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{{Infobox Commune de Suisse
| annéecarte = 2008
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| communeslimitrophes = [[Bussigny]], [[Crissier]], [[Chavannes-près-Renens]], [[Saint-Sulpice (Vaud)|Saint-Sulpice (VD)]], [[Denges]], [[Échandens]], [[Renens]]
| cp = 1024
| gentilé =
| syndic/maire = Pierre Kaelin
| siteweb = www.ecublens.ch
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| nomcarte = Ecublens
| image = Ecublens VD ag1.jpg
| légende = Quartier du Motty à Écublens.
}}
'''Écublens''' est une [[villes de Suisse|ville]] et une [[communes de Suisse|commune]] [[suisse]] du [[canton de Vaud]], située dans le [[district de l'Ouest lausannois]]. Grâce à l'implantation de l'[[EPFL]] et de l'[[UNIL]] sur le territoire communal, et le nombre d'emplois qu'elles génèrent, ce sont plus de 29'000 employés et étudiants qui gravitent à Ecublens chaque jour. Le rayonnement de l'[[EPFL]] favorise particulièrement le dynamisme économique de la ville, mais aussi de la région<ref>
== Toponymie ==
La plus ancienne mention remonte à 958-959 (''in villa Escublens'' (CartLaus. 3). Tiré d'un nom de personne (prob. Scubilo) complété d'un suffixe toponymique germanique –ingos. On trouve en effet aussi la forme ''Scubilingis'' puis ''Scublens'' en 1147, ''Escublens'' en 1228, et ''<nowiki>Ecublens</nowiki>''<ref name="DTS"/>.
== Géographie ==
Selon l'[[Office fédéral de la statistique]], Écublens mesure {{Unité|{{#expr: {{superficie suisse|CH-VD|Ecublens (VD)}} /100 round 2}}|km|2}}{{Référence superficie suisse|CH-VD}}.
Le territoire communal est relativement plat, excepté les quartiers de Bassenges, du Motty et de l’Ormet situés sur une ancienne [[moraine]] glaciaire du glacier du [[Rhône]]. Quelques vignes orientées à l’est donnent un côté agricole et champêtre à la commune, d’où le slogan « Ville et Campagne ». À l’Ouest, à [[Renges]], se trouvent quelques cultures maraîchères et fruitières. L'Ouest lausannois traîne une image négative dans l'inconscient général. Le développement chaotique de cette région a entraîné un moratoire sur les constructions importantes au début des années 2000. Depuis, la concertation entre les communes du district s'est largement développée, et une vision commune tente de rattraper les erreurs d'urbanisme grâce au Schéma directeur de l'Ouest Lausannois (SDOL). En effet, la région est morcelée par les nombreux axes de circulation lourds (autoroutes, lignes ferroviaires), ce qui représente un obstacle important au niveau des déplacements de part et d'autre de ces axes.
Écublens est traversée par la [[Venoge]] qui marque la frontière avec [[Denges]] et [[Échandens]], mais aussi par la [[Sorge (rivière)|Sorge]] et la [[Chamberonne]].
De par sa position dans le bassin lémanique, la ville bénéficie de l'effet régulateur du lac Léman. Des poches de [[brouillard]] se forment en automne aux abords des cours d'eau et dans la plaine. Les observations climatiques de la [[Lausanne|Région lémanique]] s'appliquent à la commune.
En 1888, Ecublens décomptait 646 habitants, 137 ménages et 112 maisons affectées au logement. Environ cent ans plus tard on y compte 9415 habitants. Ecublens fit partie de l'agglomération de Renens jusqu'au {{s-|X|e}}<ref>{{Ouvrage|langue = français|auteur1 = |titre = Ecublens raconte !..|lieu = Ecublens|éditeur = |année = |pages totales = p. 45|isbn = |lire en ligne = |passage = }}</ref>.
[[Fichier:Ecublens17.jpg|vignette|Jardins de l'église.]]
▲=== Quartiers ===
[[
[[
[[
[[Fichier:Ecublens13.jpg|vignette|Le Croset.]]Le territoire d'Ecublens s'étend sur environ 555 hectares. Autrefois les différents hameaux : Le Pontet, le Motty, le Villars, Bassenges, Epenex, Renges et la Maison Blanche formaient le village.[[Fichier:Ecublens14.jpg|vignette|gauche|Le Motty.]]
[[Fichier:
▲[[File:Ecublens14.jpg|vignette|gauche|Le Motty]]
Écublens se compose d'une série de quartiers et hameaux hétéroclytes :
Il s'agit d'un des hameaux historiques de la ville. L'hôtel de ville du Motty abrite les bureaux de l'administration communale.
