La Garnache

commune française du département de la Vendée
(Redirigé depuis Siège de La Garnache (1588))

La Garnache est une commune française située dans le département de la Vendée, en région Pays de la Loire. Aujourd'hui petite ville d'un peu plus de 5 000 habitants, elle fut jusqu'aux guerres de Religion des XVIe et XVIIe siècles, une seigneurie redoutée, et la ville la plus importante de la région[1].

La Garnache
La Garnache
La mairie de La Garnache.
Blason de La Garnache
Blason
La Garnache
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Vendée
Arrondissement Les Sables-d'Olonne
Intercommunalité Challans-Gois-Communauté
Maire
Mandat
François Petit
2020-2026
Code postal 85710
Code commune 85096
Démographie
Gentilé Garnachois
Population
municipale
5 316 hab. (2021 en évolution de +9,41 % par rapport à 2015)
Densité 88 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 53′ 29″ nord, 1° 49′ 47″ ouest
Altitude 27 m
Min. 8 m
Max. 52 m
Superficie 60,52 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine La Garnache
(ville isolée)
Aire d'attraction Challans
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Challans
Législatives Première circonscription
Localisation
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La Garnache
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La Garnache
Liens
Site web Site officiel

Géographie

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Le territoire municipal de La Garnache s'étend sur 6 052 hectares. L'altitude moyenne de la commune est de 27 mètres, avec des niveaux fluctuant entre 8 et 52 mètres[2],[3].

La commune est située dans le nord-ouest de la Vendée, à environ 40 km de La Roche-sur-Yon, 50 km de Nantes, 4 km de Challans et 35 km de Noirmoutier.

La Garnache se situe en bordure du Marais breton vendéen[4].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 803 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 6,2 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Même-le-Tenu », sur la commune de Machecoul-Saint-Même à 11 km à vol d'oiseau[7], est de 12,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 866,4 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme

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Typologie

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Au , La Garnache est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de La Garnache[Note 1], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[12],[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Challans, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[13]. Cette aire, qui regroupe 12 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,6 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (93,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (44,6 %), zones agricoles hétérogènes (22,8 %), prairies (22,2 %), zones urbanisées (6,1 %), forêts (1,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1 %), eaux continentales[Note 3] (0,5 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

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Histoire

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Environ 1 000 ans avant notre ère, le territoire de La Garnache était situé sur un promontoire dont Beauvoir-sur-Mer était le cap extrême et entouré des marais de Bouin au nord et de Sallertaine au sud.

Deux siècles av. J.-C., la tribu gauloise des Agnutes s'installa dans le pays de Retz, alors couvert d'immenses forêts. C'étaient des marins, des agriculteurs et des éleveurs.

La civilisation romaine laissa des traces de constructions dans la région (Pont-Habert, Déas, Ampan). Le territoire des Agnutes est rattaché à la civitas (circonscription administrative) des Pictons (capitale : Poitiers).

Un monastère dépendant de La Garnache est fondé en 673 dans « l'île d'Hero » (Noirmoutier) par saint Philibert. La commune abrite un cimetière mérovingien.

La dynastie des seigneurs de La Garnache débute vers 1045, sous la dépendance du vicomte de Thouars et s'étend sur un vaste territoire (Beauvoir, Bois-de-Céné, îles de l'île d'Yeu et Noirmoutier, Sallertaine...). Jusqu'en 1214, six seigneurs édifièrent et fortifièrent le puissant château, avant que terres et bâtiments ne passent successivement aux familles de Belleville, de Clisson de Parthenay et de Rohan, puis de Rohan-Chabot. Au XVe siècle la seigneurie de La Garnache était rattachée à la vicomté de Thouars qui appartenait à la famille d'Amboise. Elle passa ensuite aux ducs de Villeroy jusqu'à la Révolution..

La ville est disputée pendant les guerres de Religion entre les calvinistes et les catholiques. Ce fief, faisant partie du Bas-Poitou, dont il ne reste, de son château, que deux tours et les ruines du donjon médiéval, donne son nom à Françoise de Rohan, duchesse de Loudun, que la Maison de Lorraine nomme alors la Dame de La Garnache. Le fils qu'elle a eu des amours du duc de Nemours avec qui elle s'était mariée en secret et usurpe le titre d'Henri de Genevois s'empare du château en 1585. Il est repris en 1588 par les troupes du roi de France Henri III au cours de combats acharnés en plein hiver avec plus de 300 morts côté catholique[17]. En 1622, après la bataille de l'île de Riez contre Soubise, Louis XIII ordonne le démantèlement de la forteresse.

