Citigroup
Citigroup Inc. (NYSE : C, TSE : 8710), opérant sous le nom Citi, est une entreprise financière majeure basée à New York, issue de la fusion de Citicorp avec Travelers Group le [6].
Citigroup Inc. | |
Création | 8 octobre 1998 |
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Fondateurs | Sandy Weill |
Forme juridique | Publique |
Action | NYSE : C TSE : 8710 |
Slogan | Citi never sleeps |
Siège social | New York États-Unis |
Direction | Jane Fraser, directeur général[1] Michael E. O'Neill, président du conseil d'administration Gary Crittenden, directeur financier[2] |
Président | John C. Dugan (en) |
Actionnaires | voir tableau détaillé |
Activité | Assurance et finance |
Produits | Comptes courants Assurance Courtage Banque d’investissement Asset Based Lending Crédit à la consommation |
Filiales | Citibank[3] Citigroup Japan Holdings (d)[3] Grupo Financiero Banamex (en)[3] |
Effectif | 204 000 fin 2018 |
Site web | www.citigroup.com |
Capitalisation | 176 075 millions USD fin 2019 |
Fonds propres | 225,1 G$ ()[5] |
Chiffre d'affaires | 72 854 millions USD en 2018 |
Bilan comptable | 1 792,1 G$ ()[5] |
Résultat net | 16 672 millions USD en 2018[4] |
Société précédente | National City Bank of New York (d) |
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Elle est, d'après le Forbes Global 2000 de 2017, la douzième entreprise mondiale[7]. Le total de ses actifs s'élève à 1 795,1 milliards de dollars américains. L'entreprise emploie 219 000 personnes dans le monde, et possède environ 200 millions de clients dans plus de 100 pays différents. Elle fait partie du Dow Jones Industrial Average depuis le [8].
Histoire
modifierCitigroup a été créé le après la fusion de la Citicorp et de la compagnie d'assurances Travelers Group[9], devenant ainsi la plus grande organisation de services financiers au monde. Interdite auparavant par le Glass-Steagall Act, cette fusion d'une banque et d'une assurance a été rendue possible par le Gramm-Leach-Bliley Act Financial Services Modernization Act de 1999.
Son histoire est donc divisée entre l'histoire de toutes les sociétés qui ont précédemment fusionné avec soit Citicorp — une multinationale du secteur bancaire opérant dans près de 100 pays —, soit Travelers Group dont les principaux secteurs d'activités sont : l'assurance, les crédits, le courtage et le financement des consommateurs.
En tant que tel, l'historique de Citigroup remonte à la fondation de la City Bank of New York (renommée en Citibank) en 1812, de Bank Handlowy en 1870, de Smith Barney en 1873, de Banamex en 1884, et de Salomon Brothers en 1910.
Citicorp
modifierCiticorp est la société mère de Citibank. L'histoire de Citicorp remonte à 1812. Après l'accord de l'État de New York daté du , c'est en effet le de cette même année que fut créée avec un capital de 2 millions de dollars, The City Bank of New York, une institution financière pour les commerçants locaux et les négociants et dont le siège se trouvait à Wall Street. Samuel Osgood en fut le premier président. Bien avant la fin du siècle, elle déploya ses ailes sur d'autres États du pays ainsi qu'à l'étranger. The City Bank of New York fut alors transformée en The National City Bank of New York en 1865 après avoir rejoint le nouveau système des banques fédérales des États-Unis. En 1895, The National City Bank of New York est alors la plus grosse banque des États-Unis.
