« Massacre du 17 octobre 1961 » : différence entre les versions
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En effet, un autre aspect de la question concerne la possibilité que des corps n'aient pas été retrouvés et n'aient pas été enregistrés à l'institut médico-légal. Pour Brunet, la culture policière rejette toute dissimulation de cadavres<ref name="Brunet_Com">Jean-Paul Brunet, ''[http://etudescoloniales.canalblog.com/archives/2008/09/24/10708313.html Méthode et morale en histoire, retour sur les incidents parisiens du 17 octobre 1961]'', revue ''Commentaire'', été 2008, vol. 31, {{numéro|122}}.</ref>. Pour House et MacMaster, on peut cependant penser que {{citation|certains corps ont été enterrés en secret plutôt que d'être remis aux autorités françaises tant redoutées<ref name="House154" group="B"/>.}} Brunet rejette cette possibilité : {{citation|hormis peut-être quelques cas extrêmes, on voit mal comment dans un pays démocratique cette éventualité aurait pu se produire et comment, après presque un demi-siècle, des restes humains n’auraient pas été retrouvés<ref name="Brunet_Com"/>.}}
Benjamin Stora et Linda Amiri avancent le chiffre total de 98 morts<ref>[http://www.grands-reporters.com/1961-Les-fantomes-du-17-octobre.html 1961 : "Les fantômes du 17 octobre"], revue ''Grands Reporters'', janvier 2003.</ref>. Pour House et MacMaster, la répression a fait bien plus de 120 morts au cours d'un « cycle de deux mois connaissant son pic le plus visible dans la nuit du 17 octobre »<ref>[http://rue89.nouvelobs.com/2012/10/18/guerre-des-chiffres-combien-de-morts-le-17-octobre-1961-236329 « Guerre des chiffres : combien de morts le 17 octobre 1961 ? »], ''Rue 89'', octobre 2012.</ref>. Dans une présentation faite à l'occasion du cinquantenaire du massacre, le quotidien ''[[Le Monde (journal)|Le Monde]]'',
== Répercussions politiques ==
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