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{{Wikivillage|2014-2015|2 avril 2015}}
{{Ébauche|commune de Suisse}}
{{Infobox Commune de Suisse
| annéecarte = 2008
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}}
'''Prilly''' est une [[commune de Suisse|commune]] [[suisse]] du [[canton de Vaud]], située dans le [[district de l'Ouest lausannois]].
 
==Toponymie==
En 976, Prilly est mentionné sous le nom latin Presliacus<ref>{{Lien web|langue = |titre = Histoire|url = http://www.prilly.ch/histoire/|site = www.prilly.ch|date = |consulté le = 13.01.15}}</ref>. Le nom de la commune a beaucoup changé entre les années 1360 où on l'appelait Prillye et 1700 où son nom était Prelly. Entre deux il y a eu d'autres appellations comme Prillie (1414), Prilliez (1453), Preilly (1577) et Prillier (1628)<ref>{{Lien web|langue = Français|titre = Prilly|url = http://www.hls-dhs-dss.ch/textes/f/F2411.php|site = Dictionnaire historique de la Suisse|date = 12.04.2012|consulté le = 07.01.2015}}</ref>.
 
==Héraldique==
L'armoirie de Prilly est rouge et verte car dès le début du XXe siècle, une société de chant locale les portait sur un insigne. «En 1953, les autorités locales obtinrent de l'État l'adjonction d'une fleur de lis brochante d'or, empruntée aux armes de la famille noble Gimel, qui posséda la seigneurie de Prilly de la fin du {{XVe siècle}} au milieu du {{XVIe siècle}}.»<ref>{{Lien web|langue = Français|titre = Le Réseau|url = http://www.ovr-suisse.ch/sites/default/files/reseau/reseau-46.pdf|site = http://www.ovr-suisse.ch|date = 04.2013|consulté le = 11.01.2015}}</ref>
 
== Monuments ==
=== Le château===
LaLe communechâteau comptede surPrilly son territoireest un châteaupatrimoine historique datant de l'époque bernoise ({{17e}} s.),qui fut rénové en 2011<ref name=chateau"chateau22">{{lien web|url = http://www.swisscastles.ch/Vaud/chateau/prilly.html|titre = Le Château de Prilly|site = .swisscastles.ch|consulté le = 28 septembre 2010}}</ref>, ainsi que l'[[Hôpital de Cery]].
 
===Le temple de Broye===
Le [[temple de Broye]], situé en face du terminus de la ligne de bus {{numéro}}9 des [[Transports publics de la région lausannoise|TL]], a été construit entre 1765 et 1766 par [[Rodolphe de Crousaz]] pour remplacer l'église Saint -Martin partiellement effondrée en 1763<ref>{{lien web
| url = http://www.prilly.ch/histoire/
| titre = Découvrez, en bref, l'histoire de Prilly...
| consulté le = 27 mai 2012
}}</ref>. Rodolphe de Crousaz fut aussi l'architecte qui créa les plans des églises de Saint-Laurent et de Morges. Le temple de Broye est édifié entre Renens et Prilly, c'est un point pratique afin que les habitants de ces deux villages en bénéficient. On trouva dans le sol des restes de l'Empire romain alors qu'ont le construisait. Donc il est fort possible que d'autres vestiges se trouvent enfouis à Prilly.
}}</ref>.
 
Ce temple est constitué d'une nef rectangulaire et d'une abside polygonale et grâce à cela nous pouvons bien entendre les paroles de l'évêque assis sur sa chaire. Et c'est pour cela que ces genres d'édifices sont appelés «église de la parole». Les jésuites avaient un mode de construire les murs en forme de S comme les temples de Saint-Laurent, de Morges et de Yverdon. Ces S se terminent par des enroulements et ce genre de façade est très coûteuse car cette méthode demande de l'adresse. C'est à cause de cette difficulté que les églises de Prilly et Préverenges ont décidé de modifier les S en C et de les terminer non pas en un enroulement mais en pilier carré ou un amortissement. À l'époque de la construction du temple, les ruines Pompéi et d'[[Herculanum]] ont fait sensation, donc l'Europe entière copia le célèbre ''fronton triangulaire'' des temples grecs et Prilly ne fit pas excéption. On en retrouve même un deuxième au-dessus de la porte.
 
