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* ''' [[Rue Feydeau|Feydeau de Saint-Christophe (de)]]''' [http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k112011p/f147.image.r=], ancienneLettres extractionde relief de dérogeance 20 juin 1172<ref>E. de Séréville &,F. de Saint-Simon "Dictionnaire de la Noblesse Française" 1975, page 433.</ref> <ref>Gustave Chaix d'Est-Ange "Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle" volume 18, page 122 : "Michel Feydau, avocat en Parlement, président en la sénéchaussée de Bellac, rappelé comme défunt dans un acte de 1542, était un fils cadet de Thomas Feydau, bourgeois de Felletin, vivant en 1463 et un frère de Jacques Feydau, auteur de la famille Feydau de Brou, de Vaugien et de Marville... Robert Feydau né à Bellac en 1652... commença après son mariage à prendre les qualifications de la noblesse. Son fils, Jean-César Feydau sgr de Saint-Christophe ayant été inquiété dans l’exercice de ses privilèges nobiliaires, régularisa sa situation en se faisant accorder en juin 1772 des lettres de relief de noblesse".</ref>, Marche, ANF-1938<ref>Valette, 2007. En juin 1771, Jean-César Feydeau, seigneur de Saint-Christophe (Basse-Marche, actuelle Charente limousine), obtint de Louis XV des lettres de relief de dérogeance (paiement de la taille et du franc-fief à la génération précédente) sur généalogie prouvant 7 générations d'état de vie noble jusqu'à Michel Feydeau pourvu en 1501 par le duc [[Pierre II de Bourbon]] de l'office de ''président & lieutenant général'' de la sénéchaussée de la Basse-Marche ({{3e}} fils de Thomas Feydeau, sieur de [[Néoux]] en Haute-Marche, vivant à Felletin en 1463, auteur des principales branches de cette famille), enregistrées à la Cour des Aides de Clermont-Ferrand l'année suivante. Ces mêmes lettres rappellent par ailleurs les maintenues de noblesse obtenues par les autres branches de cette famille qui remontent généralement la généalogie de 4 générations supplémentaires de 1463 à 1336 ; mais en dehors de l’analyse sociologique qui semble mettre en évidence une accession à l’état de noblesse des fils de Thomas Feydeau par l’exercice de charges curiales auprès des Bourbon, la revue attentive des preuves fournies pour ces 4 générations supplémentaires révèle leur insuffisance (absence d’actes filiatifs pour plusieurs degrés) voire leur inexactitudes (une de ces générations semble manifestement appartenir à la famille homonyme distincte des Feydeau de La Millière, en Poitou) et conduit à les écarter. D'où : [[Liste des personnalités françaises ayant combattu lors de la guerre d'Indépendance des États-Unis|Pierre-Jean-François Feydeau de Saint-Christophe]], lieutenant-colonel au régiment d'Armagnac-Infanterie & gouverneur de l'Île Saint-Vincent (Antilles), chevalier de Saint-Louis, qui participa notamment à la guerre d'indépendance des États-Unis ([[Société des Cincinnati|Cincinnati de France]]), et Jean-Bernardin Feydeau, seigneur de Saint-Christophe, major au régiment de Médoc-Infanterie en 1780, chevalier de Saint-Louis en 1781, qui prit part à l'assemblée de la noblesse de la Basse-Marche en vue des États-Généraux de 1789. Les Feydeau de Saint-Christophe représentent la dernière branche subsistante de la [[Rue Feydeau|famille]] qui a par ailleurs donné celles des Feydeau de La Roche et du Noncelier, de [[Paul Esprit Feydeau de Brou|Brou]] (marquis en 1761, [[honneurs de la cour]] en 1783), Vaugien, [[Claude Henry Feydeau de Marville|Marville]], [[Cathédrale Notre-Dame-de-l'Annonciation de Moulins|Rochefort]], [[Cathédrale Notre-Dame-de-l'Annonciation de Moulins|Clusors]], etc. (La Messelière-P-305/T-2.). (Cf. article [http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k112011p/f147.image.r= Feydeau de Saint-Christophe (de)] par Gustave Chaix d'Est-Ange, et l'étude postérieure (1913) du chartiste Pierre Flament, A propos de Rochefort. Étude sur la famille de Feydeau in ''Bulletin revue - Société d'émulation et des beaux-arts du Bourbonnais'' [http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k215404r/f266.image]).</ref>.