National City achète en 1910 une part importante de la Banque de la république d'Haïti, la banque centrale d'Haïti, trésorier du pays et doté d'un monopole sur l'émission de billets[10] Après l'invasion américaine d'Haiti, National City acheta tout le capital de la Banque de la République. Elle fut alors critiquée pour des pratiques jugées déloyales, telle que le refus de payer au gouvernement d'Haïti les intérêts sur l'argent déposé sur ses comptes, qui étaient transférées par City Bank à New York. Elle ne se mit à payer les intérêts qu'après 1922, mais seulement à un taux de 2 %, au lieu des 3,5 % accordé aux autres dépositaires équivalents. Selon le sénateur et économiste Paul Douglas, cela équivalait à une perte d'un million de dollars en intérêt, à une période où les revenus du budget haïtien étaient de moins de 7 millions de dollars[11].
En devenant le plus gros contributeur de la Réserve fédérale de l'État de New York en 1913, puis l'année suivante en inaugurant la première banque Américaine à l'outre-mer à Buenos Aires, The National City Bank of New York s'est imposée comme l'un des leaders majeurs du secteur bancaire. Le , l'anarchiste italien Severino Di Giovanni pose une bombe devant ses bureaux à Buenos Aires, dans le cadre d'une campagne internationale en soutien à Sacco et Vanzetti.
Après la Première Guerre mondiale, l'achat de la banque Américaine d'outre-mer, The International Banking Corporation, en 1918, a fait d'elle la plus importante banque des États-Unis avec des capitaux dépassant le milliard de Dollars, et par conséquent la plus grande banque de commerce du monde en 1929. Au fur et à mesure de son développement, la banque est devenue l'un de leaders en termes d'innovations de services bancaires, avec la création des Traveler's Chèques (1904), les intérêts composés sur l'épargne (1921), les prêts personnels à risque (1928), les comptes courants clients (1936) et le certificat négociable de dépôt (1961).
À partir de 1902, l'expansion internationale se concrétisa par l'ouverture d'agences à Londres, Shanghai, Hong Kong, Yokohama, Manille et Singapour. Dans les années 1930, la banque comptait déjà plus de 100 agences dans 23 pays avant que la Seconde Guerre mondiale ne la contraigne temporairement à mettre un frein à ses activités en Europe et en Asie. L'internationalisation de la banque était cependant bien en marche. La City Bank devint la plus grande banque des États-Unis, changea son nom en The First National City Bank of New York en 1955 raccourci par First National City Bank lors du 150e anniversaire de la création du groupe en 1962. Elle en profitera pour transférer son nouveau siège principal dans le bâtiment caractéristique de Park Avenue qui définit la silhouette de New York.
La logique a voulu que la First National City Bank s'intéresse elle aussi aux secteurs de la carte bancaire et du leasing, et, son introduction dans les certificats de dépôts à Londres a marqué le début des nouveaux instruments de négociation du marché depuis 1888. Devenant ensuite la MasterCard, le groupe lança sa carte de crédit First National City Charge Service en 1967, popularisée sous le nom de « la carte à tout faire ».
Afin de soutenir une nouvelle expansion de ses activités, l'institution créa en 1968 un holding composé d'une seule banque. En 1974, elle le rebaptisa Citicorp, dont la principale filiale n'est autre que Citibank. Peu après, la banque lança la Citicard, qui a été pionnière dans l'utilisation des distributeurs automatiques 24 h/24 h.
Dans son expansion, la banque a acquis en 1981 la compagnie de cartes de crédit Narre Warren-Caroline Springs. John S. Rééd. a été élu directeur général en 1984, et Citi est devenu alors un membre fondateur de CHAPS (Clearing House Automated Payment Service) à Londres. Sous sa direction et durant 14 années, Citibank est devenue la plus importante des États-Unis, le plus grand fournisseur de cartes de crédit au monde, et a étendu son offre à plus de 90 pays.
Fusion de Citicorp et de Travelers Group
modifierAu mois d'avril 1998, Citicorp fit part de son intention de fusionner avec Travelers Group, un holding principalement actif dans les assurances, mais qui compte également Salomon Smith Barney (Smith Barney en 2008) et Primerica parmi ses activités. Le , cette fusion fut réalisée pour former ainsi Citigroup, l'une des plus grandes sociétés de services financiers au monde, avec 200 millions de clients dans plus de 100 pays.