Deux styles architecturales se retrouvent dans le temple de Broye car on y trouve les frontons triangulaires et les murs en formes de C appelés ailerons. Ce qui mêle le style ancien et le nouveau. En 1926, Louis Rivier orna l'intérieur du temple de fresques, d'un art protestant. Ce qui lui valut quelques critiques, car on trouvait qu'il y avait mis trop de fougue, trop de surcharge. Le style du temple est conforme à son époque<ref>{{Ouvrage|langue = Français|auteur1 = Henri Peitrequin|titre = Prilly avant et après 1901|lieu = Prilly|éditeur = Imprimerie de Prilly|année = 1965|pages totales = 47|isbn = |lire en ligne = |passage = p.36-38}}</ref>.
 
===Le Tilleul===
Le Tilleul de Prilly était «un arbre historique que tout bon Vaudois tiendra à cœur de conserver au canton<ref>{{Ouvrage|langue = |auteur1 = André Schertenleib|titre = Prilly à l'ombre d'un tilleul|lieu = Prilly|éditeur = Edition Eiselé|année = 2000|pages totales = |isbn = |lire en ligne = |passage = p.105, l.4}}</ref>». Il était considéré comme le plus vieux Prilléran et valait la notoriété du village. Dans les années 1900, il se détériorait rapidement et en mai 1913 la Municipalité dut se rendre à l'évidence: l'arbre ne serait bientôt plus qu'une ruine. C'est en octobre 1913, après avoir obtenu l'accord de la commune de Lausanne, qu'il fut abattu avec beaucoup d'émotions. Son tronc fut offert à l'État pour être conservé dans un musée. Le président du Conseil communal, Jules Ravey exprima son regret à la population et sa reconnaissance aux autorités lausannoises et de Prilly pour tous les efforts faits pour conserver le plus longtemps possible cet arbre vénérable. Des hommages datant de mars 1958 lui ont été consacrés sous forme de poèmes. La mort du vieux Tilleul est symbolique: elle marque la fin d'une vie agricole et du statut de petit village pour prendre le statut de commune suburbaine. Encore aujourd'hui un bureau en bois de Tilleul est conservé chez l'un des petits fils de Jules Ravey et un cadre du même bois est exposé dans la salle de la Municipalité<ref>{{Ouvrage|langue = |auteur1 = André Schertenleib|titre = Prilly à l'ombre d'un tilleul|lieu = Prilly|éditeur = Editions Eiselé sa|année = 2000|pages totales = |isbn = |lire en ligne = |passage = pp.105-108}}</ref>.
 
