« Salima Saa » : différence entre les versions

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→‎Une ascension politique rapide à l'UMP : Retrait de ", ville faisant partie des quarante et une villes de France de plus de 100 000 habitants", parfait pour la page wiki d'Aix par pour celle de Salima Saa
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==== Une ascension politique rapide à l'UMP ====
 
Salima Saa prend sa carte à l'UMP en 2011<ref name="a"/>. À l’automne de la même année, elle est identifiée comme une personnalité montante. Elle est reçue par le président de la République [[Nicolas Sarkozy]] sur la question des quartiers, notamment poussée par des « parrains » comme Maurice Leroy ou le directeur de cabinet élyséen [[Christian Frémont]]<ref name="a"/>. Dès la fin de l’année, elle participe régulièrement aux rencontres des « jeunes pousses » de l’UMP avec Nicolas Sarkozy. Le 10 janvier 2012, elle est nommée secrétaire nationale de l’UMP, chargée du développement urbain. Puis, elle intègre la « cellule riposte » menée par [[Brice Hortefeux]] chargée de porter le fer contre la campagne du [[Parti socialiste (France)|Parti socialiste]]. Elle intervient régulièrement{{refnec}} <ref>[http://videos.tf1.fr/infos/2013/dans-nos-quartiers-la-conseillere-politique-de-l-ump-salima-saa-8411967.html]</ref> sur le thème des quartiers, et plus particulièrement sur l’emploi, l’éducation et la solidarité. Le 24 février, elle rejoint le groupe de six personnes qui entourent la porte-parole de Nicolas Sarkozy, [[Nathalie Kosciusko-Morizet]], dans le cadre de l’[[élection présidentielle française de 2012|élection présidentielle]]. Pendant cette campagne, elle est notamment la « Madame Loyal » du grand meeting de [[Villepinte (Seine-Saint-Denis)|Villepinte]] du 11 mars<ref name="a"/>. Selon le secrétaire-général de l'UMP [[Jean-François Copé]], elle fait partie des « révélations […] de la campagne », avec [[Valérie Rosso-Debord]], [[Guillaume Peltier]] ou encore [[Franck Riester]]<ref>Jean-Baptiste Garat, « Copé, Fillon, Juppé, hommes forts de l'UMP », in ''[[Le Figaro]]'', vendredi 4 mai 2012, page 4.</ref>.
 
Pour les [[Élections législatives françaises de 2012|élections législatives de juin 2012]], Salima Saa est investie par l’UMP dans la [[Huitième circonscription du Nord|{{8e}} circonscription du Nord]] (Roubaix-Wattrelos), {{Citation|une circo dont personne ne voulait}} déclare-t-elle, en guise de défi, pour un territoire historiquement situé à gauche et au centre<ref name="a"/>. Au niveau local, on lui reprochera d'être une parachutée de Paris. Son suppléant est le pasteur Patrick Beeusaert, du [[Nouveau Centre]]. Son slogan de campagne est {{Citation|Le changement, c'est Salima Saa et c'est maintenant !}}, détournant ainsi le slogan du candidat PS [[François Hollande]] pendant l'élection présidentielle<ref>[http://www.huffingtonpost.fr/2012/05/27/legislatives-salima-saa-nord-borloo_n_1548564.html?ref=france « Législatives : Salima Saa, candidate dans le Nord, étoile montante de l'UMP »] in ''[[Le Huffington Post]]'', 27 mai 2012.</ref>. À l'issue du premier tour, elle obtient 13,17 % des voix et arrive en quatrième position derrière les candidats [[divers gauche]] (36,46 %), [[Europe Écologie Les Verts|EELV]] (21,40 %), et [[Front national (parti français)|Front national]] (20,65 %).
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