Le , Citigroup se sépare de la branche d'assurances Traverers Property Casualty en l'introduisant à la bourse de New York. Cette opération permet à Citigroup de lever 3,88 milliards de dollars en cédant 210 millions de titres au prix fixé à 18,50 dollars. C'est à l'époque la plus importante introduction en bourse d'une société d'assurance américaine. Cette décision concrétise une annonce de Sandy Weill (président de Citigroup) faite au début de l'année 2002 qui évoquait la trop grande volatilité et la faible rentabilité du secteur de l'assurance dommages[12].
En 2007, Citigroup a acquis la marque Egg quand elle a racheté Egg Banking plc, pour 575 millions de £, à Prudential.
Sauvetage financier et restructuration
modifierLe la banque annonça que son résultat net pour le troisième trimestre 2007 serait en baisse de 60 %, affecté par la crise naissante des « subprimes ». Après une perte de 6,5 milliards de dollars au troisième trimestre, la banque enregistra encore une perte de 10 milliards au 4e trimestre 2007[13]. Le groupe avait déjà licencié 17 000 employés[14]. Début janvier 2008 le CEO Charles Prince fut remplacé et la présidence du conseil d'administration fut attribuée à Robert Rubin, l'ancien secrétaire d'État au Trésor de Bill Clinton. Le , à la suite d'une baisse du cours des actions de Citigroup d'environ 70 %[15], le gouvernement fédéral américain a garanti plus de 300 milliards USD de ses actifs en échange d'une prise de participation dans l'entreprise pour 27 milliards USD[16].
Le , Citigroup a annoncé son intention de se réorganiser en deux entités : Citicorp pour ses activités bancaires visant le détail et l'investissement et Citi Holdings pour ses activités de courtage et de gestion d'actifs[17]. Citigroup continuera d'exister comme une seule entité pour le moment, mais les gestionnaires de Citi Holdings seront encouragés à profiter des opportunités d'affaires quand elles apparaitront[17] et de futures fusions ou ventes d'actifs ne sont pas exclues[18].
Le , le département du Trésor des États-Unis a signé une entente lui permettant d'augmenter sa participation jusqu'à 36 % du capital de Citigroup. Cette participation donne au gouvernement américain sept fois plus de droits de vote que Al-Walid ben Talal ben Abd al-Aziz Al Saoud, deuxième plus important actionnaire[19]. Dans le cadre de cette entente, le gouvernement fédéral américain a décidé d'acquérir pour 25 milliards USD d'actions privilégiées sur un montant total émis de 27,5 milliards USD[20].
Le groupe a perdu plusieurs dizaines de milliards de dollars en 2008 et 2009[21]. En , Citigroup annonce la scission de Primerica, filiale spécialisée dans l'assurance vie[22].
En octobre 2011, Citigroup vend un ensemble de participations dans des entreprises pour 1,7 milliard de dollars à Axa Private Equity[23].
Le , Citibank Belgium est vendu au Crédit Mutuel Nord Europe. En août 2014, Citigroup vend 41 agences dans le Texas à BB&T[24]
En septembre 2014, Citigroup annonce l'acquisition des activités de commerce de métaux de Deutsche Bank pour un montant inconnu, après avoir fait de même en juillet sur les activités de commerces d'électricité aux États-Unis de Deutsche Bank[25].
En novembre 2014, après une enquête de la Financial Conduct Authority (Royaume-Uni), de la Finma (Suisse), de la Commodity Futures Trading Commission (États-Unis) et de l'Office of the Comptroller of the Currency (États-Unis), Bank of America, Citigroup, HSBC, JP Morgan Chase, Royal Bank of Scotland et UBS paient une amende de 4,2 milliards de dollars dans le cadre d'ententes pour manipuler le cours du Libor, un indice de taux de change[26].
