« À l'Ouest, rien de nouveau » : différence entre les versions

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La compagnie de Paul est agrandie par de nouvelles recrues et doit rentrer au front. Une nuit, des chevaux « crient » de douleur, mais personne ne peut les achever, c’est trop dangereux. Beaucoup de soldats meurent ensuite : ils sont attaqués dans un cimetière par des obus puis du gaz. Peu après, Kat et Paul trouvent une oie pour la rôtir. Ils ramènent les restes à leur compagnie.
 
Paul et ses amis parlent de ce qu’ils feraient si la guerre finissait. Himmelstoss arrive à ce moment et ne sait pas comment se comporter. Tjaden refuse de coopérer contrairement à ce dont Himmelstoss avait l’habitude et l’injuriejurie. En refusant de lui obéir, il est puni et doit rester 3 jours enfermé (il reçoit de la visite. Kropp écope, lui, d’une journée pour avoir aussi mal parlé à Himmelstoss).
=== Chapitre 5 ===
Paul et ses amis parlent de ce qu’ils feraient si la guerre finissait. Himmelstoss arrive à ce moment et ne sait pas comment se comporter. Tjaden refuse de coopérer contrairement à ce dont Himmelstoss avait l’habitude et l’injurie. En refusant de lui obéir, il est puni et doit rester 3 jours enfermé (il reçoit de la visite. Kropp écope, lui, d’une journée pour avoir aussi mal parlé à Himmelstoss).
 
=== Chapitre 6 ===
Ils retournent au front et subissent des attaques de l’artillerie. Ils doivent être prudents pour conserver leurs rations, convoitées par les rats qui se développent dans les tranchées. Durant une attaque particulièrement violente, même la nourriture ne peut plus être envoyée. Les soldats ne peuvent qu’attendre et un des nouveaux soldats devient fou : il veut sortir mais Paul l’en empêche. Puis c’est l’attaque : les Français arrivent jusqu’aux tranchées allemandes, même si beaucoup d’entre eux sont déjà tombés. Pour la première fois, les soldats peuvent enfin se défendre contre la mort : ils tuent, se battent contre l’ennemi qui les attaque sans qu’ils puissent réagir.
Puis Paul retourne enfin à l’abri et tous mangent à leur faim. Le lendemain, les soldats cherchent à retrouver des survivants qui seraient encore sur le no man’s land : il y en a un qui crie mais personne ne le trouve. Les jours passent. Les soldats cherchent maintenant les ceintures des obus qui auraient de la valeur.
Les attaques recommencent, les nouvelles recrues sont celles qui meurent le plus rapidement. Elles ne savent pas comment survivre, n’ont pas encore de réflexe. Lors d’une bataille, Paul voit Himmelstoss tomber dans un trou et ne pas vouloir se relever, il le force à se reprendre. Quand enfin la compagnie rentre du front, ils ne sont plus que 32 sur 150, les autres ont perdu la vie en quelques semaines.
 
=== Chapitre 7 ===
Après le front, les soldats s’amusent et tentent d’oublier l’horreur qu’ils ont vécue. Paul et ses amis font la rencontre de Françaises chez qui ils se rendent la nuit en apportant de la nourriture. Puis Paul peut rentrer chez lui, il est en permission et revoit sa mère, sa sœur et son père : sa mère a le cancer, et les rations dans les villes ont encore diminué. Chaque personne qui le voit le félicite et veut connaître des détails de la guerre. Paul préfère rester seul. Il rencontre un ancien ami qui est devenu le commandant de Kantorek et qui en profite pour se venger et rend aussi visite à la mère de Kemmerich, lui mentant en l'assurant que son fils est mort sans souffrance.
 
=== Chapitre 8 ===
Lorsque Paul rentre, ce n’est pas directement dans sa compagnie. Il reste dans une sorte de camp militaire où est construite une prison pour les Russes. Par pitié, Paul leur donne le reste de son repas. Ceux-ci vivent dans des conditions misérables, et beaucoup meurent de froid et de faim. Sa famille vient une dernière fois lui rendre visite.
 
=== Chapitre 9 ===
Paul revient dans sa compagnie et, se sentant coupable de ne pas s’être battu depuis longtemps il se porte volontaire pour une patrouille, mais il se perd dans le noir et panique. Finalement, coincé dans les tranchées ennemies, il attend pendant que celles-ci sont attaquées par l’artillerie allemande, lorsqu'un soldat français survient. Pour se sauver, Paul le tue avec un couteau avant de regretter son geste. Le soldat, Gérard Duval, meurt lentement tandis que Paul tente de le sauver. Il se sent pour la première fois véritablement coupable et comprend que ses ennemis restent des hommes avec une vie, une famille et des sentiments. Il reste ainsi à côté du mort, face à son acte meurtrier.
 
=== Chapitre 10 ===
Paul et ses amis se rendent dans un village abandonné où ils passent du bon temps. Mais Paul et Albert sont blessés et se retrouvent à l’hôpital. Paul est soigné tandis qu’Albert se voit amputé de la jambe. Quelques semaines plus tard, Paul doit se séparer de son ami et retourner à la guerre.
 
=== Chapitre 11 ===
Paul continue de se battre et a rejoint ses amis qui meurent un par un: Leer, Müller, le commandant de la compagnie Bertinck et finalement Katczinsky. Detering, lui, a déserté mais s’est fait arrêter. Paul reste seul, et ses espoirs de paix deviennent de plus en plus présents dans son esprit : c’est la fin de l’année 1918 et tout le monde parle d’armistice.
 
=== Chapitre 12 ===
Paul meurt peu de temps avant la fin de la guerre. Son visage parait apaisé et heureux que ça finisse ainsi. Il meurt un jour où tout était si calme que le communiqué signale qu'il n'y a à l’ouest rien de nouveau .
 
== Thémes ==