== Histoire ==
Prilly est mentionné pour la première fois en 976 et comme on peut le voir dans la toponymie, Prilly s'appelait Presliacus. L'Archevêque de Lyon Burcardus cède à l'Abbaye de St-Maurice d'Agaune, en Valais, une campagne située «in fine runingorum in villa que vocatur presliacus.»<ref name="prilly.ch">{{Lien web|langue = Français|titre = Prilly.ch|url = www.prilly.ch/histoire/|site = |date = 09.03.2007|consulté le = 11.01.2015}}</ref>{{,}}<ref>{{Lien web|langue = anglais|titre = Prilly|url = https://en.wikipedia.org/wiki/Prilly|site = Wikipédia L'encyclopédie libre|date = 23.05.2014|consulté le = 11.01.2015}}</ref>
===Période savoyarde===
En 1244, l'évêque de Sion, Henri de Rarogne<ref>{{Lien web|langue = Français|titre = Liste des évêques de SIon|url = https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_%C3%A9v%C3%AAques_de_Sion|site = Wikipédia.org|date = 08.07.2014|consulté le = 12.01.2014}}</ref>, donna ses propriétés de Prilly au Chapitre de Lausanne, c'est-à-dire à l'assemblée des religieux. Prilly passa donc entre les mains de plusieurs moines. Mais en 1389, l'évêque Guillaume de Menthonay cèda la ville de Prilly à Jacques de Penthéréaz. En 1482, Prilly devient la propriété de la famille Gimel mais jusqu'à cette année là, Prilly était restée entre les mains des héritiers de Jacques<ref>{{Lien web|langue = Français|titre = Prilly.ch|url = http://www.prilly.ch/histoire/|site = Prilly.ch|date = 09.03.2007|consulté le = 12.01.2015}}</ref>{{,}}<ref>{{Lien web|langue = Français|titre = Prilly|url = http://www.hls-dhs-dss.ch/textes/f/F2411.php|site = Dictionnaire historique de la Suisse|date = 12.04.2012|consulté le = 12.01.2015}}</ref>.
===Période bernoise===
La période bernoise a débuté en 1536 et s'est achevé en 1798. Lors de cette période, Prilly faisait partie du bailliage de Lausanne.Il est donc sous l'autorité d'un [[bailli]]. «Entre 1558 et 1559, suite à la Conjuration de Lausanne qui éclate en décembre 1558 contre les Bernois, les droits de la seigneurie de Prilly sont repris par Isbrand de Crousaz.»<ref>{{Lien web|langue = Français|titre = Prilly.ch|url = www.prilly.ch/histoire/|site = |date = 09.03.2007|consulté le = 07.01.2015}}</ref> Une conjuration est en quelque sorte un complot et dans ce cas là, il s'agit de la ville de Lausanne qui conspire contre les Bernois. Isbrand de Crousaz, le nouveau seigneur de Prilly était aussi lieutenant baillival, juge à la cour des fiefs, procureur patrimonial, châtelain du Châpitre et d'Ouchy. Il n'était pas seulement seigneur de Prilly mais aussi de Crissier, Corcelles et Mex<ref>{{Lien web|langue = Français|titre = Isbrand de CROUSAZ (1544-1619)|url = http://www.gen-gen.ch/de+CROUSAZ/Isbrand/81331?CheckCookie=1|site = Societé Genevoise de Généalogie|date = 05.05.2002|consulté le = 07.01.2015}}</ref>.
 
Lorsque Isbrand de Crousaz meurt en 1619, son fils Claude de Crousaz hérite des droits de seigneurie de Prilly. Puis Susanne Rosset, fille de feu de Claude de Crousaz, c'est-à-dire qu'elle est orpheline, succède à son père et devient Dame de Prilly. La famille Rosset arrivera à garder le domaine de Prilly jusqu'en 1798. Mais Elizabeth Rosset alors veuve, est obligé de vendre le château et tous les terrains qui en sont dépendants.
 
La Ville de Lausanne ne rencontre aucun concurrents en ce qui concerne la vente de Prilly, la transaction est donc achevée le 31 décembre 1729<ref name="prilly.ch"/>.
 
===La Révolution industrielle===
L'industrie de Prilly a débuté dans le quartier de Malley. Or, avant 1840 il n'y avait aucune construction à cet endroit, mais uniquement des prairies. Ce terrain était délimité à l'ouest par le chemin qui lie Prilly au Bois de Vaux, au sud par le chemin de Malley et à l'est par le cours d'eau du Galicien. Dès 1899, le secteur était desservi par le tramway Lausanne-Renens. Attirée par cette voie de transport, une première entreprise s'installa en 1902: la fabrique de coffres-forts Tauxe, encore présente aujourd'hui. Elle fut suivie par les ateliers Zwahlen et Mayr (1906-1966), spécialisés dans la serrurerie artisanale et industrielle. À la fin des années trente, deux autres grandes entreprises s'installèrent dans le quartier: la fabrique d'encre Sicpa et l'entreprise Bobst, en 1937<ref>{{Ouvrage|langue = français|auteur1 = André Schertenleib|titre = Prilly à l'ombre d'un tilleul|lieu = Prilly|éditeur = Editions Eiselé|année = 2000|pages totales = |isbn = |lire en ligne = |passage = p.79,p.124}}</ref>.
 
