Silmarils (entreprise)

entreprise française de développement et d'édition de jeux vidéo

Silmarils était une entreprise française de développement et d'édition de jeux vidéo. Son nom fait référence aux silmarils, des gemmes enchantées présentées dans le roman Le Silmarillion de J. R. R. Tolkien[2].

Silmarils
logo de Silmarils (entreprise)

Création Voir et modifier les données sur Wikidata
Disparition Voir et modifier les données sur Wikidata
Fondateurs André Rocques, Louis-Marie Rocques, Philippe Plas
Forme juridique Société à responsabilité limitée (sans autre indication) (d)[1]Voir et modifier les données sur Wikidata
Siège social LognesVoir et modifier les données sur Wikidata
Direction Louis-Marie Rocques
Activité Industrie vidéoludique
Produits Jeux vidéo
SIREN 342602984[1]Voir et modifier les données sur Wikidata

Chiffre d'affaires comptes non disponibles

Historique modifier

La société est fondée en 1987 par Louis-Marie Rocques, André Rocques, et Philippe Plas, auteurs indépendants de jeux vidéo. Le premier jeu développé par Silmarils est Manhattan Dealers (1987), distribué par Loriciels[3]. Ce n'est qu'en 1989 que Silmarils édite ses propres jeux.

Leurs plus grands succès commerciaux furent Transarctica, Targhan, Crystals of Arborea et sa suite, la série Ishar.

Silmarils a nettement moins de succès à partir du milieu des années 1990 et est mise en liquidation judiciaire en 2003[4].

Une partie des fondateurs et des employés a ensuite fondé la société Eversim.

Liste des jeux modifier

Rachat des licences modifier

Anecdotes modifier

Silmarils a été l'un des rares studios à développer des titres sur le Falcon 030 d'Atari et l'un des derniers studios à sortir des jeux commerciaux sur Atari ST.

Références modifier

  1. a et b Sirene, (base de données)Voir et modifier les données sur Wikidata
  2. Jivé, GameTrip.net, « Dossier - Silmarils: «Notre premier jeu, c’était un simulateur de pays» - GameTrip.net : Jeux Vidéo Oldies », sur GameTrip.net (consulté le )
  3. Eric Cubizolle, « Silmarils », Pix'n Love, no 18,‎ , p. 22-31
  4. « liquidation », sur www.societe.com (consulté le )

Voir aussi modifier

Liens externes modifier