En 18931993, les avoirs personnels à l'étranger de Mobutu sont estimés à environ 7 milliards de dollars (soit 70 % de la dette extérieure du Zaïre) par la cellule africaine de l’Élysée. En 1997, à sa mort, sa fortune personnelle est estimée par l'[[UNODC]] et [[arency International]], entre 5 et 6 milliards de dollars (alors que la dette publique du pays est de 12,5 milliards). Mobutu détenait notamment des propriétés en France, Belgique, Suisse, Italie, Espagne et au Portugal, dont plusieurs châteaux (dont le [[château Fond'Roy]] à [[Uccle]] en région [[Bruxelles|bruxelloise]] de [[1973]] à sa mort). En Afrique, il aurait effectué des investissements au Sénégal, en Côte d'Ivoire, au Tchad et en Afrique du Sud<ref>{{Article|langue=fr|auteur1=|titre=Une fortune discutée. (Mobutu).|périodique=Libération.fr|date=9 septembre 1997|issn=|lire en ligne=http://www.liberation.fr/planete/1997/09/09/une-fortune-discutee-mobutu_216000|consulté le=|pages=}}</ref>{{,}}<ref>[http://ccfd-terresolidaire.org/infos/partage-des-richesses/biens-mal-acquis/info_999 Rapport ''Biens mal acquis... profitent trop souvent !''], [[CCFD]], mars 2007, {{p.|34-37}}</ref>.