Saison 1 de The Office

saison 1 de la série télévisée « The Office »

Saison 1 de The Office
Logo de la série.
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Série The Office
Pays d'origine Drapeau des États-Unis États-Unis
Chaîne d'origine NBC
Diff. originale
Nb. d'épisodes 6

Chronologie

La première saison de The Office, comédie télévisée américaine créée par Ricky Gervais et Stephen Merchant, est diffusée du au aux États-Unis sur NBC. En France, elle est diffusée du au sur Canal+. La saison comporte 6 épisodes d’une demi-heure.

Adaptation américaine développée par Greg Daniels de la série télévisée britannique du même nom, The Office met en scène sous forme de documenteur le quotidien d’employés de bureau de l’entreprise de papier fictive Dunder Mifflin, située à Scranton en Pennsylvanie. La distribution principale est composée de Steve Carell, Rainn Wilson, John Krasinski, Jenna Fischer et B. J. Novak.

La première saison présente les personnages principaux et établit l’intrigue générale de la série, centrée autour de Michael Scott (Carell), directeur régional de la succursale Dunder Mifflin de Scranton. Il veut que son bureau paraisse heureux et bien dirigé. Pendant ce temps, le commercial Jim Halpert (Krasinski) fait des farces à son voisin de bureau, Dwight Schrute (Wilson), la réceptionniste Pam Beesly (Fischer) tente de gérer les remarques maladroites de Michael et l’intérimaire Ryan Howard (Novak) se contente quant à lui d’observer la bêtise qui l’entoure.

La première saison de The Office est diffusée le mardi aux États-Unis à 21 h 30. La saison débute avec des audiences élevées, et obtient des critiques plutôt positives. Seul le pilote est critiqué, certains critiques estimant qu’il s’agit d’une simple copie de la série d’origine. Universal Pictures Home Entertainment publie la première saison en DVD le . Le coffret d’un disque contient les six épisodes, de nombreuses scènes coupées ainsi que des commentaires d’épisodes de différents membres de l’équipe de production.

Synopsis modifier

La saison commence par la présentation des différents employés via une visite donnée par le directeur de la succursale Michael Scott, accompagné par la caméra et par le nouvel intérimaire Ryan Howard[1]. Le commercial Jim Halpert a des sentiments pour la réceptionniste, Pam, qui l’aide à faire des farces à son collègue Dwight Schrute, bien qu’elle soit fiancée à Roy (qui travaille à l’étage inférieur, à l’entrepôt). La rumeur court que le siège de Dunder Mifflin planifie de fermer cette branche de l’entreprise, ce qui mène à une anxiété générale, mais Michael refuse de voir la réalité de la situation afin de maintenir le moral des employés[2].

Distribution modifier

Acteurs principaux modifier

  • Steve Carell (VF : Constantin Pappas) : Michael Scott, directeur régional de la succursale de Scranton de Dunder Mifflin[3]. Librement inspiré de David Brent, incarné par Ricky Gervais dans la version britannique[4], Scott est un homme ignorant et solitaire, qui tente de se faire des amis en amusant ses employés, au risque de se ridiculiser.
  • Rainn Wilson (VF : Philippe Siboulet) : Dwight Schrute, inspiré du personnage Gareth Keenan. Il est l’assistant du directeur régional (« assistant to the regional manager »), bien qu’il préfère qu’on l’appelle simplement assistant directeur régional (« assistant regional manager »)[5].
  • John Krasinski (VF : Stéphane Pouplard) : Jim Halpert, un représentant commercial farceur, inspiré de Tim Canterbury, qui est amoureux de Pam Beesly, la réceptionniste[6].
  • Jenna Fischer (VF : Amélie Gonin) : Pam Beesly, basée sur Dawn Tinsley. Elle est une réceptionniste timide, souvent de mèche avec Jim pour faire des farces à Dwight[7].
  • B. J. Novak (VF : Thibaut Belfodil) : Ryan Howard, l’intérimaire.

