« Spéculation (économie) » : différence entre les versions
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* qu'en vertu de l'[[efficience du marché financier]] ces mouvements contribuent à la stabilisation des prix ou à l'atténuation de ses fluctuations. Leur action sur la détermination des prix serait d'obtenir le niveau de prix assurant la meilleure allocation des ressources <ref>Voir notamment [http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/rfeco_0769-0479_1987_num_2_3_1153 Spéculation et stabilité des prix], article de [[Nicholas Kaldor]], 1939, publié en 1987 dans la [[Revue française d'économie]], Persée</ref>.
La spéculation soulève cependant de nombreuses critiques : elle permet (au moins en apparence) un enrichissement sans cause, la recherche systématique de profit est contraire à la morale religieux <ref> http://www.acts17-11.com/francais/money_fr.html</ref>, et serait foncièrement illégitime du fait de sa déconnexion d'avec « l'[[économie réelle]] », voire de sa réalisation faite en l'absence ou au détriment des producteurs et des travailleurs.
* Critiques qui s'alimentent du constat de déséquilibres récurrents, notamment dans le domaine financier ou immobilier. Sur le marché des changes, la spéculation peut être qualifiée de «stabilisante» si la majorité des spéculateurs considère comme temporaire l'écart entre le taux du marché et le taux initial : Le mouvement spéculatif ramène le taux du marché vers la valeur initiale. À l'inverse, la spéculation est «déstabilisante» lorsque le jeu des opérateurs conduit les valeurs des 2 taux à s'écarter en tendance.
* Critiques qui pointent la répétition des bulles spéculatives et l'exploitation spéculative à des fins d'enrichissement particulier de déséquilibres ponctuels ou systémiques.
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