« Référendum sur l'appartenance du Royaume-Uni à l'Union européenne » : différence entre les versions
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Une autre option qui reçoit un regain d'intérêt est de rejoindre l[[Association européenne de libre-échange|'AELE]], qui comprend actuellement la Norvège, le Liechtenstein, la Suisse et l'Islande. Cette option présente l'avantage d'un accès au marché unique et d'une plus grande souveraineté, même si la libre circulation des travailleurs et des résidents par rapport aux règles de l'UE serait peu modifiée<ref>{{Article|langue=en-GB|prénom1=Patrick Wintour Diplomatic|nom1=editor|titre=European free trade area could be UK's best Brexit option, says judge|périodique=The Guardian|date=2016-12-01|issn=0261-3077|lire en ligne=https://www.theguardian.com/politics/2016/dec/01/european-free-trade-area-could-be-uks-best-brexit-option-says-judge|consulté le=2016-12-02}}.</ref>. En outre selon ''Open Britain'', dans un [[Débats sur le retrait du Royaume-Uni de l'Union européenne|''B''rexit]] dur, les entreprises britanniques subiraient beaucoup plus de formalités documentaires que celles actuellement prévues dans le cadre des échanges intracommunautaires, contrairement aux allégations du mouvement pour quitter l'UE<ref>{{Article|langue=en|prénom1=Alexandra|nom1=Topping|prénom2=Peter|nom2=Walker|titre=UK firms 'face more, not less, red tape if Britain exits customs union'|périodique=The Guardian|date=2016-12-11|issn=0261-3077|lire en ligne=https://www.theguardian.com/politics/2016/dec/11/uk-firms-face-more-not-less-red-tape-if-britain-exits-customs-union|consulté le=2016-12-11}}.</ref>.
Cependant, l'élection inattendue du président [[Donald Trump]] peut modifier les possibilités vers un ''[[Débats sur le retrait du Royaume-Uni de l'Union européenne|Brexit]]'' dur. Alors que Barack Obama a averti que le Royaume-Uni allait à « l'arrière de la file d'attente » dans les futures négociations de libre-échange post-''Brexit'', le président [[Donald Trump]] a promis d'accélérer un accord entre les États-Unis et le Royaume-Uni. En effet, le Royaume-Uni demeure, aux côtés de la France, la première puissance militaire européenne. Ainsi, face à une Russie de plus en plus affirmée, l'interrogation ouverte de [[Donald Trump]] sur l'engagement de l'Amérique envers l'OTAN renforce l'attrait de maintenir les liens américano-britanniques étroits<ref>{{Article|langue=en-US|titre=Donald Trump: Joker in May’s Brexit pack|périodique=POLITICO|date=2016-11-11|lire en ligne=http://www.politico.eu/article/donald-trump-joker-in-theresa-may-brexit-pack/|consulté le=2016-11-12}}.</ref>{{,}}<ref>{{Article|langue=en-GB|prénom1=Andrew|nom1=Sparrow|titre=No 10 says Trump wants Reagan-Thatcher relationship with May - Politics live|périodique=The Guardian|date=2016-11-14|issn=0261-3077|lire en ligne=https://www.theguardian.com/politics/blog/live/2016/nov/14/farage-tells-no-10-it-has-to-mend-fences-with-donald-trump-politics-live|consulté le=2016-11-14}}.</ref>. Enfin, ce n'est pas un hasard si les deux plus grands chocs politiques de 2016 {{incise|[[Débats sur le retrait du Royaume-Uni de l'Union européenne|Brexit]] et l'élection de [[Donald Trump]]}} sont venus dans les deux pays qui ont adopté le plus fervemment forme d'économie néolibérale<ref>{{Article|prénom1=Robert|nom1=Skidelsky|titre=Slouching Toward Trump|périodique=Project Syndicate|date=2016-11-12|lire en ligne=https://www.project-syndicate.org/commentary/trumpism-future-of-liberalism-by-robert-skidelsky-2016-11|consulté le=2016-11-14}}.</ref>. Donald Trump s'est par ailleurs inspiré du Brexit, pour faire des predictions quand au fait que d'autres pays quitteraient l'Union Européenne dans un contexte de justification de l'obsolescence de l'OTAN à ses yeux.<ref>{{Lien web|langue=|titre=Etats-Unis : pour Donald Trump, la France ne compte pas|url=http://www.leparisien.fr/politique/pour-trump-la-france-ne-compte-pas-17-01-2017-6577830.php|site=Le Parisien|date=17 janvier 2017|consulté le=}}</ref>
== Références ==
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