François-Athanase Charette de La Contrie, futur chef de l'Armée catholique et royale, s'établit à La Garnache, au château de Fonteclose, après son mariage, en 1790. Le 14 mars 1793, les paysans qui venaient de s'insurger contre la République viennent le chercher pour en faire leur chef.

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires successifs[18]
Période Identité Étiquette Qualité
Armand de Baudry d’Asson[b] PRL puis
CNIP
Exploitant agricole
Député de la Vendée (1946 → 1958)
Conseiller général de Challans (1936 → 1940 puis 1945 → 1955)
Pierre Rouillon RPR Médecin
Eugène Achard[19]   Exploitant agricole, ancien président de la COLARENA
Claude Bobière DVD Responsable d'affaires
en cours François Petit[20],[21] DVD Responsable d'une société de holding
3e vice-président de Challans-Gois-Communauté (2017 → )
Réélu pour le mandat 2020-2026

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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Les habitants de la commune sont appelés les Garnachois[22].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[24].

En 2021, la commune comptait 5 316 habitants[Note 4], en évolution de +9,41 % par rapport à 2015 (Vendée : +4,91 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 0002 1822 4613 0932 7432 8802 8852 9942 926
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 9563 0053 2043 1533 1673 1853 3293 3863 356
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
3 4473 4703 5103 1023 1012 9352 8882 7792 837
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
2 7102 6282 8073 1523 3793 5764 2024 5574 956
2021 - - - - - - - -
5 316--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,7 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (31,6 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,6 % la même année, alors qu'il est de 31,0 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 2 534 hommes pour 2 541 femmes, soit un taux de 50,07 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,16 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[27]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
2,0 
6,2 
75-89 ans
8,6 
16,9 
60-74 ans
16,8 
20,2 
45-59 ans
19,9 
21,3 
30-44 ans
19,8 
12,9 
15-29 ans
13,7 
21,8 
0-14 ans
19,1 
Pyramide des âges du département de la Vendée en 2021 en pourcentage[28]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
2,2 
8,7 
75-89 ans
11,1 
20,3 
60-74 ans
21,3 
20 
45-59 ans
19,4 
17,5 
30-44 ans
16,8 
15 
15-29 ans
13,2 
17,7 
0-14 ans
16,1 

Enseignement

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  • École publique maternelle et primaire Jan-et-Joël-Martel.
  • Les écoles maternelle et primaire Sainte-Marie et Saint-Joseph ont été réunies en un établissement pour la rentrée 2010 sous le nom de l'école Notre-Dame-de-la-Source (établissement privé catholique).
  • Zone de loisirs : à proximité du bourg, le plan d'eau de 3,54 hectares ouvert à la pêche est un espace détente et promenade avec un coin pique-nique. De nombreux sentiers pédestres sillonnent la commune.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Lieux et monuments remarquables

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La commune compte quatre monuments protégés au titre des monuments historiques[29] :

La Pierre du Diable

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Mégalithe de La Garnache (Vendée) dit « Pierre du Diable ».

Cette pierre méconnue est située en plein champ, sur un îlot boisé, aux frontières de Challans, Sallertaine et de La Garnache. Le docteur Marcel Baudouin en fait une description complète dans le Bulletin de la Société préhistorique de France no 4 de 1925, Le Menhir tombé de La Grande Emonnière, Commune de La Garnache (Vendée). Il indique dans son article avoir découvert ce mégalithe en 1907 (alors propriété de Léon Martel-Boucher, père des sculpteurs Jan et Joël Martel).

Autres lieux et monuments

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Vue de l'église de La Garnache.

