« Salle de consommation à moindre risque » : différence entre les versions

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L'aspect anonyme de l'accès à ces salles qui fait partie intégrante de la démarche, ne permet pas en outre de limiter l'accès aux personnes dépendantes mineures.
 
Le professeur Jean Costentin analyse notamment les différents arguments avancés pour justifier l’instauration de ces salles<ref>{{article|langue=fr|auteur=Jean Costentin|titre=Les salles de "shoot" pour toxicommanes|périodique=''[[Revue française de criminologie et de droit pénal]]''|volume=7|jour=|mois=octobre|année=2016|lire en ligne=http://www.rfcdp.fr/numeros/numero-7-octobre-2016}}</ref>. Selon lui, la mise en place de ces salles rompt avec la déontologie médicale et fait des médecins des complices de l'injection de produits inconnus, qui ne sont ni stériles, ni apyrogènes, à des doses inconnues. Cela permet d'affranchir les médecins de la responsabilité des troubles pouvant émaner de ces injections.
 
== Dans le monde ==