« Violence conjugale » : différence entre les versions
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*La violence situationnelle serait liée à un [[contexte]]. Elle est souvent de courte durée.
*Le terrorisme intime ou terrorisme de coercition se distinguerait par sa gravité, mais surtout par sa dynamique et sa finalité. Généralement l'aboutissement d'une escalade, la violence terroriste serait utilisée comme un instrument systématique de contrôle et de domination visant l'assujettissement d'un des conjoints aux volontés de l'autre. C'est dans ces cas, plus rares mais plus graves, que les conséquences les plus sévères sont observées (tant par les chercheurs que par les systèmes de santé et de justice)<ref name="Johnson" />{{,}}<ref>Michael P. Johnson, « Les types de violence familiale », dans Violences envers les femmes : Réalités complexes et nouveaux enjeux dans un monde en transformation, sous la dir. de M. Rinfret-Raynor, É. Lesieux, M.-M. Cousineau, S. Gauthier et E. Harper, Québec, Presses de l’Université du Québec, 2013, {{p.|15-32}}</ref>.
L'économise [[Jacques Bichot]] fait également la distinction entre les situations conjugales et quasi-conjugales, une distinction qui inclut la cohabitation ou non entre la victime et son agresseur et qui n'est pas prise en compte par l'[[ONDRP]]<ref>{{article|langue=fr|auteur1=Jacques Bichot|titre=Conséquences économiques de la criminalité : le cas des crimes et des délits qui concernent la famille et la sexualité|périodique=[[''Revue française de Criminologie et de Droit Pénal'']]|volume=6|jour=|mois=avril|année=2016|lire en ligne=http://www.rfcdp.fr/numeros/numero-6-avril-2016#more-197}}</ref>.
=== Problèmes de mesure ===
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