===La Première Guerre mondiale===
Prilly est sous le choc le lendemain de l'annonce de la Première Guerre mondiale. Pour assurer la protection du village, le président du Conseil Ravey et ses deux scrutateurs décident de créer une garde civique et tous les citoyens ayant au moins 17 ans y sont acceptés. Cette garde est sous le commandement de Frédéric Mayor. « Le 9 septembre ces mesures sont rapportées, alors que vient de s'achever la bataille de la Marne.»
 
Mais le plus grand problème n'est évidemment pas la sécurité mais le ravitaillement. C'est pour cela qu'en mars et décembre 1916, la Municipalité importe des pommes de terre de Hollande. Mais c'est en 1917 que le problème apparaît vraiment, les premières cartes de riz et de sucre. Chaque personne avait une carte et chaque mois lorsqu'elle allait chercher sa ration on lui tamponnait sa carte. Puis il y a eu une grosse pénurie de lait à Malley et pour en venir à bout, on demande l'aide du conseiller d'État Chuard et il réquisitionna 150 litres d'une laiterie du canton<ref>{{Ouvrage|langue = Français|auteur1 = André Schertenleib|titre = Prilly à l'ombre d'un tilleul|lieu = Prilly|éditeur = Editions Eiselé|année = 2000|pages totales = |isbn = |lire en ligne = |passage = p.112}}</ref>. Le prix du sucre pour les confitures augmente énormément, jusqu'à 1 fr. 95 le kilo. Ce qui est très étonnent puisque cela représente deux heures de travail d'un ouvrier.
En automne 1917, les ennuis continuent lorsqu'on se rend compte qu'il y a de moins en moins de pommes de terre. Mais le nouveau municipal Henri Martin arrive à en trouver au marché de Moudon et à Villlars-le-Comte, il va ramener ces 50'000 pommes de terre à l'aide des moyens de transport pour le moins insolites, enfin pour aujourd'hui, les TL.
 
Henri Martin qui est devenu syndic, est décidé à assurer le ravitaillement de Prilly avec l'aide de Henri Golay. Cette fois-ci c'est le bois qui vient à manquer,donc ils parcourent le canton afin d'en trouver et réussissent avec succès; 1500 fascinés à Poliez-Pittet ainsi que 468 stères de résineux à Corcelles-le-Jorat. Le ravitaillement est encore une fois effectué grâce à l'aide des TL. Tout ce bois est destiné au chauffage car l'hiver arrive<ref>{{Ouvrage|langue = Français|auteur1 = André Schertenleib|titre = PRilly à l'ombre du tilleul|lieu = PRilly|éditeur = Editions Eiselé|année = 200|pages totales = |isbn = |lire en ligne = |passage = p.112-113}}</ref>.
 
La grippe espagnole n'épargne pas Prilly. Cette grippe a tué 30 millions de personnes dans un espace de temps très court dans le monde. C'est une sorte de grippe très virulente et contagieuse. Charles Blanc qui est le médecin lausannois demande qu'on lui attribue un véhicule motorisé, ainsi il pourra rendre visite à tous ses malades qui habitent à Prilly. Le Conseil d'État décide ensuite de retarder la rentrée scolaire d'un mois, les écoles commenceront donc au 25 novembre<ref>{{Ouvrage|langue = Français|auteur1 = André Schertenleib|titre = PRilly à l'ombre du tilleul|lieu = PRilly|éditeur = Editions Eiselé|année = 200|pages totales = |isbn = |lire en ligne = |passage = pp.114}}</ref>.
 
