« Affaire Marie-Louise Giraud » : différence entre les versions

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→‎Procès : la grâce
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Lors du procès, le président souligne l'immoralité de l'accusée. Le réquisitoire de l'[[avocat général (France)|avocat général]] reprend les thèmes diffusés par la nouvelle [[propagande]] et la réglementation de Vichy. La peine de mort est nécessaire dans ce cas-là, selon lui. La cour, après délibération, suit le réquisitoire. Marie-Louise Giraud est condamnée à avoir la tête tranchée.
 
Seule une grâce peut sauver la vie de l’accusée. Mais le maréchal Pétain refuse la grâce. Marie-Louise Giraud est dès lors exécutée, le 30 juillet 1943.G
 
== Postérité ==