralement programmée lors du week-end de Pentecôte. Sont organisés brocante, repas dansants, bodega, et course landaise.[réf. nécessaire]

Lieux et monuments

modifier

Personnalités liées à la commune

modifier

Héraldique

modifier
Blason de Sainte-Maure-de-Peyriac Blason
De gueules au pal d'argent maçonnée à l'ancienne, accosté de deux grappes de raisins adossées, tigées et feuillées de même.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir

modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

modifier

Liens externes

modifier


Notes et références

modifier

Notes et cartes

modifier
  • Notes
  1. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  2. La salle des fêtes de la commune porte le nom de ce maire[24]
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

modifier

Site de l'Insee

modifier

Autres sources

modifier
  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  3. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Orthodromie entre Sainte-Maure-de-Peyriac et Réaup-Lisse », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Reaup » (commune de Réaup-Lisse) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Reaup » (commune de Réaup-Lisse) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Sainte-Maure-de-Peyriac », sur Géorisques (consulté le ).
  15. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  16. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  17. « Règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. », sur landes.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  19. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  20. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Sainte-Maure-de-Peyriac », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  22. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  23. http://www.sudalbret-tourisme.fr/villes-a-villages/sainte-maure-de-peyriac.html
  24. « La salle des fêtes enfin baptisée », La Dépêche du Midi,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Cette salle anonyme se devait de porter un nom, celui de son concepteur et réalisateur, Henri Duffau maire de Sainte-Maure de 1977 à 2001 ».
  25. Francis Sigl, « La der de Michel Darréon », Sud Ouest,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Au fil de ses propos, une attente du public, mais Michel Darréon mettait fin au suspense en annonçant qu’il ne se représentait pas aux prochaines échéances municipales ».
  26. http://www.adm47.asso.fr/annuaire.php?fiche=20&type=0
  27. Francis Sigl, « L’ancien président répond aux critiques », Sud Ouest,‎ (lire en ligne Accès limité, consulté le ) « face aux critiques, celui qui fut maire de Sainte-Maure-de-Peyriac de 2001 à 2014 et président de la Communauté de communes (CdC) du Mézinais de 2008 à 2014, sort de son silence ».
  28. Lucas Dupont, « Démission d'un maire en Lot-et-Garonne : pourquoi l'élu de Sainte-Maure-de-Peyriac quitte ses fonctions », La Dépêche du Midi,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Fatigué par plusieurs problèmes physiques et personnels, Robert Linossier a décidé de quitter ses fonctions, laissant le village de Sainte-Maure-de-Peyriac sans maire ».
  29. Réélu pour le mandat 2020-2026 ; « Sainte-Maure-de-Peyriac. Robert Linossier réélu », La Dépêche du Midi,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. Francis Sigl, « Lot-et-Garonne : Thierry Planté élu maire de Sainte-Maure-de-Peyriac », Sud Ouest,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Thierry Planté, qui assurait l’intérim jusqu’à cette élection, a été élu maire de la commune avec sept voix, quatre bulletins blancs ont été comptabilisés. [...] Il a été élu en 2014 conseiller municipal, puis, en 2020, 1ᵉʳ adjoint ».
  31. a et b Francis Sigl, « Sainte-Maure-de-Peyriac : la commune a eu son lot d’événements en 2023 », Sud Ouest,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Sur un plan plus joyeux, grâce au RPI, l’école fonctionne toujours et à la rentrée, les écoliers ont retrouvé avec plaisir leur instituteur, M. Miremont, absent plusieurs mois pour cause de maladie ».
  32. « Sainte-Maure-de-Peyriac voit double », La Dépêche du Midi,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. « Église Saint-Celse », notice no IA47001380, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  37. « Eglise paroissiale Saint-Celse », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  38. « Église Saint-Laurent », notice no IA47001381, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  39. « Eglise paroissiale Saint-Laurent », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  40. « Église Sainte-Marie-Madeleine », notice no IA47001426, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  41. « Eglise paroissiale Sainte-Marie-Madeleine », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  42. « Maison forte de Louspeyrous », notice no IA47001426, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.