Salouël
Salouël est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.
Salouël | |||||
Le centre-ville de Salouël. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Somme | ||||
Arrondissement | Amiens | ||||
Intercommunalité | CA Amiens Métropole | ||||
Maire Mandat |
Franck Darragon 2020-2026 |
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Code postal | 80480 | ||||
Code commune | 80725 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Salouasiens | ||||
Population municipale |
4 099 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 895 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 52′ 15″ nord, 2° 14′ 35″ est | ||||
Altitude | Min. 27 m Max. 105 m |
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Superficie | 4,58 km2 | ||||
Type | Ceinture urbaine | ||||
Unité urbaine | Amiens (banlieue) |
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Aire d'attraction | Amiens (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Amiens-7 | ||||
Législatives | 2e circonscription de la Somme | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Somme
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | http://www.salouel.com/ | ||||
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Géographie
modifierLocalisation
modifierCommunes limitrophes
modifierPont-de-Metz | Amiens | |||
N | Dury | |||
O Salouël E | ||||
S | ||||
Saleux |
Salouël est un bourg périurbain de l'Amiénois, situé à proximité du chef-lieu de la Somme, Amiens.
Trois communes « sœurs » de Salouël, Saleux et Pont-de-Metz ont leur habitat concentré autour de deux axes se croisant justement au cœur de cette « agglomération » : la rivière Selle et l'ancienne RN 29.
Huit hectares sont couverts de bois et de taillis parmi les 458 ha de son territoire. Son altitude s'élève à 32 m à la mairie, 102 m aux Évents et à 98 m aux Monts de Saleux.
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (3 °C)[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 671 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Glisy à 11 km à vol d'oiseau[3], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 646,6 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Salouël est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Amiens[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant onze communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[8],[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[9]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[10],[11].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (53 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (55,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (44,2 %), zones urbanisées (34,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (8,5 %), zones agricoles hétérogènes (7,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4 %), prairies (1,6 %), forêts (0,1 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Hameaux, lieux-dits et écarts
modifierAvec le temps, bien des lieux-dits furent oubliés, voire supprimés par la transformation du paysage : urbanisation et bouleversement du monde agricole.
- les Aulnois, pré longeant la rivière, planté d'aulnes, dont le bois est très prisé en vannerie.
- la Cantereine, marais peuplé de grenouilles vertes.
- le Champ Dolent, situé à flanc de coteau entre Pont-de-Metz et Salouël, causait beaucoup de soucis aux paysans de l'époque, car l'eau ruisselait sur la pente et endommageait les cultures.
- la Cressonnièrere, attestant que les villageois d'antan, tout comme aujourd'hui encore, cultivaient le cresson dans les eaux limpides provenant de la rivière.
- la Croix Jourdain.
- les Croquets.
- les Évents (dans la parcelle le Bailly), nommés à l'origine les Foulons car on y cultivait l'herbe à foulon qui est un chardon utilisé pour carder les étoffes de laine et rendre le tissu plus doux.
- les Monts de Saleux.
- le Moulin à Vent, attestant de la présence sur la hauteur de cet équipement à usage collectif, aujourd'hui disparu.
- les Rideaux, parcelle autrefois composée de champs fractionnés en gradins avec des haies pour protéger du glissement des limons.
- le Sépulcre, situé entre Salouël et Dury.
- les Vignettes.
Transports et voies de communication
modifierL'IUT et l'hôpital sud sont desservis par les bus du réseau Ametis (Notamment les lignes N2, L, 5, 7, 9, 10, 11, T36, T40 et R63), mais Salouël est desservie en détail par les lignes 11, T40 et T49, complémentées par les lignes 7, 9 et T36
La commune est desservie, en 2023, par la ligne 601 du réseau interurbain de l'Oise[13] et par les lignes 729, 731 et 733 du réseau Trans'80[14].
