« Histoire de l'électricité » : différence entre les versions

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Et au milieu du {{s-|XVIII}} de nombreux de savants pratiquant la langue anglaise, la langue française, en continuité de la culture classique gréco-latine participent à des [[encyclopédie|ouvrages fondamentaux]] de « la transmission à tous de la connaissance ». <br>
L’ [[Encyclopédie ou Dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers|encyclopédie Diderot - D'Alembert]] est constituée entre 1751 à 1772;. Elle montre et qualifie les objets et leur fonctions en fournissant un accès plus facile que ne le font les ''traités'' et ''essais'' des érudits. C'est l'époque où on pense que {{Gref|G=|a=la chaleur apportée par le feu à certaines matières produit de l'électricité (dans le verre, le diamant etc,) en plus d'une lumière commençant au rougeoiement selon des phénomènes constatés au siècle précédent.|c=Andre Koch Torres Assis, ''The Experimental and Historical Foundations of Electricity'' 2010, [https://www.ifi.unicamp.br/~assis/Electricity.pdf lire en ligne (en)]|FG=}}
 
{{Gref|G=|a=Mais dans le même temps, dans ce qui est l'« [[Rectitude|esprit de rigueur]] » scientifique, la mathématique est appliquée pour faire une traduction numérique « pure » de la physique à partir de l'expérimentation. La [[Méthode scientifique|représentation raisonnée]] n'est plus à partir de ce siècle
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Avant cela historiquement, la conception du « plein » et du « vide » posait un questionnement au {{S-|XVII}} avec par exemple la formulation de l'atmosphère terrestre en épaisseur, forme et consistance. (L'invention du corps physique « gaz » est débutée par un [[François-Mercure Van Helmont|médecin]] vers 1670 qui amorce la substitution de la chimie{{Note|groupe=L1c|nom=L1cp210}} à la place de l'[[Philosophie naturelle|alchimie]]).
Au {{S-|XIX}} on étudie physiquement les deux éléments métaphysiques{{Note|nom=u6|url=http://homepages.ulb.ac.be/~pmarage/vide_court.html|libellé=L’histoire du vide|détails= Pierre Marage, ''Physique des Particules élémentaires Université Libre de Bruxelles'' (site Ulb, consulté le 19-09-2017).}} du « [[Vide (physique)|rien]] » et du « quelque chose » qui furent définis préalablement à la démarche{{Note|groupe=extrait|nom=L1p19-41-112-113-114}} de Newton du « binôme » élémentaire des corps, « deux corps s'attirent » ; Ilsils sont résolus à l'aide de la théorie des [[Ensemble vide|ensembles]] mathématiques qui produit alors une image correcte de la réalité. <br>Physiquement « le plein » a une transparence à la lumière qui est un problème, et pour ce qui concerne une vision avec « le vide », la conduction de rayonnement attend aussi une explication ; Ilsils peuvent véhiculer des « fluides ». <br>On fait alors usage des inventions pratiques comme celle de l'« [[Éther (physique)|éther]] »{{Note|groupe=L1b|nom=L1bp131-142}} (dispositif « faux » abandonné{{Note|groupe=La|nom=cnrtl4}} ultérieurement)
et de l'[[ion]]{{Sfn|Petit|2013|p=290}} (dispositif qui sera reconnu « vrai » lorsque les moyens techniques le permettront). <br>On effectue une théorisation déterministe{{Note|groupe=note|texte=L'[[Énergétisme]] est une théorie osolète qui en ce qui concerne l'électricité et la chaleur propose un modèle unifié en début du {{s-|XX}}, celui qui lie la philosophie et le savoir des sciences exactes.
 
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La [[Histoire des mathématiques|mathématique]] qui doit représenter cela aborde l'« [[espace vectoriel]] » de façon [[topologie|topologique]] avec le [[nombre complexe]]. Cet espace deviendra [[Espace vectoriel normé|normé]] en fin de siècle et cet espace reposera encore la notion [[Gottfried Wilhelm Leibniz|Leibnizienne]] de l'[[infini]] du siècle précédent.
 
L'époque du {{s-|XIX}} est encore celle de la [[houille]] en usage industriel intense dans la métallurgie ; Cece terme est un mot imagé pour désigner toute forme d'énergie, la distillation du charbon ayant donné au début du siècle le [[Histoire du gaz manufacturé|gaz manufacturé]]. L'énergie est « devenue reine » dans les sociétés développées car elle est nécessaire à leur fonctionnement de « producteurs d'objets » ; Il se démarre au milieu de ce siècle l'usage du [[histoire du pétrole|pétrole]]; démarre au milieu de ce siècle.
 
Mais naît aussi la [[houille blanche]], pour l'électricité (le flux est considéré par analogie de pensée expérimentale avec le courant puissant de l'eau et de ses chutes canalisées) ; Sasa production - son usage sont effectifs au tournant du siècle à partir de la Suisse et l'Autriche puis la France, par le turbinage électrique<!-- théorème de Bernoulli et turbine de Kaplan -->. C'est la continuation du modèle des moulins mécaniques vent et eau très implantés dans l'industrialisation qui est naissante au Moyen Âge<!--machines outils manuelles-->, {{Gref|G=B1|a=qui a été suivie dans les siècles suivants entre autres {{Gref|G=B2|a=de la fabrication [[Production en série|« en série »]] des navires assurant les échanges commerciaux entre pays et continents<!--hollande machine de sciage-->{{Note|groupe=R|nom=R9}}
|FG=B2}}, associée à l'activité des [[arsenal|arsenaux navals]] militaires|c=http://www.musee-marine.fr/sites/default/files/la_construction_navale_en_bois_primaire_site.pdf
colbert espionne pour méthode dans les arsenaux, construction empirique jusqu'au {{s-|XVII}}, puis organisée|FG=B1}}.
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L'électricité est déclinée à cette époque dans les pays comme Les États-Unis, l'Angleterre, la France sous son aspect scientifique dans les feuilletons de journaux, et du théâtre{{Note|nom=u1|url=http://www.persee.fr/doc/roman_0048-8593_1989_num_19_65_5599|libellé= ''Le théâtre scientifique de Louis Figuier''|détails=[[Fabienne Cardot]]}} autant que sous son aspect d'idéal ludique.
 