Acteurs récurrents modifier

  • Leslie David Baker (VF : Bruno Henry) : Stanley Hudson, un commercial grincheux.
  • Brian Baumgartner (VF : Yves-Henri Salerne) : Kevin Malone, un comptable simple d’esprit.
  • Angela Kinsey (VF : Josy Bernard) : Angela Martin, une comptable autoritaire amoureuse de Dwight.
  • Oscar Nuñez (VF : Tony Joudrier) : Oscar Martinez, un comptable intelligent.
  • Phyllis Smith (VF : Marie-Martine) : Phyllis Lapin, une commerciale timide et sympathique
  • Kate Flannery (VF : Marie-Christine Robert) : Meredith Palmer, représentante des relations d’approvisionnement alcoolique et désinhibée.
  • Mindy Kaling (VF : Audrey Sablé) : Kelly Kapoor, la représentante du service clientèle obsédée par la culture pop.
  • Creed Bratton (VF : Frédéric Cerdal) : Creed Bratton, le mystérieux responsable de l’assurance qualité du bureau.
  • Paul Lieberstein (VF : Martin Brieuc) : Toby Flenderson, représentant des ressources humaines au regard triste.
  • Craig Robinson (VF : Pascal Vilmen) : Darryl Philbin, responsable de l’entrepôt.
  • Melora Hardin (VF : Laurence Bréheret) : Jan Levinson-Gould, vice-présidente des ventes régionales.
  • David Denman (VF : Jérôme Berthoud) : Roy Anderson, un employé de l’entrepôt et le fiancé de Pam.
  • Devon Abner : Devon White, représentant des relations avec les fournisseurs[8].

Invités notables modifier

  • Toby Huss : voix de Todd Packer, un commercial itinérant grossier et insultant. C'est aussi le meilleur ami de Michael Scott[9].
  • Larry Wilmore : M. Brown, un consultant qui arrive pour enseigner au bureau la tolérance et la diversité.
  • Patrice O'Neal : Lonny Collins, un ouvrier de l’entrepôt.
  • Amy Adams (VF : Frédérique Marlot) : dans le rôle de Katy Moore, une vendeuse de sacs à main.
Version française

 Source et légende : version française (VF) sur RS Doublage[10] , Allodoublage[11] et Doublage Séries Database[12].

Production modifier

Développement modifier

La première saison de The Office est produite par Reveille Productions et Deedle-Dee Productions, en association avec NBC Universal Television Studios. La série est basée sur la série britannique du même nom créée par Ricky Gervais et Stephen Merchant, qui produisent la série. Greg Daniels est également producteur délégué de la série, tandis que Larry Wilmore[13] et Lester Lewis en sont les producteurs consultants[14]. L’équipe de scénaristes est composée de Daniels, Gervais, Merchant et Michael Schur[15]. Mindy Kaling, Paul Lieberstein et B. J. Novak coécrivent trois épisodes de la saison en plus de faire partie de la distribution de la série. Pour cette saison, Schur est coproducteur, Kaling est scénariste, Lieberstein est producteur consultant et Novak est rédacteur en chef. Le premier épisode, La Rumeur, est écrit par Daniels, mais la majorité de l’épisode est adaptée du pilote de la série britannique. Plusieurs scènes sont reprises presque mot pour mot[16].

Réalisation modifier

Les épisodes de la première saison sont réalisés par cinq réalisateurs différents. The Office dispose à la fois d’une « équipe de réalisateurs » et de réalisateurs indépendants. Ken Kwapis réalise ainsi les deux premiers épisodes, La Rumeur et La Journée de la Diversité ; il en réalisera onze autres, dont le dernier de la série[17]. Ken Whittingham, qui réalise La Mutuelle, réalisera pour sa part huit autres épisodes de la série[18]. Quant à Daniels, il écrit et réalise l’épisode Le Match de Basket[19]. La première saison de The Office est presque entièrement tournée dans un immeuble de bureaux de Los Angeles, en Californie. Outre Los Angeles, la ville de Scranton, en Pennsylvanie, où se déroule la série, sert également de décor pour le générique d’ouverture[20].

Accueil modifier

Audiences modifier

Audiences de la première saison de The Office aux États-Unis.