En décembre 2014, Citigroup vend ses activités dans la banque de détail au Japon, qui comprend 1 600 salariés, à Sumitomo Mitsui Financial Group pour environ l'équivalent de 333 millions de dollars[27].
En mars 2015, Citigroup vend sa filiale OneMain Financial spécialisée dans les crédits hypothécaires pour 4,25 milliards de dollars à Springleaf[28],[29]. Le même mois, Citigroup annonce la vente de sa participation de 10 % dans la banque turque Akbank pour 1,2 milliard de dollars[30]. En parallèle, Citigroup vend également ses activités au Nicaragua à Grupo Financiero Ficohsa[31] et ses activités de cartes de crédit au Japon à Sumitomo Mitsui Financial Group pour environ 40 milliards de yen, soit 335 millions de dollars[32]. En juillet 2015, Scotiabank acquiert les activités de banque de détail de Citigroup au Panama et au Costa Rica passant dans les deux pays de 137 000 clients à 387 000[33]. En août 2015, Citigroup vend ses activités de services d'investissement alternatif pour 425 millions de dollars à SS&C Technologies[34]. En septembre 2015, Citigroup vend ses activités de banque de détail en Hongrie à Erste Group pour un montant non-déclaré[35]. En septembre 2015, Raiffeisen Bank acquiert les activités de banque de détail de Citigroup en Tchéquie pour un montant non dévoilé[36].
En octobre 2016, Itaú Unibanco annonce l'acquisition des activités brésiliennes de Citigroup pour 220 millions de dollars[37]. En , LSE annonce l'acquisition de Yield Book, filiale de Citigroup, pour 685 millions de dollars[38]. En septembre 2020, Citigroup annonce le remplacement de Michael Corbat par Jane Fraser au poste de PDG, début 2021. Elle deviendra la toute première femme à diriger une grande banque de Wall Street[39].
En 2020, la banque verse par erreur 900 millions de dollars à plusieurs fonds d'investissements[40].
En avril 2021, Citigroup annonce se retirer de la banque de détail dans 13 pays à savoir l'Australie, le Bahreïn, la Chine, l'Inde, l'Indonésie, la Corée du Sud, la Malaisie, les Philippines, la Pologne, la Russie, Taïwan, la Thaïlande et le Vietnam[41].
En janvier 2022, United Overseas Bank annonce l'acquisition des activités de banque de détail de Citigroup en Malaisie, Indonésie Thaïlande et au Vietnam, incluant 24 agences et 5 000 employés, pour 3,7 milliards de dollars[42]. En janvier 2022, DBS annonce l'acquisition pour 700 millions de dollars des activités de banque de détail de Citigroup à Taïwan, regroupant 3 500 salariés[43]. En avril 2022, Citigroup annonce la vente de ses activités au Bahreïn à Ahli United Bank BSC pour un montant non dévoilé[44]. En août 2022, Citigroup annonce se désengager de ses activités en Russie, après n'avoir pas réussi à les vendre[45]. Ce retrait se termine en septembre 2024, avec une perte associée de 1,6 milliards de dollars[46].
En janvier 2024, Citigroup annonce la suppression de 20 000 emplois dont 7 000 en 2024[47],[48].
