« Opéra Garnier » : différence entre les versions
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{{souverain2|Napoléon III}} est visé lors d'un [[attentat]], le {{date-|14 janvier 1858}}, [[rue Le Peletier]] où se situe la salle d'opéra du moment. Des [[anarchisme|anarchistes]] [[italien]]s, dirigés par [[Felice Orsini]], jettent plusieurs « [[bombe (militaire)|machines infernales]] » dans le cortège et la foule qui l'entoure. Le couple impérial est miraculeusement épargné, mais se retrouve au milieu de huit morts et de près de cent quarante-deux blessés.
La construction d'une nouvelle salle dans une grande rue moins propice aux attentats est décidée par l'empereur, au lendemain même du drame, pour la construction
Pour certains [[historien]]s, [[Eugène Viollet-le-Duc|Eugène-Emmanuel Viollet-le-Duc]] semble à l'origine de l'idée d'un concours, craignant l'attribution du projet et la direction du chantier à [[Charles Rohault de Fleury]], architecte ordinaire de l'Opéra et donc logiquement destiné à réaliser cette nouvelle commande. Selon l'avis d'autres spécialistes, ce sont {{souverain-|Napoléon III}} et surtout son épouse, l'[[Eugénie de Montijo|impératrice Eugénie]], qui souhaitent écarter Rohault de Fleury pour que Viollet-le-Duc, leur favori, en soit lui-même chargé{{sfn|Leniaud|Bouvier|2003|p=49}}.
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