Le premier épisode de The Office obtient de bons résultats d’audience, avec plus de onze millions de téléspectateurs, et se classe troisième dans sa case horaire le soir de sa diffusion aux États-Unis[21],[22]. L’épisode est diffusé un jeudi soir, contrairement au reste de la série, diffusée le mardi soir. Les audiences de la série chutent ensuite fortement, avec une moyenne de moins de 6 millions de téléspectateurs, soit environ la moitié des audiences du pilote[23],[24]. Le dernier épisode de la première saison, La Fille Canon, obtient l’une des plus mauvaises audiences de l’histoire de la série, avec un score de 2,2 sur l’échelle de Nielsen et une part d’audience de 10[25]. Après la mauvaise réception de l’épisode, de nombreux critiques prédisent à tort qu’il sera le dernier de la série[25]. La première saison de The Office rassemble en moyenne 5,4 millions de téléspectateurs, ce qui la place au 102e rang pour la saison télévisuelle 2004-2005 aux États-Unis[26].

Critiques modifier

Un homme aux cheveux noirs, Steve Carell, est debout dans un smoking. Il regarde vers la caméra et sourit.
Steve Carell a d’abord été critiqué pour son interprétation de Michael Scott, bien que son personnage ait ensuite obtenu les faveurs de la critique.

Le pilote de la série, La Rumeur, reçoit un accueil très mitigé de la part des critiques[27]. Après la diffusion de la première saison de The Office, la critique voit la série comme un nouveau remake manqué d’une série britannique, à l’image de la version américaine de la série britannique Six Sexy[28]. Ainsi, le Deseret Morning News déclare : « Peut-être qu’après la mort rapide de The Office sur NBC, la chaîne décidera que tenter d’américaniser des comédies télévisées britanniques n'est pas une si bonne idée »[C 1],[29]. Le New York Daily News estime quant à lui que la série n’est « ni audacieuse ni drôle »[C 2], ajoutant que « la version de NBC est si diluée qu’il ne reste que de l’eau boueuse »[C 3],[30]. Le Los Angeles Times déplore l’interprétation caricaturale de Steve Carell, et déclare que « la tristesse qui se cachait derrière les personnages de la série originale s’est perdue dans la traduction »[C 4],[30]. Une critique du quotidien britannique The Guardian note son manque d’originalité, déclarant que Steve Carell « en fait trop, il joue la comédie, il essaie d’être embarrassant au lieu de simplement l’être. Peut-être que dans les épisodes suivants, quand il s’écartera du scénario de Gervais et Merchant, il trouvera son personnage. Mais pour l’instant, c’est une pâle imitation »[C 5],[31]. Tom Shales du Washington Post déclare que ce n’est « pas le méli-mélo que [la version américanisée de Six Sexy] s’est avérée être, mais encore une fois, la qualité de la série originale fait que son remake semble bien terne »[C 6],[32].

Malgré ces critiques, le reste de la saison bénéficie d’un accueil plutôt positif de la part des critiques. La saison obtient un score de 62 sur 100 sur Metacritic, indiquant « des critiques généralement favorables »[33]. Le magazine Time écrit : « Il est ironique que la sitcom la plus originale de NBC depuis des années soit un remake, mais qui s’en soucie ? The Office est une vision audacieuse et sans concessions des conflits en entreprise, très américains »[C 7],[27]. Le site Boston.com estime que la première saison de The Office est réussie, et que les différences entre les personnages de la série américaine et ceux de la série originale contribuent à sa popularité[34]. Rob Owen du Pittsburgh Post-Gazette considère que la première saison de The Office est très bonne et que, en dépit des échecs précédents de NBC en termes de remakes de série télévisées, la chaîne trouve le succès avec The Office[35]. Le magazine Entertainment Weekly attribue la note B+ à la saison et écrit que The Office « est une série intelligente et intime, capturant toute la pénibilité, la gêne et la rivalité de la vie en entreprise »[C 8], tout en lui reprochant un manque de subtilité par rapport à la série originale[36].

De plus, La Journée de la Diversité, le deuxième épisode de la saison, est considéré comme l’un des meilleurs épisodes de toute la série. Le magazine TV Guide le désigne comme le dix-neuvième meilleur épisode de toutes les séries télévisées en 2009[37], tandis que Rolling Stone classe la scène où Michael montre à ses employés sa vidéo sur la diversité à la troisième position de son classement des meilleurs moments de The Office[38].