Principaux actionnaires
modifierAu 14 janvier 2020[49] :
The Vanguard Group | 8,13 % |
SSgA Funds Management | 4,58 % |
BlackRock Fund Advisors | 2,55 % |
Fidelity Management & Research | 2,24 % |
Harris Associates (en) | 1,63 % |
Massachusetts Financial Services | 1,53 % |
Geode Capital Management | 1,47 % |
Invesco Advisers | 1,38 % |
Northern Trust Investments | 1,36 % |
ValueAct Capital Management | 1,28 % |
Filiales
modifierMars 2009
modifierEn mars 2009, Citigroup compte les filiales suivantes
- Citibank, fournisseur de produits bancaires
- Banamex, la plus grande banque mexicaine
- Banco Cuscatlan, la plus grosse banque du Salvador
- Banco Uno, la plus grande agence de cartes de crédit en Amérique centrale
- Citimortgage, prêts hypothécaires
- CitiInsurance, assureur
- Citicapital, services financiers institutionnels
- Citifinancial, produits financiers tels les subprimes
- Citigroup Alternative Investments, gestion des richesses mondiales
- Diners Club, cartes de crédit
- Primerica, vente directe de services financiers
- Smith Barney, services d'investissements, vente de services de courtage, services à des clients privés, et anciennement la marque utilisée par la banque d'investissement
- CitiCards, cartes de crédit
- Credicard / Credicard Citi, cartes de crédit d'affaires au Brésil
Entreprises absorbées par Citigroup
modifier- City Bank of New York 1812 (entreprise fondatrice)
- Farmers’ Fire Insurance Loan Company 1822
- Merchants Exchange Bank in the City of New York 1829
- First National Bank of the City of New York 1863
- The Travelers Life and Accident Insurance Company 1864
- Kuhn, Loeb & co 1867
- Charles D. Barney & Co. 1873
- Ferdinand Salomon 1880
- Hayden Stone & Co. 1892
- Rhoades & Co. 1898
- Shearson Hammill & Co. 1902
- E.F. Hutton & Co. 1904
- Salomon Brothers 1910
- Commercial Credit 1912
- First National Bank en 1955
- Carter, Berlind, Potoma & Weill 1960
- Golden State Bancorp et California Federal Bank 2002
- First American Bank of Bryan, Texas 2004
Références
modifier- « Des rumeurs de scandale accompagnent le limogeage du PDG de Citigroup », Le Monde, 18 octobre 2012, p. 21
- BusinessWeek : Citigroup Inc. names Gary Crittenden CFO
- « https://www.sec.gov/Archives/edgar/data/831001/000083100117000038/citi-exhibit2101x12x31x2016.htm »
- https://www.zonebourse.com/CITIGROUP/fondamentaux/
- Citigroup 2016 Form 10-K (Form 10-K), , [lire en ligne].
- (en) « Securities and exchange commission Citicorp », Sec Gov, (lire en ligne).
- The World's Biggest Public Companies
- http://djindexes.com/mdsidx/downloads/DJIA_Hist_Comp.pdf
- (en-US) Mitchell Martin et International Herald Tribune, « Citicorp and Travelers Plan to Merge in Record $70 Billion Deal : A New No. 1:Financial Giants Unite », The New York Times, (ISSN 0362-4331, lire en ligne, consulté le )
- Schmidt, Hans[Lequel ?]. The United States Occupation of Haiti, 1915–1934. New Brunswick, NJ: Rutgers UP, 1971.
- Douglas, Paul H., Occupied Haiti, ed. Emily Greene Balch (New York, 1972), 15-52. Republié dans Money Doctors, Foreign Debts, and Economic Reforms in Latin America, Wilmington, Delaware, publié par Paul W. Drake, 1994.