Situé en contrebas du Motty, les vieux murs rappellent les anciens vignobles. On y perçoit une ambiance villageoise. Le chemin de la Cocarde descend à
Renges est un hameau agricole qui a su garder son caractère authentique malgré l'urbanisation chaotique de l'ouest lausannois. Véritable curiosité au sein de la commune, le hameau est souvent méconnu. Le four banal, vestige d'un autre temps, est un lieu de rencontre privilégié lors de manifestations.
Le dernier des hameaux d'Écublens. La rue du Villars est l'une des rues principales de la commune. Il s'agit essentiellement d'une route de transit, les commerces n'y étant pas nombreux. Le hameau se situe au sommet de part et d'autre de la route. Il passe presque inaperçu, noyé par la circulation ou les bâtiments plus élevés.
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Quartier résidentiel en bordure de la route N1, Lausanne-Genève. L'habitat individuel est prédominant. Le jardin public de Mon Repos se situe à l'est de l'Ormet. L'Esplanade Bonaparte offre un intéressant point de vue sur la plaine et l'EPFL, le lac et les Alpes.
Dernier né des quartiers résidentiels, situé à l'entrée de Vallaire, il se compose de villas jumelles, de villas familiales et de quelques locatifs reprenant le style architectural des villas avoisinantes. Le cadre y est encore champêtre.
Il s'agit du quartier le plus peuplé de la commune. Il compte des grands ensembles d'habitation (Veilloud, Stand, Croset), un centre commercial, une zone industrielle, des écoles et des terrains de football. Les autorités communales ont décidé de redéfinir ce quartier comme le nouveau ''centre'' de la ville. Les centres commerciaux étaient jusqu'ici les principaux lieux de rencontre. L'inauguration d'un centre socio-culturel qui abrite une garderie, une halte-garderie, une bibliothèque, une ludothèque, un CMS et des appartements protégés, parachève cette ambition. Les bâtiments s'articulent autour d'une place centrale, nommée à cette occasion ''Place [[François Silvant]]'', illustre habitant de la commune.
Quartier populaire, situé entre Épenex et l'autoroute. L'habitat y est prédominant. Dans le cadre du [[SDOL]], il est prévu d'y créer une liaison cycliste souterraine avec Crissier et la zone d'activité de l'Arc-en-ciel.
Le quartier d'Epenex se situe à l'ouest de la gare de [[Renens]] et à la frontière avec les communes de [[Renens]] et [[Chavannes-près-Renens]]. Celui-ci a un caractère industriel marqué. La télévision musicale privée [[TVM3]] est située le long de l'avenue d'Epenex
Le quartier se compose en grande majorité de logements pour étudiants. Il se trouve à proximité immédiate du centre de congrès de l'[[EPFL]] inauguré en avril 2014. L'arrêt du métro M1 «
Le quartier se compose en majorité de zones industrielles ou artisanales. Situé à l'ouest de Renges, il marque la frontière avec la commune de [[Saint-Sulpice (Vaud)|Saint-Sulpice]].
[[
* Dorigny, [[Université de Lausanne]], [[EPFL]]
* Larges pièces, zone industrielle (Centrale [[Migros]] Vaud, JOWA, MiCarna, Thévennaz LeDuc...
== Monuments ==
L'Église du Motty, qui domine la localité, a des origines médiévales. En 1135, la chapelle d’Ecublens est rattachée au couvent de [[Saint-Sulpice (Vaud)|Saint-Sulpice]]. En 1228, cette chapelle, dédiée à Saint-Pierre, prend place au nombre des églises paroissiales. Nef rectangulaire et tour-porche. Elle possède encore une fenêtre datée de 1532<ref>Eugène Mottaz, ''Dictionnaire historique, géographique et statistique du canton de Vaud'', Édition de Lausanne 1914, réimpr. Slatkine Genève-Paris 1982, I, pp. 654-655.</ref>. Vers 1907, Alexis Guignard et Jean Hubertus Schmit (artisan Lausannois) installent des vitraux. Plus tard le fils de Schmit établit trois autres vitraux<ref name=":0"/>. Vitrail 1961 de Jean-Pierre Kaiser<ref name="KFS"/>.
La commune compte bon nombre d'autres édifices intéressants qui ont obtenu les notes 2 (intérêt régional) et 3 (intérêt local) au recensement cantonal du patrimoine. On peut ainsi mentionner:
* la cure<ref name="Fontannaz"/>{{,}}<ref name="fiche1"/>.
* l'ancienne école (vers 1840), aujourd'hui bâtiment de l'administration communale<ref name="fiche2"/>.