Distinctions modifier

La première saison de The Office reçoit plusieurs nominations, dont trois aux Writers Guild of America Awards. La série est notamment nommée dans les catégories meilleur scénario pour une nouvelle série télévisée et meilleur scénario pour une série télévisée comique. De plus, pour son travail sur La Journée de la Diversité, B. J. Novak est nommé pour le Writers Guild of America Award du meilleur scénario pour un épisode comique[39].

Liste des épisodes modifier

Épisode 1 : La Rumeur modifier

Photographie d’un homme tenant un micro.
Pilote est basé sur le premier épisode original de la version britannique de The Office, créée par Ricky Gervais (photo) et Stephen Merchant.
Titre original
Pilot (trad. litt. : « Pilote »)
Numéro de production
1 (1-01)[40]
Première diffusion
Réalisation
Scénario
Audiences
Drapeau des États-Unis États-Unis : 11,2 millions de téléspectateurs[42]
Synopsis
Une équipe de tournage arrive dans les bureaux de Dunder Mifflin à Scranton, en Pennsylvanie, pour observer les employés et découvrir le monde du travail. Le directeur régional Michael Scott tente de redonner le sourire aux employés malgré le risque de réduction des effectifs de l’entreprise. L’entreprise accueille également un intérimaire, Ryan Howard, tandis que le commercial Jim Halpert fait des farces à son collègue Dwight Schrute, ce qui amuse la réceptionniste Pam Beesly[43],[44].
Résumé détaillé

Une équipe télévisée suit la branche de Scranton de l’entreprise Dunder Mifflin dirigée par Michael Scott, pour un documentaire. Scott est un patron fantasque, qui veut se faire aimer de ses employés et passe son temps à faire des blagues à ses employés. Parmi ses subalternes, on trouve Dwight Schrute, assistant du directeur régional qui se dit directeur régional adjoint, ainsi que son collègue Jim Halpert, jeune commercial compétent qui passe son temps à faire des farces à Dwight. Jim passe aussi son temps à parler avec son amie, la réceptionniste Pam Beesly. Cette dernière est fiancée à Roy Anderson, employé de l’entrepôt de Dunder Mifflin[43],[44].

Alors qu’un intérimaire, Ryan Howard, fait son arrivée dans la branche de Scranton, la supérieure de Michael, Jan Levinson-Gould, arrive de New York pour annoncer que pour des raisons économiques une branche, celle de Stamford ou celle de Scranton, est menacée de fermeture. Les employés finissent par le découvrir et Michael tente en vain d’apaiser leurs craintes en leur annonçant que personne ne sera renvoyé. Pendant ce temps, Dwight découvre que Jim a recouvert son agrafeuse de gelée[43],[44].

Plus tard, Michael convoque Pam, et la piège en lui faisant croire qu’elle est renvoyée pour un vol de post-it. Quand Pam se met à pleurer, Michael lui annonce que c’est une farce et qu’elle n’est pas licenciée. Choquée, elle l’insulte et quitte précipitamment son bureau. À la fin de l’épisode, Jim profite de l’absence de Michael afin de placer sur son bureau une assiette avec de la gelée qui contient le mug de ce dernier, comme il avait fait avec l’agrafeuse de Dwight[43],[44].

Épisode 2 : La Journée de la Diversité modifier

Photographie d’un homme avec des lunettes regardant la caméra en souriant.
L’épisode met en vedette Larry Wilmore dans le rôle de M. Brown.
Titre original
Diversity Day (trad. litt. : « Jour de la diversité »)
Numéro de production
2 (1-02)
Première diffusion
Réalisation
Ken Kwapis
Scénario
Audiences
Drapeau des États-Unis États-Unis : 6,0 millions de téléspectateurs[42]
Invités
Synopsis
L’imitation controversée par Michael d’un numéro de Chris Rock oblige le personnel à suivre un séminaire sur la diversité. Alors qu’un consultant est arrivé pour le présenter, Michael insiste pour le faire lui-même. Il attribue à chaque membre du personnel une fiche sur laquelle figure une race différente, ce qui rend l’atmosphère tendue. De son côté, Jim perd l’une de ses commissions annuelles les plus importantes au profit de Dwight, mais il finit par se rapprocher de Pam[44],[45].
Résumé détaillé

