Salle des opérations conjointes palestiniennes
| Salle des opérations conjointes palestiniennes غرفة العمليات المشتركة (ar) | |
| Idéologie | Diverses : Nationalisme palestinien Islamisme sunnite (en partie) Nationalisme arabe (en partie) Laïcisme (en partie) Nationalisme de gauche (en partie) |
|---|---|
| Statut | Actif |
| Fondation | |
| Date de formation | 2018 |
| Pays d'origine | Palestine |
| Actions | |
| Zone d'opération | Palestine et Israël |
| Organisation | |
| Chefs principaux |  Ismail Haniyeh (Hamas) Ziyad al-Nakhalah (JIP) Ahmad Saadat (FPLP) Nayef Hawatmeh (FDLP) Talal Naji (FPLP-CG)
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| Groupe relié | |
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La salle des opérations conjointes palestiniennes (arabe : غرفة العمليات المشتركة), également connu sous son nom complet la Salle commune des factions de la résistance palestinienne (arabe : الغرفة المشتركة لفصائل المقاومة الفلسطينية), est une salle d'opérations militaires conjointe qui regroupe les armes militaires des factions armées palestiniennes de la bande de Gaza, à l'exception du mouvement Fatah
Histoire modifier
Il a été formé pour la première fois en 2006 afin de s'unir contre les Forces de défense israéliennes lors d'affrontements et de guerres et comprenait le Hamas et le mouvement du Jihad islamique, mais il est tombé dans l'obscurité. Il a ensuite été développé, agrandi et formé sous son nom actuel le 23 juillet 2018, parmi 12 ailes militaires après des violations par Israël à Jérusalem et à la mosquée Al-Aqsa, dont la plus importante était l'installation de portails électroniques[1]. Il se compose actuellement de 12 groupes armés différents et a coordonné un grand nombre d’attaques contre Israël, y compris les attentats du 7 octobre[2], et a également coordonné la défense et les représailles contre l’agression israélienne[3],[4],[5]. Ayman Nofal a expliqué en mai 2023 les objectifs et l'organisation de la salle, qui, selon lui, étaient de créer une alliance inter-organisationnelle pour coordonner les opérations et accroître le potentiel de la « Résistance palestinienne », et qu'elle « devienne un cadre global pour toutes les organisations, réseaux et combattants, sans exception »[6]. Il a également donné une liste de 9 factions sur 12 qui, selon lui, étaient "pleinement unifiées sous la salle"[3].
Membres modifier
- Brigades Izz ad-Din al-Qassam (Hamas)[3],[7],[4],[8]
- Brigades Al-Quds (JIP)[3],[7],[4],[8]
- Brigades Abu Ali Mustafa (FPLP)[3],[7],[8]
- Brigades de Résistance Nationale (FDLP)[3],[7],[8]
- Brigades Al-Nasser Salah al-Deen (RPC)[3],[7],[8]
- Brigades moudjahidines (Mouvement moudjahidine palestinien)[3],[7],[8]
- Brigades des martyrs d'Al-Aqsa (ex-Fatah, qui ne lui sont plus alignées)[3],[7],[8]
- Brigades Jihad Jibril (FPLP-GC)[3],[7]
- Brigades Al-Ansar (Mouvement Al-Ansar)[3],[7],[8]
Non mentionné par Nofal[3] :
Références modifier
- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Palestinian Joint Operations Room » (voir la liste des auteurs).
- (ar) « غرفة العمليات المشتركة.. "قيادة أركان المقاومة" في غزة », الجزيرة نت (consulté le )
- https://carnegieendowment.org/sada/90836
- (en) « Hamas terrorist Ayman Nofal explains the workings of the Palestinian organizations' joint operations room in the Gaza Strip », sur The Meir Amit Intelligence and…, (consulté le ).
- (en) « What is Hamas? A simple guide to the armed Palestinian group », Al Jazeera (consulté le )
- (en) « Palestinian factions say Israel 'counting its remaining days' », The Cradle (consulté le )
- https://www.palestinechronicle.com/joint-room-and-unity-of-the-squares-what-will-the-next-israeli-war-on-gaza-look-like/
- (ar) موسى, « برا وبحرا وجوا.. المقاومة تنفذ أكبر مناورة عسكرية في غزة », الجزيرة نت (consulté le )
- (en-US) Inbari, « A “Joint Operations Room” in Gaza – the New Factor in the Balance of Power in Gaza », Jerusalem Center for Public Affairs, (consulté le )