* Au Motty, La Tour, maison de maître bernoise, qui remonte au Moyen Âge<ref name="KFS"/>{{,}}<ref name="fiche4"/>
* Bassenges, Le Foyer, maison de maîtres entourée d'un parc, fin {{s-|XVII|e}}, à toit Mansart<ref name="KFS"/>{{,}}<ref name="fiche3"/>.
* Dorigny, ancien château de Loys seconde moitié du {{s-|XVII|e}}<ref name="KFS"/>{{,}}<ref name="fiche5"/>.
== Histoire ==
=== L'âge du fer ===
Cette période est dite aussi de [[Civilisation de Hallstatt|Hallstatt]] (1300-400 av. J.-C.). Elle est représentée par des trouvailles archéologiques aujourd'hui exposées au [[Musée cantonal d'archéologie et d'histoire de Lausanne]]. La fouille de près de 2000 sépultures a permis d'établir une chronologie précise de cette époque.
=== Moyen Âge ===
À l'époque du
==== Famille noble d'Ecublens ====
La famille noble vaudoise remonte au chevaliers Pierre Raymond et Uldry cités en 1142. Elle fournit aux {{s-|XII|e}} et {{s-|XIII|e}} des conseillers à l’évêque de Lausanne<ref name="DHBS"/>. Guillaume d'Écublens, fils de Pierre d'Écublens a été chanoine en 1199 puis trésorier en 1213 avant d'être élu évêque le 16 août 1221.
=== Renaissance ===
==== Charles le Téméraire ====
Au fil des époques, la ville d'Écublens a eu la chance de recevoir quelques personnages ayant marqués l'histoire tel que Charles le Téméraire, le 9 mai 1476 .Celui-ci prépara une expédition dont il espérait qu'elle lui permettrait de prendre sa revanche sur les Suisses qui l'avaient vaincu à Grandson auparavant. Il a fait défiler ses troupes, d'environ 22'000 hommes, devant lui-même ainsi que devant des personnages haut placés comme : la duchesse de Savoie, soit la régente Yolande, qui était la sœur du roi de France Louis XI. Elle était escortée de son fils Philibert âgé de onze ans. Elle a observé les troupes de son allié, le duc de bourgogne depuis une estrade construite sur le site actuel de l'EPFL durant des heures, étant donné qu'ils ne sont repartit à Lausanne seulement à la nuit tombée. Les troupes ont occupées les lieux pendant deux mois, ce qui a eu pour effet d'appauvrir tous les villages alentours et a favorisé les escrocs qui pillaient tout ce qu'ils trouvaient. Tout ce malheur s'est répercuté sur les ressources des habitants qui ont été bien heureux lorsque Charles le Téméraire a quitté le village après une deuxième défaite contre les Suisses<ref>{{Ouvrage|langue = |auteur1 = |titre = Ecublens raconte!..|lieu = |éditeur = |année = |pages totales = |isbn = |lire en ligne = |passage = }}</ref>.
==== Domination bernoise ====
Sous la domination bernoise de 1536 à 1798, Écublens a
=== Époque révolutionnaire vaudoise ===
==== Napoléon Bonaparte ====
Napoléon Bonaparte a, le 12 mai 1800, inspecté dans la région d'Ecublens une partie des troupes qu'il a acheminées vers le Grand-Saint-Bernard. Il a conduit deux divisions, soit environ sept mille hommes. Il était entouré par ses généraux, ces derniers s'illustreront par la suite (Berthier, Marmont, Murat). On peut encore se rendre à l'endroit même où le futur empereur s'est tenu qui s'appelle de nos jours la place Bonaparte <ref>{{Ouvrage|langue = |auteur1 = |titre = Ecublens raconte !..|lieu = |éditeur = |année = |pages totales = |isbn = |lire en ligne = |passage = }}</ref>.
=== {{s-|XX|e}} ===
==== Lénine ====
Pour finir, un des derniers personnages illustres qui a posé ses pieds à Ecublens fut Vladimir Ilitch Lénine (révolutionnaire russe), lors de son exil. il a logé à Ecublens plusieurs fois, au alentours de la Cocarde, dans une maison de vigneronne de 1910 à 1915.
==== Développement au cours du siècle ====
Jusqu'au milieu du {{s-|XX|e}} la population d'Ecublens pratiquait principalement des activités agricoles et viticoles. C'est à partir de 1960 que les premières entreprises s'installèrent dans la localité, puis 10 ans plus tard, les grandes écoles telles que l'EPFL et l'UNIL<ref>{{Lien web|langue = |titre = Tourisme Suisse l Ecublens/VD|url = http://www.tourismesuisse.com/leman/villes-villages/ville/f_b_1_0_674-Ecublens-VD.html|site = Tourisme Suisse|date = |consulté le = 07.01.15}}</ref>.