Michael se lance dans une imitation de Chris Rock, mais la plupart des employés se sentent offensés. À la suite de cet incident, le siège propose à tous les membres de la filiale de suivre une formation pour gérer la diversité dans l’entreprise. Mais cette formation, dispensée par un certain M. Brown, ne plaît pas à Michael, qui décide d’organiser sa propre réunion sur le sujet. Après avoir montré une courte vidéo à ses employés, Michael organise un jeu en assignant une personne avec une étiquette collée représentant une ethnie différente. Lorsqu’il imite de manière raciste un Indien devant Kelly, celle-ci se vexe et le gifle[44],[45].

De son côté, Jim tente désespérément de réitérer une vente annuelle qui représente un quart de sa commission annuelle, mais il se fait finalement doubler par Dwight. Cependant, à la fin de la réunion, Pam s’assoupit sur son épaule, ce qui amène Jim à conclure que ce n’était « pas une mauvaise journée »[44],[45].

Épisode 3 : La Mutuelle modifier

Photographie d’une jeune femme regardant la caméra en souriant.
Dans une interview accordée à TV Guide, Jenna Fischer a déclaré que La Mutuelle était son épisode préféré de la première saison[46].
Titre original
Health Care (trad. litt. : « Soins de santé »)
Numéro de production
3 (1-03)
Première diffusion
Réalisation
Scénario
Audiences
Drapeau des États-Unis États-Unis : 5,8 millions de téléspectateurs[42]
Synopsis
Dans le but d’économiser de l’argent et d’éviter une réduction des effectifs, Michael confie à Dwight le soin de choisir le nouveau régime d’assurance maladie de l’entreprise. Le plan choisi par Dwight réduit les prestations, au grand dam des autres employés. Pour tenter de les apaiser, Michael leur promet une surprise à tous, puis il passe le reste de la journée à essayer de tenir sa promesse. Les employés attendent la surprise de Michael, en vain. Pendant ce temps, Jim et Pam s’amusent avec les formulaires médicaux de Dwight[47],[48].
Résumé détaillé

La manager Jan Levinson-Gould confie à Michael la tâche de choisir un nouveau plan de soins de santé pour l’entreprise, le moins cher possible. Ne voulant pas annoncer la mauvaise nouvelle à ses employés, Michael charge Jim de s’occuper de cette décision, mais celui-ci recommande plutôt Dwight, qui accepte la mission avec enthousiasme. Pour travailler sur le plan, Michael autorise Dwight à utiliser la salle de conférence comme espace de travail temporaire, bien que Dwight le considère comme son bureau[47],[48].

Dwight choisit un plan très bon marché avec peu de couverture, aucun avantage et une franchise importante. Ne voulant pas affronter les employés mécontents, Michael se cache dans son bureau en prétendant être occupé. Lorsqu’ils viennent lui reprocher le mauvais plan de Dwight, Michael réprimande Dwight et tente de leur remonter le moral en leur promettant une surprise à la fin de la journée. Dans une autre tentative désespérée d’éviter les questions, Michael quitte le bureau et essaie de planifier la surprise[47],[48].

De retour au bureau, Dwight distribue des formulaires qui demandent aux employés d’énumérer tous les maux ou maladies qu’ils peuvent avoir afin qu’ils soient couverts. Jim et Pam se mettent à inventer de fausses maladies, ce qui exaspère Dwight. Jim enferme ensuite Dwight dans son espace de travail alors que Michael, n’ayant pas réussi à lui procurer une meilleure surprise, revient avec des sandwichs à la crème glacée. Alors qu’il est coincé dans la salle de conférence, Dwight appelle Jan pour tenter de faire virer Jim, mais Jan est non seulement outrée que Michael ait quitté le bureau et laissé Dwight aux commandes, mais aussi qu’il lui ait confié les tâches liées au plan de santé. Dwight rassemble ensuite les employés dans la salle de conférence, les forçant à révéler publiquement leurs maladies[47],[48].