On peut également citer :

  • l’église Notre-Dame, reconstruite au XIXe siècle, ornée d’une Assomption polychrome du XVIIIe siècle, d'un christ de bois, maître-autel et chemin de croix contemporains (à noter, comme l'église de Challans, que l'édifice est orienté « à l'envers », l'abside n'étant pas tournée vers l'Est, ou le Sud-Est - comme Notre-Dame de Paris ou d'Amiens, - mais vers le Nord-Ouest).
  • la chapelle Notre-Dame-de-la-Victoire (ancienne chapelle Saint-Léonard), de style gothique. Dédiée à saint Léonard depuis 1150, elle changea de patronage en 1571 pour commémorer la victoire navale de Lépante[34] ou Bataille de Lépante. En ruine après les guerres de Religion, elle fut restaurée à partir de 1711 sur la demande du père Louis-Marie Grignion de Montfort (dans la Revue de la Vendée historique de 1911, on lit également (p. 103) : « Montfort, qui avait construit ou relevé tant de chapelles, affectionnait tout particulièrement celle de la Garnache. Dans son testament, écrit à Saint-Laurent-sur-Sèvre la veille de sa mort, le 27 avril 1716, (on) relève cette clause bien significative : « Je donne trois de mes étendards à Notre-Dame de Toute-Patience, de la Séguinière ; les quatre autres à Notre-Dame de la Victoire, à la Garnache... ». On ne sait ce qu'ils sont devenus ». La « Bannière de Lépante », qui a été restaurée fin 2017 à Nantes par Marie-Flore Lenoir[35], a quant à elle a été commandée par la paroisse de La Garnache en 1888 pour fêter la béatification du père de Montfort. Elle est aujourd'hui une pièce maîtresse des trésors de l'église Notre-Dame de La Garnache. En 2022, des visites guidées de la chapelle sont organisées en juillet et août par l'association Pierres des Marches du Bas Poitou.
  • des châteaux du XIXe siècle : château des Planches, château de La Poirière, manoir des Laumiaires ;
  • des moulins.
  • la motte de Challans

Équipements culturels

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  • Musée du passé et des traditions.

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason Blasonnement :
Parti : au premier, d'or aux sept merlettes d'azur ordonnées en orle, au franc-quartier de gueules ; au second, coupé : au premier, parti d'argent à la moucheture d'hermine de sable et d'or à la fleur de lys d'azur, et au second, d'azur à l'ostensoir d'or.

Pour approfondir

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Bibliographie

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. La Garnache et Beauvoir-sur-Mer, Le Perrier. Notices sur les châteaux et seigneuries, de Charles Mourain de Sourdeval, 1854, 1882, Paris, réédité en 1992 chez Res Universis, (ISBN 2-87760-9448).

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. Fils de Léon-Armand de Baudry d’Asson, maire de La Garnache de 1888 à 1892.
  2. Fils d’Armand de Baudry d’Asson, maire de La Garnache de 1912 à 1935.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. Ch. de Sourdeval, "Le château et les seigneurs de La Garnache," Revue des provinces de l'Ouest, 2e année.
  2. « Commune 8007 », Géofla, version 2.2, base de données de l'Institut national de l'information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la France métropolitaine, 2016 [lire en ligne].
  3. « La Garnache », Répertoire géographique des communes, fichier de l'Institut national de l'information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la Métropole, 2015.
  4. « Carte géographique », sur maps.google.fr (consulté le ).
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre La Garnache et Machecoul-Saint-Même », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Saint-Même-le-Tenu », sur la commune de Machecoul-Saint-Même - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Saint-Même-le-Tenu », sur la commune de Machecoul-Saint-Même - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de La Garnache », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de La Garnache ».
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Challans », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. Agrippa d'Aubigné
  18. « Historique des maires » sur le site de la commune [lire en ligne (page consultée le 18 novembre 2018)].
  19. « La Garnache. L'ancien maire, Eugène Achard, s’est éteint », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  20. « Installation du nouveau conseil municipal », Ouest-France,‎ .
  21. « François Petit succède à Claude Bobière », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  22. « Nom des habitants », sur habitants.fr (consulté le ).
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de la Garnache (85096) », (consulté le ).
  28. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Vendée (85) », (consulté le ).
  29. « Liste des monuments historiques de la commune de La Garnache », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  30. « Tumulus dit La Butte Cavalière », notice no PA00110126, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  31. « Menhir dit Pierre-du-Diable », notice no PA00110125, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  32. « Manoir dit La Vieille Fonteclose (maison de Charette) », notice no PA00110124, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  33. « Château (ancien) », notice no PA00110123, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  34. « Chapelle Notre-Dame-de-la-Victoire », sur patrimoine-religieux.fr (consulté le ).
  35. Le Courrier Vendéen, jeudi 04 janvier 2018, p. 14.