« Affaire Omar Raddad » : différence entre les versions
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, les gendarmes sont alertés par des voisins : Ghislaine Marchal ne donne plus de nouvelles depuis la veille alors qu'elle devait déjeuner le 23 juin chez son amie Colette Koster. Les gendarmes se rendent chez madame Marchal, villa « La Chamade » à [[Mougins]]. Née Ghislaine de Renty, elle est la riche veuve d'un équipementier automobile<ref>{{Lien web|url=http://tempsreel.nouvelobs.com/societe/20100801.OBS7926/omar-raddad-reclame-sa-rehabilitation.html|titre=Omar Raddad réclame sa réhabilitation|auteur=|date=1 août 2010|site=nouvelobs}}</ref> et belle-sœur du bâtonnier [[Bernard de Bigault du Granrut]] (qui était notamment l'avocat du ministère de la Justice, du ministère de l'Intérieur et du ministère des Affaires étrangères). Vers 19 heures, les gendarmes découvrent son corps inanimé, portant des traces de coups, au fond de la cave de sa villa. {{citation|OMAR M'A TUER}} est inscrit avec son sang sur une porte<ref>[http://www.police-scientifique.com/omar-raddad/les-expertises-en-%C3%A9criture/ Photo de la porte de la cave à vin]</ref> blanche menant à la cave à vin . La phrase est inscrite de nouveau partiellement un peu plus loin sur une autre porte<ref>[http://www.police-scientifique.com/omar-raddad/les-expertises-en-%C3%A9criture/ Photo de la porte de la chaufferie]</ref>, celle menant à la chaufferie : {{citation|OMAR M'A T}}<ref name=affaires>''[[Le Monde]]'', Grandes affaires criminelles, « Omar m'a tuer », {{Date|12|août|2006}}.</ref>.
Le 27 juillet, l'heure et la date du crime sont fixées par trois [[Médecin légiste|médecins légistes]] entre six
{{Mme}} Marchal a été tuée dans une annexe accolée à l'habitation principale. L'accès à la cave/chaufferie se fait par un palier desservant d'une part un local où sont entreposés les outils de jardinage et du bois et d'autre part un escalier descendant à la cave.
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