À la fin de la journée, les employés s’adressent à Michael pour entendre parler de la surprise, mais les tactiques maladroites de Michael les amènent à réaliser qu’il n’y a pas de surprise, et ils partent. Lorsqu’il ne reste plus que lui et Dwight dans le bureau, Dwight lui révèle négligemment ce que Jan lui a dit[47],[48].

Épisode 4 : L'Alliance modifier

Photographie d’un homme assis devant un micro regardant en face de lui.
Randall Einhorn, qui a travaillé en tant que caméraman sur l’émission Survivor, a tourné l’épisode.
Titre original
The Alliance (trad. litt. : « L’Alliance »)
Numéro de production
4 (1-04)
Première diffusion
Réalisation
Scénario
Audiences
Drapeau des États-Unis États-Unis : 5,4 millions de téléspectateurs[42]
Synopsis
Alors que les rumeurs de réduction des effectifs circulent, la paranoïa s’empare des employés. Dwight forme une alliance de type « Survivor » avec Jim contre les autres employés, et y invite ensuite Pam. Pendant ce temps, Michael organise une fête d’anniversaire pour remonter le moral de la représentante des relations d’approvisionnement, Meredith Palmer, bien que son anniversaire soit dans plus d’un mois. Michael cherche à tout prix à écrire le message parfait pour sa carte d’anniversaire, mais sa blague tombe à plat, ce qui gâche la fête[48],[49].
Résumé détaillé

Les rumeurs de réduction des effectifs à Dunder Mifflin n’ont pas cessé. Dwight se sent particulièrement menacé par la crise imminente, et, dans un acte de désespoir, forme une alliance avec son ennemi de bureau, Jim. Ce dernier voit l’alliance comme une opportunité de se jouer de Dwight avec l’aide de Pam[48],[49].

Pendant ce temps, Michael tente de remonter le moral des employés en organisant une fête d’anniversaire de bureau pour Meredith, même si son anniversaire est dans un mois. Michael essaye de trouver la phrase parfaite pour sa carte d’anniversaire. Finalement, la blague qu’il y inscrit tombe à plat et ruine la fête. Parallèlement, Michael fait une donation pour un marathon de marche en faveur du neveu d’Oscar qui est atteint de paralysie cérébrale, mais ne comprend pas le système de contribution, ce qui l’amène à faire un don plus important qu’il ne le pensait[48],[49].

En fin de journée, après plusieurs farces, Jim saisit étourdiment la main de Pam en lui racontant ce qui s’est passé. Cependant, Roy, le fiancé de la jeune femme, s’en aperçoit et y voit une tentative de Jim de séduire Pam. Jim tente de convaincre Roy qu’il ne s’agissait que de « farces de bureau » et demande à Dwight de le soutenir, mais celui-ci nie simplement toute implication, laissant Jim dans l’embarras. Dwight révèle qu’il n’a eu aucun problème à trahir Jim, malgré le fait qu’il soit récemment tombé dans un de ses pièges[48],[49].

Épisode 5 : Le Match de Basket modifier

Photographie d’un jeune homme regardant la caméra en souriant.
L’acteur John Krasinski, champion de basket-ball au lycée, a réalisé toutes ses propres cascades dans l’épisode[50].
Titre original
Basketball (trad. litt. : « Basket-ball »)
Numéro de production
5 (1-05)
Première diffusion
Réalisation
Greg Daniels
Scénario
Greg Daniels
Audiences
Drapeau des États-Unis États-Unis : 5,0 millions de téléspectateurs[42]
Synopsis
Michael et ses employés de bureau affrontent les ouvriers de l’entrepôt dans un match de basket. En raison de ses préjugés racistes et sexistes, Michael choisit les employés de bureau les moins doués au détriment de leurs collègues plus athlétiques. Pour rendre le match plus excitant, il est décidé que l’équipe perdante viendra travailler le samedi au bureau. À un moment décisif de la rencontre, Michael invoque une « faute intentionnelle personnelle flagrante », arrête le match et déclare son équipe gagnante. L’entrepôt trouve la décision injuste et fait céder Michael, qui accepte la victoire des employés de l’entrepôt. Il annonce finalement à ses employés qu’ils n’ont pas à venir le samedi non plus, mais cela ne les calme guère[51],[52].
Résumé détaillé

