Service de renseignement général (Soudan)
Le Service de renseignement général[1] (anglais : General Intelligence Service), abrégé de l'anglais GIS et anciennement (anglais : National Intelligence and Security Service ; arabe : جهاز الأمن والمخابرات الوطني السوداني, Jihaaz Al Amn Al Watani Wal Mukhaabaraat ; NISS) est le service de renseignement du gouvernement fédéral du Soudan, couvrant à la fois l'intérieur et l'extérieur, mais qui constitue aussi une police politique. Le NISS est une institution très puissante, et jouit de très larges prérogatives fondé sur les National Security Acts de 1999 et 2010[2],[3],[4]
Service de renseignement général | |
sceau du NISS |
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Siège | Khartoum, Soudan |
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Direction | Général Abou Bakr Mustafa |
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De 2004 à 2009, le NISS était dirigé par Salah Gosh avant que ce dernier ne soit remplacé par son adjoint Mohammed Atta al-Moula, [5]
Le NISS contrôlerait directement les Forces de soutien rapide (FSR)[6].
Notes et références
modifier- Revue Conflits, « L'or, les armes et l'islam : comprendre le conflit au Soudan », sur Conflits : Revue de Géopolitique, (consulté le )
- Amnesty International - Agents of Fear: The National Security Service in Sudan p.10
- Christian Caryl, « An Idealist on Death Row », Foreign Policy, (lire en ligne, consulté le )
- Daniel Howden, « Has the Arab Spring now spread to Sudan? », The Independent, (lire en ligne, consulté le )
- Skye Wheeler, « Sudan president replaces intelligence chief », Reuters, (lire en ligne, consulté le )
- « Sudan’s RSF pledges to liberate rebel stronghold in South Kordofan », Sudan Tribune, (lire en ligne, consulté le )