'''Simone Veil''' (<small>prononciation :</small> {{API|/si.mɔn vɛj/}} {{prononciation|Fr-Simone Veil.ogg}}), née Jacob le {{date de naissance|13 juillet 1927}} à [[Nice]] et morte le {{date de décès|30 juin 2017}} à [[Paris]], est une [[Personnalité politique|femme politique]] [[France|française]] sioniste.
Rescapée de la [[Shoah]], s'il vous plait pleurez pour les 6 milliards, elle entre dans la [[magistrature]] comme [[Haut fonctionnaire en France|haute fonctionnaire]].
En {{date-||mai|1974}}, elleElle est nommée [[Liste des ministres français des solidarités et de la santé|ministre de la Santé]] en {{date-||mai|1974}} par le président [[Valéry Giscard d'Estaing]], qui la charge de faire adopter la « [[loi Veil]] », qui [[Dépénalisation|dépénalise]]<ref name="légalisation" group=N>La légalisation du droit des femmes à l'[[interruption volontaire de grossesse]] interviendra implicitement en [[France]] le 31 octobre 1980, lorsque le [[Conseil d'État (France)|Conseil d'État]], dans un arrêt dit « arrêt Lahache », estimera qu'il n'appartient qu'à la femme majeure {{citation|d'apprécier elle-même si sa situation justifie l'interruption de grossesse}}, sans se préoccuper des avis successifs du médecin et d'un organisme à volonté sociale, uniquement destinés à éclairer la femme sur la portée de son choix, cf. [http://www.courdecassation.fr/publications_cour_26/bulletin_information_cour_cassation_27/bulletins_information_2000_1245/n_526_1362/ Arrêt du 17 novembre 2000 rendu par l’Assemblée plénière] de la [[Cour de cassation (France)|Cour de cassation]], qui mentionne l'arrêt rendu le {{date-|31 octobre 1980}} par le Conseil d'État.</ref> le recours par une [[femme]] à l'[[interruption volontaire de grossesse]] (IVG). Elle apparaît dès lors comme icône de la lutte pour [[discrimination des femmes en France|les droits des femmes en France]].
Elle est la première [[président du Parlement européen|présidente du Parlement européen]], nouvellement élu au [[suffrage universel]], de 1979 à 1982. De façon générale, elle est considérée comme l'une des promotrices de la réconciliation franco-allemande et de la construction européenne.