Michael organise un match de basket au sein de l’entrepôt de Dunder Mifflin. Il choisit les commerciaux : Jim, Ryan et Stanley — que Michael, en raison de ses préjugés, considère comme l’arme secrète de l’équipe. Il choisit aussi Dwight et Phyllis à contrecœur, mais refuse néanmoins de prendre Oscar ou Kevin. Le directeur de la branche de Scranton espère remonter le moral de ses employés, qui sont menacés par une réduction des effectifs, mais il lui est difficile de motiver ses troupes, malgré son enthousiasme. Afin de pimenter la rencontre, il décide que l’équipe perdante viendra travailler le samedi au bureau[51],[52].

La partie commence et Stanley s’avère être un piètre joueur. De plus, Michael est incapable de tirer, et il est incapable de faire une passe ou de défendre. Lorsqu’il prend possession du ballon, il fait le pitre pour provoquer ses adversaires, ce qui a pour conséquence que Roy s’empare du ballon et marque contre son équipe. Bien que Michael soit celui qui a perdu le ballon, il attribue ce panier à l’incompétence de ses coéquipiers. Jim échange avec Michael en défense et défend Roy. Alors que Jim commence à se montrer performant, Roy et Jim deviennent progressivement agressifs l’un envers l’autre, sous le regard de Pam. À un moment crucial du jeu, Michael est accidentellement frappé au visage et affirme qu’il s’agit d’une « faute intentionnelle flagrante ». Il arrête le jeu et déclare que les employés du bureau ont gagné puisqu’ils menaient au moment où la faute a été commise. Les employés de l’entrepôt jugent la décision injuste et Michael cède sous la pression, reconnaissant leur victoire. Alors que tout le monde retourne au travail, Kevin démontre ses excellents talents de tireur[51],[52].

Par la suite, Michael, dans un rare moment de gentillesse, annonce à ses employés qu’ils ne sont pas obligés de venir travailler le samedi ; cependant, il laisse échapper que venir une journée supplémentaire n’empêchera pas la réduction d’effectif[51],[52].

Épisode 6 : La Fille Canon modifier

Photographie d’une jeune femme saluant une personne en souriant.
L’épisode Hot Girl introduit le personnage récurrent Katy, interprété par Amy Adams.
Titre original
Hot Girl (trad. litt. : « Fille sexy »)
Numéro de production
6 (1-06)
Première diffusion
Réalisation
Scénario
Audiences
Drapeau des États-Unis États-Unis : 4,8 millions de téléspectateurs[42]
Invités
Synopsis
Katy, une séduisante vendeuse de sacs à main, vient au bureau, créant des tensions entre Michael et Dwight. Pendant ce temps, le siège de l’entreprise attribue un prix de 1 000 dollars au commercial avec le plus de ventes du bureau, mais Michael dépense l’argent pour une machine à expresso afin d’impressionner Katy. Cependant, elle finit par partir avec Jim, désolant à la fois Michael et Dwight[52],[53].
Résumé détaillé

L’entreprise informe Michael qu’un plan d’encouragement a été mis en place : le commercial totalisant le plus de ventes de Dunder Mifflin sera récompensé par un prix pouvant atteindre 1 000 dollars. Alors que Michael décide de choisir ce prix, Katy Moore, une jolie vendeuse de sacs à main, entre dans le bureau pour vendre ses produits. Quand Michael la voit, il lui propose de s’installer dans la salle de conférence, ce qui attire le regard de tous les employés. En lui faisant visiter le bureau, Michael essaie de l’impressionner tout en faisant de son mieux pour empêcher tout autre homme de s’approcher. Roy confie qu’il tenterait de la séduire s’il ne sortait pas avec Pam ; celle-ci lui fait remarquer qu’ils sont encore fiancés, vexée[52],[53].

