« Équipe de France de football » : différence entre les versions
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==== L'héritage Hidalgo ====
Son successeur n'est d'autre que son adjoint : Michel Hidalgo. À partir de [[Équipe de France de football en 1976|1976]], Hidalgo va construire l'une des meilleures équipes de France autour de [[Michel Platini]], qu'il fait éclore au plus haut niveau. Il inculque aux ''Bleus'' ses principes d'un jeu ouvert axé sur l'offensive et écrit une page dorée de l'[[histoire du football français]]. En effet, il permet à l'équipe de France de revenir dans l'élite mondiale en la qualifiant pour deux Coupes du monde et en finissant quatrième du [[Coupe du monde de football de 1982|Mondial 1982]], après une [[Match de football France – RFA (1982)|demi-finale épique]] contre l'[[Équipe d'Allemagne de football|Allemagne de l'Ouest]]. En [[Équipe de France de football en 1984|1984]], il remporte à la tête de la sélection le [[Championnat d'Europe de football 1984|championnat d'Europe]], contre l'[[Équipe d'Espagne de football|Espagne]] organisé en [[France]].
À la suite du sacre de l'Euro 1984, Michel Hidalgo se retire et laisse sa place à [[Henri Michel (football)|Henri Michel]], auparavant sélectionneur des Espoirs. Sous son mandat, la France remporte la [[Coupe intercontinentale des nations]] en 1985 et atteint la demi-finale de la [[Coupe du monde de football de 1986|Coupe du monde 1986]] au [[Mexique]], une nouvelle fois éliminée par l'Allemagne de l'Ouest. De plus en plus contesté, Henri Michel est limogé à la suite d'un match nul contre [[Équipe de Chypre de football|Chypre]] (1-1) lors des éliminatoires du [[Coupe du monde de football de 1990|Mondial 1990]] qui compromet les chances de qualification des ''Bleus''.
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