Toponymie
modifierLe nom de la localité est attesté sous les formes Saloy (1105) ; Saloel (1135) ; Saluel (1165) ; Saloyel (1215) ; Salouel (1301) ; Sallier (1470) ; Salea (1579) ; Soloez (1592) ; S. Alloy (1657) ; S. Elloy (1638) ; Sallouel (1757) ; Sallouet (1763) ; Sallois (1730) ; Salouet (1761) ; Salloël (1776) ; Saloet (1778) ; Salenel (1781) ; Selouel (1856)
[15].
Il est couramment admis que la commune tient son nom de Salla, le nom latin de la Selle (la rivière qui traverse la localité)[16], et de leu, terme rappelant l'eau en picard[17].
Salouël, tout comme la commune voisine de Saleux, ont la même origine latine du mot Salix qui a donné Saule[18][Information douteuse].
Histoire
modifierEn 2006, lors de la construction de logements des fouilles ont permis de découvrir des sites mésolithiques[Note 4] sur des positions d’anciennes berges de la Selle[19].
De nombreuses aires d'habitats gallo-romains et des enclos imbriqués les uns dans les autres ont été précisément localisés, dans le creux de la Selle, ainsi protégés des vents dominants, par les photos aériennes de Roger Agache. Furent identifiés :
- au lieu-dit mes Croquets, des champs rectilignes jouxtant une grande ferme d'époque gallo-romaine ;
- à la Croix Jourdain, un enclos pastoral et une entrée en entonnoir.
Plusieurs vestiges semblant dater de l'époque mérovingienne furent découverts :
- des ossements humains, sur la grande parcelle le Sépulcre située entre Salouël et Dury ;
- trois sarcophages (traces d'un cimetière mérovingien ?), près de la route d'Amiens à Conty, dans un jardin, dont le propriétaire était un habitant de Saleux, un certain monsieur Biendinné.
Au Moyen Âge et même avant, on cultivait la vigne en Picardie, et dans la région en particulier, comme l'atteste à Salouël la parcelle du terroir nommée les Vignettes.
En 1342, était en fonction un moulin sur la rivière Selle, moulin à fouler les draps et appartenant à la famille Rabuisson, d'Amiens. Le grand champ de « foulons » se situait sur le haut du coteau, maintenant appelé les Events.
Autrefois, Salouël faisait partie de la paroisse puis commune de Saleux. La séparation s’est réalisée par décret en date du 11 décembre 1864[20].
Son affectation cantonale a changé depuis 1790 : d’abord intégrée au canton de Bovelles, puis à celui de Sains, elle relève de 1879 à 2015 du canton de Boves.
Salouël, commune toute proche et au sud-ouest d’Amiens, n'a pas eu qu'une activité exclusivement rurale au cours de son histoire. La rivière au débit régulier et la proximité de la grande ville ont contribué, sans doute depuis le Moyen Âge, au développement de l'artisanat et de petits ateliers. Après la Seconde Guerre mondiale, et en particulier depuis les années 1965-1970 la transformation est plus brutale, par l'implantation successive du Campus (résidence universitaire du Bailly, faculté de Lettres et de Droit, Bibliothèque universitaire, IUT) et de l' Hôpital Sud, allant de pair avec un accroissement démographique lié au développement pavillonnaire.
Politique et administration
modifierTendances politiques et résultats
modifierListe des maires
modifierDistinctions et labels
modifierClassement au concours des villes et villages fleuris : une fleur récompense en 2015 les efforts locaux en faveur de l'environnement[26].
Population et société
modifierDémographie
modifierLes habitants de Salouël s'appellent des Salouasiens ou des Salouasiennes[27]. L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1866. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[29].
En 2021, la commune comptait 4 099 habitants[Note 5], en évolution de +1,64 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
modifierL'école primaire Louise de la Moissonnière scolarise les enfants de la commune. Pour l'année scolaire 2018-2019, 206 élèves la fréquentent[32].
Un service de cantine, l'accueil péri-scolaire et la crèche complètent le dispositif local[33].