Jim convainc Dwight qu’il devrait approcher Katy et que si rien ne marche, il devrait acheter un sac à main, ce qu’il fait à la grande joie de Pam et Jim. Quand Michael apprend qu’elle a besoin d’être raccompagnée chez elle, il fait de son mieux pour se proposer, allant jusqu’à dépenser les 1 000 dollars pour une machine à expresso afin de l’impressionner. Alors que Pam est assise sur le bureau de Jim et lui parle, Roy arrive et essaie de s’excuser auprès de Pam ; il finit par lui redonner le sourire en la chatouillant. Jim quitte son bureau, mal à l’aise. Plus tard, il entame une conversation avec Katy, qui décide finalement de se faire raccompagner par Jim, laissant Michael et Dwight dépités. Il est révélé que Katy et Jim sortent également pour prendre un verre, suscitant la jalousie de Pam[52],[53].

Sortie en DVD modifier

La première saison sort en DVD le [54] dans la région 1 et le dans la région 2[55]. Le coffret comprend, outre les épisodes, de nombreuses scènes coupées ainsi que des commentaires d’épisodes par différents membres de l’équipe de production[56].

The Office: The Complete First Season
Détails[56] Caractéristiques[56]
  • 6 épisodes
  • Coffret d’un disque
  • Aspect ratio 1.78:1
  • Langues :
    • Anglais (Dolby Digital 2.0)
  • Sous-titres :
    • Anglais, Espagnol
  • Commentaires des acteurs, scénaristes et producteurs sur 4 épisodes : La Rumeur, La Journée de la Diversité, L’Alliance, Le Match de Basket
  • Scènes coupées de chaque épisode
Dates de sortie
Région 1 Région 2
[54] [55]

Notes et références modifier

Citations originales modifier

Les traductions des citations sont des traductions libres, parfois réalisées avec l’aide de dictionnaires ou de services de traduction dont DeepL.
  1. (en) « Maybe, after The Office dies a quick death on NBC, the network will decide that trying to Americanize British TV comedies isn't such a great idea. ».
  2. (en) « neither daring nor funny ».
  3. (en) « NBC's version is so diluted there's little left but muddy water ».
  4. (en) « Lost in translation is the sadness behind the characters. ».
  5. (en) « He just seems to be trying too hard, to be obviously acting, to be trying to be embarrassing rather than just being embarrassing. Maybe in later episodes when it deviates from Gervais and Merchant's script, he'll come into his own. But right now he's a pale imitation ».
  6. (en) « not the mishmash that [the Americanized version of Coupling] turned out to be, but again the quality of the original show causes the remake to look dim ».
  7. (en) « It's ironic that NBC's most original sitcom in years is a remake, but who cares? The Office is a daring, unflinching take on very American workplace tensions. ».
  8. (en) « is clever and insular, capturing all the drudgery, awkwardness, and rivalry of cubicle living ».

Notes et références modifier

  1. Épisode La Rumeur (Pilot), premier épisode de la première saison de la série The Office, d'une durée de 23 minutes. Scénario de Greg Daniels et réalisation de Ken Kwapis. Diffusé pour la première fois le sur le réseau NBC.
  2. (en) « Recap of The Office : Season 1 », sur Recap Guide (consulté le ).
  3. (en) Del Jones, « Taking 'Office' Lessons from the World's Greatest (Inept) Boss », sur USA Today, (consulté le ).
  4. (en) Alessandra Stanley, « Jolly Good Show Or Was It?; On TV, Attitude Is More Important Than the Way the Vowels Sound », sur The New York Times, (consulté le ).
  5. (en) Brian Rooney, « The Man Behind 'The Office's' Favorite Suck-Up, Dwight Schrute », sur ABC News, (consulté le ).
  6. (en) Bill Carter, « 'The Office' Transfers to a New Cubicle », sur The New York Times, (consulté le ).
  7. (en) Alessandra Stanley, « An American-Style 'Office' With a Boss From Heck », sur The New York Times, (consulté le ).
  8. (en) « The Office Cast and Details », sur TV Guide (consulté le ).
  9. (en) Nicole Gallucci, « Why the 'Office Ladies' podcast is worth your time », sur Mashable, (consulté le ).
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Articles connexes modifier

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