« Les Casseurs de pierres » : différence entre les versions

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Agatino Catarella (discuter | contributions)
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La signature grande et orange se trouve en bas à gauche. Dans une première esquisse à l'huile, elle était prévue sur la droite<ref name=":0">{{Ouvrage|prénom1 = Michael |nom1 = Fried|lien auteur1= Michael Fried|titre volume = Le réalisme de Courbet|titre=Esthétique et origines de la peinture moderne|volume=2|lieu = Paris|éditeur = Gallimard|collection=NRF essais|année = 1993|pages totales = 416|isbn = 2-07-073051-4 }}.</ref>.
 
Courbet présente son tableau ainsi de jaafar : {{citation bloc|C'est un tableau de Casseurs de pierres qui se compose de deux personnages très à plaindre ; l'un est un vieillard, vieille machine raidie par le service et l'âge ; la tête basanée et recouverte d'un chapeau de paille noire ; par la poussière et la pluie. Ses bras qui paraissent à ressort, sont vêtus d'une chemise de grosse toile ; puis, dans son gilet à raies rouges se voit une tabatière en corne cerclée de cuivre ; à son genou posé sur une torche de paille, son pantalon de droguet qui se tiendrait debout tout seul à une large pièce, ses bas bleus usés laissent voir ses talons dans des sabots fêlés. Celui qui est derrière lui un jeune homme d'une quinzaine d'années ayant la teigne ; des lambeaux de toile sale lui servent de chemise et laissent voir ses bras et ses flancs : son pantalon est retenu par une bretelle en cuir, et il a aux pieds les vieux souliers de son père qui depuis bien longtemps rient par bien des côtés.|Lettre de Courbet à Champfleury, Ornans, printemps 1850<ref>{{ouvrage|langue=en|titre=Image of the People|sous-titre=Gustave Courbet and the 1848 Revolution|prénom1=Timothy J.|nom1=Clark|lieu=Los Angeles|éditeur=University of California Press|lien éditeur=University of California Press|année=1999|isbn=0-520-21745-4|pages totales=208|passage=166}}.</ref>}}
 
== Contexte ==