« Rafle du Vélodrome d'Hiver » : différence entre les versions
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== Bilan ==
Cette rafle représente à elle seule plus du quart des {{nombre|42000|Juifs}} envoyés de France à Auschwitz en 1942, dont seuls 811 reviendront chez eux après la fin de la guerre. En
Selon les archives, le nombre de personnes arrêtées s'élève à {{formatnum:13152}}{{sfn|Conan|Rousso|1996|p=47}}{{,}}<ref>{{lien web|url=http://www.larafle-lefilm.com/pdf/dp_mairiedeparis.pdf|titre=Pourquoi la rafle n’a pas atteint son objectif|éditeur= |année= |site=larafle-lefilm.com|consulté le=2 février 2013|format=pdf|passage=52-53}}.</ref>{{,}}<ref name="lexpress-AFP"/>. C'est aussi ce nombre qui est gravé sur la stèle commémorative située à l'emplacement du vélodrome. Sur les {{nombre|13152|arrêtés}} il y a {{nombre|4115|enfants}}{{sfn|Conan|Rousso|1996|p=47}}, moins de cent adultes et aucun enfant survivent à la déportation<ref name="nobs jeun">[http://tempsreel.nouvelobs.com/societe/20120716.OBS7327/une-majorite-de-jeunes-ne-sait-pas-ce-qu-est-la-rafle-du-vel-d-hiv.html « Une majorité de jeunes ignore ce qu'est la rafle du Vel' d'Hiv' »], ''[[L'Obs|Le Nouvel Observateur]]'', 16 juillet 2012.</ref> vers Auschwitz<ref name="lexpress-AFP"/>. Seuls quelques enfants, comme [[Joseph Weismann]] (qui s'échappe du camp de Beaune-la-Rolande avec un camarade) ou [[Annette Muller]] et son frère [[Michel Muller (acteur)|Michel]] (dont le père arrive à corrompre un policier du camp de Drancy, pour les en faire sortir), survivent à la rafle.
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