Après l'armistice, les mêmes problèmes subsistent. Le ravitaillement, la hausse des prix et le chômage. La fête des mobilisés n'est certainement pas le plus grand problème des Municipaux. Mais elle a tout de même lieu le 12 octobre 1919 et les mobilisés de Prilly ont reçu leur médaille<ref>{{Ouvrage|langue = Français|auteur1 = André Schertenleib|titre = PRilly à l'ombre du tilleul|lieu = PRilly|éditeur = Editions Eiselé|année = 200|pages totales = |isbn = |lire en ligne = |passage = pp.115}}</ref>.
 
== Politique ==
 
=== Liste des syndics de Prilly ===
* 1954-1961: Fernand Bauverd, Parti radical-démocratique (PRD).
* 1962-1980: Jean Riesenmey, Parti libéral suisse (PLS).
* 1980-1983: Jean-Claude Pithon, Parti radical-démocratique (PRD).
* 1984-1998: Daniel Burnand, Parti radical-démocratique (PRD).
* 1998-2004: Patrice Bocquet, Parti socialiste suisse (PSS).
* 2004 - ''actuellement: ''Alain Gilliéron, Parti radical-démocratique (PRD), puis Parti libéral-radical (PLR).
 
== Activités ==
Prilly offre plusieurs activités spécifiques, tel que le football, le tennis, la gymnastique, et deux piscines publiques : la Fleur-de-Lys (en plein air) et la piscine de Fontadel (couverte). La [[patinoire de Malley]] est également sur la commune de Prilly, et la halle d'escrime et de tir de Malley est partagée entre les communes de Prilly et de [[Renens]]. Dans le même quartier se trouve le centre de loisirs de Malley Lumières d'une supérficie de 24 000 m2.
 
== Géographie ==
Prilly se trouve dans l'[[ouest lausannois]] dans le canton de [[Vaud]]. La commune fait partie de l'[[agglomération lausannoise]].
 
Un petit ruisseau traverse la commune, le [[ruisseau de Broye]]. Il prend sa source au-dessus de l'[[hôpital de Cery]] et coule à l'air libre. Il traverse la route de Neuchâtel et la ligne de chemin de fer [[Ligne Lausanne – Bercher|Lausanne – Bercher]] à la hauteur de la Fleur-de-Lys puis descend le long de la piscine du même nom et le cimetière avant d'être enfoui et de ne plus apparaître à ciel ouvert. Il entre alors sur la commune de [[Renens]] où il conflue dans la [[Mèbre]]. Il donne son nom à une route, qui suit son tracé et à un temple situé à son bord. Le 14 février 2011, la municipalité donne un préavis sur un crédit d'ouvrage de {{unité|8216000|CHF}} pour le réaménagement de la route de Broye et une remise partielle à ciel ouvert du ruisseau<ref>{{Lien web
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| consulté le = 11 novembre 2013
}}</ref>.
Prilly a atteint les 10'000 habitants en 1962.
 
=== Transports publics ===
La commune de Prilly est desservie par la ligne de train régionale du [[chemin de fer Lausanne-Échallens-Bercher]] qui s'arrête à la [[gare d'Union-Prilly]] et aux haltes de [[Halte de Prilly-Chasseur|Prilly-Chasseur]] et [[Halte de Cery-Fleur-de-Lys|Cery − Fleur-de-Lys]] ainsi que par les lignes régionales du [[réseau express régional vaudois]] des [[Chemins de fer fédéraux suisses|CFF]] qui s'arrêtent à la [[halte de Prilly-Malley]].
 
Les [[Transports publics de la région lausannoise]] desservent aussi la commune avec notamment les lignes de [[trolleybus]] {{numéro}}4 et 9, ainsi que les lignes de [[Autobus|bus]] {{numéro}}17, 18, 30, 33, 34.
 
== Jumelage ==
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