« Pour une intervention communiste » : différence entre les versions

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— une deuxième tendance, composé de fait du reste du groupe, pense que tous ces projets reflètent une fuite en avant qui n’aiderait en rien à résoudre une situation difficile et qui présente le danger de diluer les faibles forces du groupe dans un activisme forcené. Le moment était venu de reconsidérer l’activité du PIC en fonction de ses possibilités réelles et non de se lancer à corps perdu dans les éternels " coups de bluff " que le groupe semblait avoir mis en place de façon périodique depuis sa création.
 
Lors de la réunion nationale du groupe, les 16 et 17 mai 1981, les divergences se confirment et la tendance « volontariste » met ses positions et propositions aux votes. Celles-ci s’avérant minoritaires, ses quatre membres quittent le groupe (pour constituer le groupe Volonté communiste, dont l’organe était Révolution sociale). Numériquement, ces départs sont compensés par de nouvelles adhésions (particulièrement le groupe de Nanterre de la Fédération Anarchiste, qui comprenait alors deux personnes dont semble-t-il le philosophe Francis COUSIN). Le PIC et la publication de Jeune Taupe se poursuivront, sans changement de périodicité jusqu’au n°88. À ce stade, il s'avère qu’entre les membres du PIC d'avant la scission et ceux qui venaient de la F.A., il n’y avait pas vraiment concordance de vue, ni désir de continuer ensemble. Considérant que le fait de se lancer dans cette dernière étape du PIC/Jeune Taupe découlait d'une décision commune, il était décidé unanimement que groupe et publication disparaissant de fait. Chacun de son côté faisait ce qu’il avait envie de faire… sans revendiquer l’héritage : les ex-FA au travers du bulletin Guerre de Classe, et les ex-majorité du PIC avec le groupe/publication [[L'Insécurité Sociale]].
 
== Relations internationales du PIC ==