Version du 9 octobre 2017 à 19:57 modifier Kartell (discuter \| contributions) 1 064 modifications →Pratiques "sulfureuses" de lobbying en France : élagage pour que tout l'article ne tourne pas que sur ces sujets... Balise : potentielle contribution rémunérée ← Modification précédente		Version du 9 octobre 2017 à 19:59 modifier annuler Kartell (discuter \| contributions) 1 064 modifications déplacement d'une partie de l'intro dans histoire pour équilibrer le corps de l'article Balise : potentielle contribution rémunérée Modification suivante →
Ligne 1 : ~~{{orphelin\|date=avril 2016}}~~ ~~{{ébauche\|entreprise suisse}}~~ {{Infobox Société \| couleur boîte = Ligne 42 ⟶ 40 : SICPA, via ses divisions PBPD (Product & Brand Protection Division) et GSSD (Government Security Solutions Division), prend aussi en charge la protection de la valeur et de l'intégrité des droits mondiaux de [[propriété industrielle]] et [[propriété intellectuelle\|intellectuelle]], ainsi que l’augmentation des recettes fiscales par le biais de systèmes intégrés d'[[authentification]] et de [[sécurisation]] de la [[gestion de la chaîne logistique\|chaîne logistique]] : une combinaison de la technologie des encres de sécurité basée sur la matière et de la technologie de suivi sécurisé et [[traçabilité]] basée sur l'information. SICPA a son siège et ses autres activités de direction à [[Lausanne]], en [[Suisse]]. SICPA a son siège et ses autres activités de direction à [[Lausanne]], en [[Suisse]]. L'entreprise ne communique pas sur ses chiffres (nombre d'employés, de bureaux, localisation de ces derniers etc.). D’après le quotidien genevois Le Temps, SICPA a doublé ses effectifs au cours des dix dernières années. Le journal suggère qu'en octobre 2015, la société employait 3000 personnes dans 37 pays, dont 400 à son siège de Prilly, près de Lausanne. Depuis 2014, la société s'est séparée d'une centaine de collaborateurs en Suisse, à la suite d'une réorganisation de deux de ses activités traçabilité<ref name=":7" /> et a mené un "plan de réorganisation" touchant 150 salariés en 2017<ref>[https://www.tdg.ch/suisse/municipalite-dubai-sicpa-cur-swiss-made/story/29242572 Tribune de Genève]</ref>.▼ == Histoire == Ligne 69 ⟶ 67 : * Equateur : Le Service National des Douanes déploie en 2015 un système basé sur les timbres fiscaux et la technologie de SICPA et utilisant des smartphones pour vérifier l’origine légale de biens d’importation (alcools, vêtements, parfums, entre autres) dans le but de protéger les producteurs locaux<ref>{{Lien web\|titre = Los perfumes, zapatos y ropa también llevarán etiquetas fiscales \|url = http://expreso.ec/expreso/plantillas/nota.aspx?idart=8652242&idcat=38269&tipo=2\|site = expreso.ec le = 2015-11-09 }}</ref> soumis aux taxes. === Situation actuelle === ▲~~SICPA a son siège et ses autres activités de direction à [[Lausanne]], en [[Suisse]].~~ L'entreprise ne communique pas sur ses chiffres (nombre d'employés, de bureaux, localisation de ces derniers etc.). D’après le quotidien genevois Le Temps, SICPA a doublé ses effectifs au cours des dix dernières années. Le journal suggère qu'en octobre 2015, la société employait 3000 personnes dans 37 pays, dont 400 à son siège de Prilly, près de Lausanne. Depuis 2014, la société s'est séparée d'une centaine de collaborateurs en Suisse, à la suite d'une réorganisation de deux de ses activités traçabilité<ref name=":7" /> et a mené un "plan de réorganisation" touchant 150 salariés en 2017<ref>[https://www.tdg.ch/suisse/municipalite-dubai-sicpa-cur-swiss-made/story/29242572 Tribune de Genève]</ref>. == Polémiques ==

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