« Jacqueline Maillan » : différence entre les versions

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Du ressort de son intimité. Pas vraiment sa place dans une bio publique.
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En 1944, la famille arrive à Paris pour que Jacqueline puisse assouvir sa passion du théâtre et en particulier de la tragédie. Elle s'inscrit d'abord au cours d'art dramatique [[Tonia Navar]], puis au [[cours Simon]]. [[René Simon]] lui déconseille la tragédie après qu'elle l'a fait rire en jouant [[Jean Racine|Racine]] ; il lui prédit toutefois le succès<ref name="Lefigaro.fr 2013-11-06"/>… à 40 ans. Elle y rencontre celui qui restera un ami jusqu'à la fin, [[Pierre Mondy]]<ref name="Lesoir.be 1992-05-13"/>.
 
En 1954, le compositeur [[Michel Emer]] qui a entre autres composé pour [[Édith Piaf]] ''L'Accordéoniste'' et ''À quoi ça sert l'amour ?'', spectateur assidu de la pièce qu'elle joue, la demande en mariage. Après avoir hésité, elle l'épouse civilement le 14 décembre 1954, deux jours après le décès de son père. C'est à son mari, « l'être de sa vie », qu'elle confie sa bisexualité<ref>{{Lien web|url=http://teleobs.nouvelobs.com/la-selection-teleobs/20131105.OBS3944/un-jour-un-destin-jacqueline-maillan-la-solitude-du-rire.html|titre=Un jour, un destin : "Jacqueline Maillan, la solitude du rire"|auteur=Véronique Macon|date=5 novembre 2013|site=[[Le Nouvel Observateur]]}}</ref>.
 
Personnage exubérant sur scène, elle est taciturne, mélancolique et pudique dans la vie privée<ref name="leparisien"/>.
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