=== Traditions ===
▲À l'époque du [[Moyen Âge]], il est impossible de différencier [[Écublens (Fribourg)|Écublens, Fribourg,]] et Écublens, Vaud. Les documents historiques ne le précisent pas ou ne sont pas très clairs.
'' L'Abbaye des patriotes d'Ecublens ''a été fondée en 1874 (président [[Louis-Henri Delarageaz]]). ''La Société de jeunesse'' date de 1869. Cependant, c'est au {{s-|XX|e}} seulement que la civilisation des loisirs a subis un réel développement dans le village d'Écublens. En 1967, les associations de loisirs ont été nommées ''Union des sociétés locales (USL)''. En 1997, on comptait vingt associations faisant partie de cet organe. Les habitants du village fréquentaient deux groupements militaires<ref>{{Ouvrage|langue = français|auteur1 = groupe des archives d'ecublens|titre = "Ecublens raconte!.."|lieu = |éditeur = |année = |pages totales = 119|isbn = |lire en ligne = |passage = }}</ref>.
== Architecture ==
=== Site de l'EPFL et de l'Unil ===
Au {{s-|XX|e}}, les autorités fédérales et cantonales se mettent d'accord sur le fait qu'il faut plus d'écoles et de cadres supérieurs. L’État devait trouver comment construire des infrastructures capables d'engendrer et de réunir l'accroissement de la population étudiante et en même temps de développer l'enseignement. Pour y parvenir ils ont implantés deux immenses et exceptionnels domaines dans la périphérie Vaudoise. Le site de L'Université de Lausanne à Dorigny et le site de l'école polytechnique fédérale de Lausanne à Ecublens. Malgré leur proximité ces sites sont très différents au niveau architectural. L'Unil privilégiant les espaces ouverts et accordant une grande importance au paysage alentours. L'EPFL va plutôt privilégier une structure évolutive et basée sur le concept de la'' petite ville.''
Le site de l'EPFL (école polytechnique fédérale de Lausanne) a été en premier lieu planifié par Zweifel et Strickler, deux architectes zurichois. Le projet a été retenu après deux mandats: l'un en 1969 et l'autre en 1970. Le chantier débute à la fin de l'année 1973 avec la construction des routes d'accès et d'un bâtiment qui fait l'objet de plusieurs tests et modifications à cause du choix des matériaux et des coûts. Les premières salles aménagées seront'' la halle fosse du génie civile, les halles de chimie et le laboratoire d'expérimentation architecturale ''et seront mises en marche en 1977<ref>{{Ouvrage|langue = français|auteur1 = Bruno Marchand|titre = Architecture du canton de Vaud 1920-1975|lieu = |éditeur = presses polytechniques et universitaires romandes|année = |pages totales = |isbn = |lire en ligne = |passage = }}</ref>.
▲Sous la domination bernoise de 1536 à 1798, Écublens a sûrement vécu de la même manière que l’ensemble des villages du Pays de Vaud. Une fois payé les redevances, les habitants jouissaient d’une relative tranquillité entrecoupée par la disette, la peste et d’autres épidémies{{refnec|date=février 2009}}.
== Écoles ==
== Vie politique ==
La ville d'Écublens a un exécutif, la municipalité de sept membres, et un législatif, le conseil communal de 75 membres.
En 2011, la première initiative populaire communale «
=== La première femme au Grand Conseil ===
La première femme entrera pour la première fois qu'en 1994, Michèle Massy originaire d'Écublens. Celle-ci fut élue au parlement cantonal vaudois<ref>{{Ouvrage|langue = français|auteur1 = |titre = Ecublens raconte !..|lieu = |éditeur = |année = |pages totales = p. 24|isbn = |lire en ligne = |passage = }}</ref>.
== Hautes écoles ==
[[Fichier:Claude Nicollier.jpg|vignette|droite|Claude Nicollier - Spationaute, enseignant à l'EPFL]]
L’[[École polytechnique fédérale de Lausanne]] et l’[[Université de Lausanne]] sont sises sur le territoire de la commune
Le Swiss Tech Convention Center a été inauguré au début du mois d'avril 2014. Cette salle est modulable et possède une capacité maximale de
== Transports ==
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*{{Transports en commun dans le canton de Vaud|m1}}
La [[ligne M1 du métro de Lausanne]] aussi appelée « TSOL » est la principale ligne de transport en commun de la commune. La cadence maximale est d'un passage toutes les 5 minutes aux heures de pointe. La ligne étant à voie unique, les croisements ne sont possibles qu'aux stations. Selon le site des TL, de nouvelles rames compléteront le parc afin de doubler toutes les compositions aux heures de pointe.
