« Marcel Kirsch » : différence entre les versions
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→Vie personnelle : Marcel Kirsch était fâché avec son jeune frère, ils ne se parlaient plus. TÉMOIGNAGE FAMILIAL. |
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En 1936, Marcel Kirsch est élu secrétaire adjoint de la [[Fédération nationale des travailleurs du sous-sol|Fédération CGT réunifiée du sous-sol]].
À la veille de la [[Seconde Guerre mondiale]], en 1939, Marcel Kirsch est membre du bureau fédéral de cette fédération. Après le [[Pacte germano-soviétique]], il est l'un des rares à s'opposer à ceux qui soutiennent «la collusion hitléro-stalinienne». Il échappe alors à plusieurs tentatives d'assassinats par des communistes staliniens.<br />
En 1944, toujours membres actif de la CGTU, il fait le choix de défendre les intérêts des travailleurs en contribuant aux négociations de la charte du travail au sein desquelles il réussit à négocier le premier salaire minimum des ouvriers, mais regrette de n'avoir pu instaurer le droit de grève. Il regrette officiellement qu'un nombre insuffisant de syndicalistes ait
== Vie personnelle ==
Il épouse Charlotte Seidel ({{date|4|juillet|1901}}, [[Dresde]] ([[Saxe]], [[Allemagne]]) - {{date|1|juillet|1995}}, [[Aigueperse (Puy-de-Dôme)|Aigueperse]] ([[Puy-de-Dôme]])), secrétaire de l' ''Union d’Alsace-Lorraine des femmes contre la misère et la guerre''.
Marcel Kirsch décéde dans l'anonymat en 1978. Inhumé à [[Monteignet-sur-l'Andelot]], il est == Bibliographie ==
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