- Pascale Santi, « Citigroup introduit en Bourse l’assureur Travelers », Le Monde, , p. 19 (lire en ligne, consulté le )
- Jean-Marie Warêgne, Les crises financières:les errements de la finance, Monee, Amazon, , 630 p. (ISBN 9798649767606), p.274-276
- Rob Kelley, « Citigroup to hack 17.000 jobs », CNN Money,
- AFP, « Les autorités américaines volent au secours de Citigroup », Le Devoir, 2008, (lire en ligne, consulté le )
- (en) « A lifeline for Citigroup », The Economist, (lire en ligne, consulté le )
- (en) Citigroup, « Citi to Reorganize into Two Operating Units to Maximize Value of Core Franchise », Citigroup, (consulté le )
- (en) Eric Dash, « Citigroup Reports Big Loss and a Breakup Plan », The New York Times, (lire en ligne, consulté le )
- (en) « Citi limits », sur The Economist, (consulté le )
- « Washington aidera encore Citigroup », sur Le Devoir, (consulté le )
- Citigroup posts loss of 7,6 billion $ in last three months of 2009, Washington Post, 20 janvier 2010
- (en) Maria Aspan et Clare Baldwin, « Citi spinoff Primerica soars on hopes for economy », sur Reuters,
- Citigroup sells private equity assets to AXA unit, Christian Plumb, Reuters, 8 juin 2011
- Citi sells more branches in Texas to BB&T, Anil D'Silva and David Henry, Reuters, 3 septembre 2014
- Citi buys Deutsche's base metals trading book: report, Reuters, 17 septembre 2014
- Manipulation du marché des changes : six banques mises à l'amende, Eric Albert, Le Monde, 12 novembre 2014
- Citi agrees to sell Japan retail banking to SMBC, Reuters, 25 décembre 2014
- Springleaf to buy Citi's OneMain to become top U.S. subprime lender, Avik Das, Reuters, 3 mars 2015
- Springleaf Agrees to 4,25 Billion $ Deal for Citigroup’s OneMain, Mike Spector et Christina Rexrode, The Wall Street Journal, 3 mars 2015
- Citigroup sells stake in Turkey's Akbank for 1,2 billion $, Reuters, 5 mars 2015
- Central American financial group buys Citibank's Nicaraguan unit, 26 mars 2015
- Citi to sell Japan credit card unit to Sumitomo Mitsui Trust Bank, Reuters, 31 mars 2015
- Scotiabank to buy Citigroup assets in Panama and Costa Rica, Reuters, 14 juillet 2015
- Citi to sell alternative investor services unit for 425 million $, Reuters, 18 août 2015
- Citi sells Hungary consumer banking business to Erste Group, Reuters, 2 septembre 2015
- Raiffeisen buys card, retail businesses from Czech Citibank unit, Reuters, 14 septembre 2015
- Itaú to pay 220 million $ for Citigroup's Brazil assets, Guillermo Parra-Bernal et Bruno Federowski, Reuters, 8 octobre 2016
- LSE to buy Citi's bond data and indexes business for $685 million, Noor Zainab Hussain, Reuters, 31 mai 2017
- « Citigroup nomme pour la première fois une femme à sa tête - Infos Reuters », Usine Nouvelle, (lire en ligne, consulté le )
- « États-Unis : une banque vire par erreur des centaines de millions de dollars », sur RTL.fr (consulté le )
- (en) « Citigroup to exit consumer banking in 13 markets », sur BBC,
- (en) Anshuman Daga, « Citi to sell Southeast Asia retail business in $3.7 bln deal to Singapore's UOB » , sur Reuters,
- (en) Anshuman Daga et Indranil Sarkar, « DBS buys Citi's Taiwan retail unit to bulk up regional presence » , sur Reuters,
- (en) « Citi to sell Bahrain consumer business to Ahli United Bank » , sur Reuters,
- « Citigroup va mettre fin à ses activités de détail en Russie » , sur Le Figaro,
- Anne Drif, « Clap de fin pour l'américain Citi en Russie » , sur Les Echos,
- « La banque Citigroup prévoit de supprimer 20.000 postes » , sur Le Figaro,
- Solveig Godeluck, « En perte, Citigroup annonce plus de 20.000 licenciements » , sur Les Echos,
- Zone Bourse, « CITIGROUP INC. : Actionnaires », sur www.zonebourse.com (consulté le )
Sources
modifier- (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Citigroup » (voir la liste des auteurs).
Voir aussi
modifierArticles connexes
modifier- Banque d'investissement
- Banque privée
- Classement des entreprises leader du secteur bancaire
- Citibank
- Beobank
Liens externes
modifier- (en) Site officiel