==== Essor des transports ====
Dès la fin du {{s-|XIX|e}}, à Écublens, d'important essor des voies de communications et des transports ont pu être remarqué.Ce phénomène résulte de la proximité du chef-lieu cantonal. Des progrès notables ont été enregistrés dans le domaine de la circulation des personnes et des marchandises<ref>{{Ouvrage|langue = |auteur1 = |titre = Ecublens raconte !..|lieu = |éditeur = |année = |pages totales = 105|isbn = |lire en ligne = |passage = }}</ref>.
=== Bus ===
==== [[Transports publics de la région lausannoise|TL]] - Transports publics de la région lausannoise ====
*'''31''' [[Gare de Renens|Renens CFF]] sud - [[Saint-Sulpice (Vaud)|Venoge]] sud
*'''32''' [[Crissier|Timonet]] - [[Prilly|Galicien]]
Ligne 140 ⟶ 186 :
==== [[Transports publics de la région morgienne|MBC]] - Transports publics de la région morgienne ====
*'''701''' [[Echichens]] - [[Morges]] - [[Préverenges]] - [[Rolex Learning Center]] - [[La Bourdonnette]]
*'''705''' [[Lonay]] - [[Denges]] - [[Echandens]] - Ecublens/[[EPFL]]
Ligne 155 ⟶ 200 :
=== Route ===
*L'autoroute A1 traverse le territoire communal. L'échangeur autoroutier d'
*Route nationale 1. "La route du lac" marque la frontière sud de la commune et relie la ville à [[Lausanne]].
*L'avenue du Tir-Fédéral traverse la commune du nord au sud depuis la place de la Gare de [[Renens]], en marquant la frontière avec [[Chavannes-près-Renens]]. Cette dernière est prolongée par la route du Pont Bleu, le Pont de l'Avenir et le Tunnel du Marcolet en direction de Crissier. Il s'agit de l'un des seuls point de franchissement du faisceau de voies CFF dans l'Ouest lausannois.
Ligne 165 ⟶ 210 :
== Galerie ==
<gallery perrow="4">
Image:Ecublens-Bassenges18.JPG|Le Motty
Image:Ecublens-Bassenges17.JPG| Le Motty
Ligne 180 ⟶ 225 :
</gallery>
==
{{Références|colonnes=
<ref name="DTS">''Dictionnaire toponymique des communes suisses'' (dir.: Andres Kristol), Neuchâtel, Frauenfeld, Lausanne 2005, p.312.</ref>
<ref name=":0">{{Ouvrage|langue = |auteur1 = |titre = Ecublens raconte..!|lieu = |éditeur = |année = |pages totales = |isbn = |lire en ligne = |passage = }}</ref>
<ref name="KFS">''Kunstführer durch die Schweiz'' II Berne 1976, p. 191.</ref>
<ref name="Fontannaz">Monique Fontannaz, ''Les cures vaudoises. Histoire architecturale, 1536-1845'' (Bibliothèque historique vaudoise 84), Lausanne 1986, p. 408.</ref>
<ref name="DHBS">''Dictionnaire historique et biographique de la Suisse'' II, Neuchâtel 1924, p. 742.</ref>
<ref name="Heller1">Geneviève Heller, Marianne Fornet, ''La cage dorée. De la chambre d'école au groupe scolaire. Deux siècles d'architecture vaudoise'', Chapelle-sur-Moudon 1997, p. 159.>.</ref>
<ref name="Heller2">Geneviève Heller, Marianne Fornet, ''La cage dorée. De la chambre d'école au groupe scolaire. Deux siècles d'architecture vaudoise'', Chapelle-sur-Moudon 1997, p. 123.>.</ref>
<ref name="fiche1">{{Recensement architectural du canton de Vaud|532721|153106|2}}.</ref>
<ref name="fiche2">{{Recensement architectural du canton de Vaud|532705|153135|6-B}}.</ref>
<ref name="fiche3">{{Recensement architectural du canton de Vaud|532805|152945|120-A}}.</ref>.
<ref name="fiche4">{{Recensement architectural du canton de Vaud|532672|153093|5}}.</ref>
<ref name="fiche5">{{Recensement architectural du canton de Vaud|534282|152808|123A}}.</ref>
}}
== Annexes ==
=== Liens externes ===
{{autres projets|commons=Category:Ecublens}}
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* {{DHS|2440|auteur=François Béboux}}
{{Palette
{{Portail|Vaud}}
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