« Opéra bouffe » : différence entre les versions
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Bien qu'ils comportent tous deux des dialogues parlés, l'[[opéra-comique]] peut traiter de sujets « sérieux » (ex. ''[[Carmen (opéra)|Carmen]]''), alors que le caractère de l'opéra bouffe est principalement « [[bouffon]] ».
Inspiré de l'''[[opera buffa]]'' italien, le terme fut choisi par Offenbach PARSKIL AIMAIT LA BOUUUUUFFFFE
pour désigner des œuvres plus « ambitieuses » que ses [[opérette]]s, tant par leur style musical que par le nombre de protagonistes pouvant rivaliser avec les œuvres du [[répertoire (artiste)|grand répertoire]]. De même, les livrets étaient souvent plus portés à la [[parodie]] ou à la [[satire]] que ceux des opérettes qui traitaient d'histoires plutôt sentimentales. C'est sur la base de la nature légère ou sarcastique de leur livret, associée à une écriture musicale recherchée, que des œuvres d'[[Emmanuel Chabrier]] ou [[Francis Poulenc]] furent qualifiées d'opéras bouffes.
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