Équipements
modifier- Deux crèches
- Institut Universitaire de Technologie
- Hôpital Sud
- Golf
Festivités
modifier- Feu de la Saint-Jean
- 2 réderies
- Fête du village
- Marché d’autonome
Économie
modifierCulture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- Église Saint-Quentin
- Moulins
- Rond-Point Pery
Loisirs
modifier- Le Marais
- Les plaines
- Parcs de jeux
Boite à livres
modifierLes Boîtes à lire sont des outils de partage des livres. Installées dans l’espace public, elles permettent l’échange de livres entre les habitants de façon libre et gratuite. Elles sont accessibles 24h/24h et constituent un service complémentaire à celui des bibliothèques. Sur la commune de Salouël, deux boites à livres ont été installées. La première se situe à côté de la fontaine de la rue André Malraux et l'autre à l'entrée du Marais.
Héraldique
modifierBlason | D'azur à la barre d'or chargée de quatre abeilles de gueules posées à plomb, accompagnée de deux ruches d'argent couvertes d'or. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Personnalités liées à la commune
modifier- Ernest Cauvin, industriel et homme politique.
Annexes
modifierBibliographie
modifier- Daniel Aviez, Salouel hier et aujourd'hui, Comité des anciens de Salouël, (BNF 34335918).
- Daniel Aviez, Salouel au fil du temps, (BNF 44207098, présentation en ligne).
Articles connexes
modifierLiens externes
modifier- Site de la commune de Salouël
- Salouël sur le site de l'Insee
- Dossier de l'Inventaire du patrimoine culturel sur l'église de Salouël
Bibliographie
modifier- Plusieurs boites à livres sont présentes dans toute la commune.
Notes et références
modifierNotes
modifier- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine d'Amiens comprend une ville-centre et dix communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Le mésolithique va de 9 600 à 5 500 avant notre ère.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Salouël et Glisy », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Amiens-Glisy » (commune de Glisy) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Station Météo-France « Amiens-Glisy » (commune de Glisy) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 d'Amiens », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Salouël ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Amiens », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Transports en commun à Salouël », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
- « Lignes qui desservent Salouël », sur trans80.hautsdefrance.fr, (consulté le ).
- Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 509 (lire en ligne sur DicoTopo) [1].
- Hubert le Bourdellès, Boulogne et Thérouanne au temps de César : : Approche toponymique de la cité des Morins, Septentrion, , p. 41.
- Site municipal, page histoire.
- Toponymies des lieux de Picardie
- « Rapport d'activité 2006 de l’Inrap, page 102 » [PDF].
- « Création d'une commune », Bulletin officiel du Ministère de l'intérieur, no 11, , p. 310 (lire en ligne, consulté le ), lire en ligne sur Gallica.
- Jean Vimeux, « Salouël : L'ancien maire Jean Douchet s'est éteint », Le Courrier picard, édition Grand Amiens, , p. 19 (ISSN 1285-8668).
- Notice YGOUF Jean, Pierre, dit Jean-Pierre par Julien Cahon, version mise en ligne le 28 janvier 2010, dernière modification le 20 mai 2016
- [xls] « Liste des maires de la Somme », sur somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
- Antoine Caux, « Élections municipales : Salouël, les pieds sur terre », JDA Métropole, no 481, , p. 3 (lire en ligne [PDF]).
- Térézinha Dias, « Franck Darragon devient maire de Salouël : L’ancien adjoint et son équipe ont été officiellement installés ce lundi 25 mai à la salle des Évents, plus adaptée au respect du protocole sanitaire », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « Ancien premier adjoint de Jean-René Hémart, qui lui a passé le relais après 31 ans de mandat, il dit vouloir conforter les réalisations positives de son prédécesseur tout en faisant preuve d’audace et de prudence ».
- « Liste des localités figurant au palmarès des villes et villages fleuris », sur Villes et villages fleuris (consulté le ).
- Habitants.fr, « Nom des habitants des communes françaises » (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « L'école sur le site du ministère de l'Éducation nationale ».
- Le site de la mairie.