« Indigènes de la République » : différence entre les versions

Ses fondateurs se fixent pour objectif la lutte contre les [[discrimination]]s, qu'elles soient fondées sur la [[Race humaine|race]] ou la [[religion]]. Houria Boutelja, porte-parole du Parti des indigènes de la République (PIR) qualifie le mouvement d'{{cita|[[Anti-impérialisme|anti-impérialiste]] et [[Antisionisme|antisioniste]]}}<ref>''Une France soumise : les voix du refus'', collectif, [[Élisabeth Badinter]], [[Georges Bensoussan (historien)|Georges Bensoussan]], Albin Michel, 2017.</ref>, incluant le sionisme parmi les impérialismes. Elle revendique parmi ses influences des penseurs tels que [[Malcolm X]], [[James Baldwin (écrivain)|James Baldwin]], [[Frantz Fanon]] et des poètes comme [[Jean Genet]] ou [[Aimé Césaire]]<ref>{{Article|langue=fr-FR|auteur1=Cornel West|titre=La fin de l’innocence impériale|périodique=Les Indigènes de la République|date=2 octobre 2017|issn=|lire en ligne=http://indigenes-republique.fr/la-fin-de-linnocence-imperiale/|consulté le=2017-10-10|pages=}}</ref>.

 

 

== L'appel des « Indigènes de la République » ==