« Stay-behind » : différence entre les versions

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Le contexte théorique de leur éventuelle activation est toujours le même : si un des pays concernés est envahi par l'[[armée rouge|armée soviétique]], son gouvernement légitime se réfugie au Royaume-Uni, en [[Amérique du Nord]] ou en [[Irlande (pays)|Irlande]] et le(s) réseau(x) ''{{Lang|en|stay-behind}}'', devenu(s) immédiatement opérationnel(s), passe(nt) à l'action en étroite coordination, grâce à ses propres moyens de [[télécommunications]], avec celui-ci.
 
Selon Martin Packard, ils devaient également être activés dans le cas où un [[parti communiste]] serait parvenu au pouvoir par une élection démocratique. Ils étaient « financés, armés et entraînés à des activités de résistance secrètes incluant l'assassinat, la provocation politique et la désinformation<ref name = "Packard">{{cite book|last=Packard|first=Martin|title=Getting It Wrong: Fragments From a Cyprus Diary 1964|year=2008|publisher=AuthorHouse | location = UK |isbn=978-1-4343-7065-5|page =364}}</ref>. »
 
Sa principale activité consistait à repérer et à sélectionner, durant les périodes de [[Conscription|service militaire]], les appelés jugés assez mûrs et de confiance pour pouvoir appartenir au réseau. Une fois cooptés, ceux-ci étaient assez régulièrement convoqués pour des périodes d'exercice d'une durée approximative d'une semaine. En théorie, l'appartenance à ces réseaux est incompatible, sauf pour l'encadrement, avec une fonction dans les services de sécurité officiels.
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