« Ingérences russes dans l'élection présidentielle américaine de 2016 » : différence entre les versions

{{pertinence détail|À partir de l'automne 2014, {{lien|Adrian Chen}} du ''[[The New Yorker|New Yorker]]'' enquête durant six mois sur la propagande russe en ligne menée par une « usine à trolls »<ref group=note>''troll farm'' en anglais</ref> de 400 personnes basée à [[Saint Pétersbourg]]<ref name=thenewyorkeradrianchen /> et qui se fait appeler [[Internet Research Agency]]<ref name=thenewyorkeradrianchen>{{Lien web|url=http://www.newyorker.com/news/news-desk/the-real-paranoia-inducing-purpose-of-russian-hacks|série=[[The New Yorker]]|consulté le=26 novembre 2016|date=27 juillet 2016|titre=The Real Paranoia-Inducing Purpose of Russian Hacks|prénom=Adrian|nom=Chen|lien auteur=}}</ref>. Le terme ''usine à trolls'' qualifie une entreprise de propagande qui contrôle de nombreux comptes utilisateurs en ligne dans le but de simuler des mouvements de masse<ref name=thenewyorkeradrianchen />{{,}}<ref>{{Lien web|langue=fr|auteur1=Claire Richard|titre=Propagande : la redoutable usine à trolls du Kremlin|url=http://tempsreel.nouvelobs.com/rue89/rue89-connexions-dangereuses/20150603.RUE9315/propagande-la-redoutable-usine-a-trolls-du-kremlin.html|site=L'Obs|date=03 juin 2015|consulté le=2017-03-11}}</ref>. Selon Adrian Chen, l'usage de trolls sur Internet est employé comme tactique par le gouvernement russe essentiellement depuis que celui-ci a observé l'effet des organisations via les médias sociaux dans la [[contestation des élections législatives russes de 2011]]<ref name=thenewyorkeradrianchen />. Adrian Chen recueille les témoignages de reporters et de militants russes qui rapportent que le but du gouvernement russe est de semer la discorde et le chaos sur Internet<ref name=thenewyorkeradrianchen />.|aucune source dans tout ce passage ne relie la fameuse usine à trolls, soit l´IRA à l'élection présidentielle américaine}} En décembre 2015, Adrian Chen observe sur les réseaux sociaux que lesdes comptes pro-russes se mettent à soutenir Donald Trump lors de la campagne pour l'élection présidentielle américaine<ref name="russiadominates">{{Lien web|titre=Trolls for Trump - How Russia Dominates Your Twitter Feed to Promote Lies (And, Trump, Too)|date=6 août 2016|url=http://www.thedailybeast.com/articles/2016/08/06/how-russia-dominates-your-twitter-feed-to-promote-lies-and-trump-too.html|auteur=Weisburd, Andrew; Watts, Clint|série=[[The Daily Beast]]|consulté le=24 novembre 2016}}</ref>.

En novembre 2016, ''[[The Guardian]]'' signale que lesbeaucoup des soutiens de [[Donald Trump]] les plus fervents sur Internet étaient en réalité des propagandistes russes salariés<ref name=invasionofthetroll>{{Lien web|url=https://www.theguardian.com/media/2016/nov/06/troll-armies-social-media-trump-russian|consulté le=2 décembre 2016|date=6 novembre 2016|série=[[The Guardian]]|titre=Invasion of the troll armies: from Russian Trump supporters to Turkish state stooges|prénom=Leo |nom=Benedictus}}</ref>. L'article estime à plusieurs milliers le nombre de trolls impliqués dans cette opération<ref name=invasionofthetroll />. Toujours en novembre 2016, ''BuzzFeed News'' signale que les trolls {{ref nec|financés par le [[Kremlin]] se préparent}} à diffuser de la désinformation<ref name="moreworriedaboutmedia">{{Article|langue=en|auteur1=|titre=US Officials Are More Worried About The Media Being Hacked Than The Ballot Box|périodique=BuzzFeed|date=5/11/ 2016,|issn=|lire en ligne=https://www.buzzfeed.com/sheerafrenkel/us-officials-are-more-worried-about-the-media-being-hacked-t|consulté le=2017-03-11|pages=}}</ref>.