Le transport d'électricité change le paysage des pays qui en développent l'usage sur des distances qui peuvent être longues ; Celacela surtout {{Gref|G=4|a=si l'énergie vient de l'eau{{Note|groupe=L23|nom=L23p128}}|FG=4}}.
 
Les zones urbaines commencent à se différentier plus fortement encore à la fin du siècle ; Ll'habitat somptueux nouveau est dans cette pratique fortement ostentatoire{{Note|groupe=extrait|nom=L34sommaire1}} du luxe de l'électricité pratique et confortable{{Note|groupe=extrait|nom=L43p12}}. <br>Il s'agit tout d'abord des premiers [[William Le Baron Jenney|gratte-ciels]], qui deviennent un signal dans l'échelle des valeurs modernes{{Note|groupe=R|nom=R1n1279p38}}. <br>La banlieue industrielle {{incise|qui se différencie des faubourgs artisanaux historiques}} est une zone qui se définit entre autres par le fait de l'usine utilisant de l'énergie et par ailleurs fabricant son électricité pour la livraison à soi-même.
Cet établissement industriel agglomère autour d'elle l'habitat de ses ouvriers, géré par elle ou installée « par la force des choses » sans plan d'urbanisme en « mitage » de la campagne{{Sfn|Merlin|2009|p=21: La ville industrielle}}.
 
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L'énergie électrique utilisable à distance implique un approvisionnement, envisageable depuis l'exposition de Vienne en 1873. La science de la construction calculée{{Sfn|Oppermann|1876}} et la maîtrise des matériaux permet la production d'une infrastructure aérienne de transport d'électricité passant sur le domaine privé. Les contraintes sont moindres que celles de l'implantation effectuée dans la même période des routes et voies ferrées (avec expropriation complète).
 
Les besoins des industriels ou des municipalités des premiers temps se distinguent des besoins pour les commerces (gros consommateurs de l'époque). Et la pratique dans l'habitat plus celle de l'activité dans les bureaux fera se manifester aussi ensuite un fort intérêt pour cette ressource ; Uneune énergie que l'on appellera plus tard pour ces besoins l'[[électricité domestique]] (une énergie elle aussi "« domestiquée" », un facteur d'agrément{{Note|groupe=extrait|nom=L43p12}}{{,}}{{Note|groupe=L40|nom=L40a}}).
 
L'ensemble des consommations pour le télégraphe et le téléphone installés dans la deuxième moitié du siècle dépasse celle des autres besoins émergents en fin de siècle, car pour cette électricité dite « courant faible », les réseaux aériens s'appuient sur la mise en place de voies ferrées qui sont des domaines privés dans une structure planifiée par chaque état. Globalement, les problèmes rencontrés par la mise à distance des courants faibles{{Note|groupe=extrait|nom=L36p8}} ne sont pas du même ordre que ceux de la distribution d'énergie, détérioration du signal dans un cas et perte d'énergie dans l'autre. La production en masse de toute cette énergie distribuée se distinguera de la production électrique à usage privé faite de façon autonome. L'électricité est envisagée comme force motrice après 1881{{Sfn|Caron|Cardot|1991}}.
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La nature de ce qu'on appelle la « force » constatée aux siècles précédents sur les voiles des bateaux qui se déplacent et des moulins qui ne se déplacent pas mais tirent de l'énergie pour est devenue habituelle pour les hommes: on trouve le navire ou bien l'édifice avec une « sorte d'aile d'oiseau », les ailes ou ailettes des hélices, des turbines. Ce n'est plus un problème philosophique cette façon, une reprise d'[[Icare]] dans le mythe fondateur de philosophie qui est de se déplacer hors de son espace et de ses limites en dépensant sa propre énergie, cela va se poursuivre avec les voyages sur la Lune<!-- Méliès continue les aventures du Baron de Munchausen-->. Ce qu'est la puissance et l'énergie prend une place considérable dans les acquis d'à peu près toutes les sciences.
L'électricité devient {{Note|groupe=L7|nom=L7p41}}« nécessaire ''et'' indispensable ». La conscience a été présente dans les esprits industrieux de la période des années 1930, pendant le développement de l'électricité industrielle, de ce que globalement {{Gref|G=2|a=« l'électricité en tant que telle ne se stocke pas »{{Sfn|La Souchère|2011|p=137}}|FG=2}} ; Elleelle avait été essentiellement électrochimique{{Note|groupe=L38|nom=L38}} dans la phase économique initiale du {{s-|XIX}} et avait montré la limite du système.
Dès le début de ces sociétés « [[Modernité|modernes]] » du « métal - béton - plastique - électricité » où la science prend son sens « moderne », quel que soit le système de gouvernement et d'enseignement des pays développés, on se munit d'objets « modernes » : la télévision après le téléphone etc.{{Note|groupe=L7|nom=L7p26-32}}. L'électricité fait alors partie des ressources disponibles de l'habitat humain dans tous les pays du monde{{Note|groupe=note|nom=n8}} avec l'univers de la « fée électricité »{{Sfn|Bodanis|2006}}{{,}}{{Sfn|Beltran|1991}}{{,}}{{Sfn|Beltran|Carré|1991}}, mais surtout de manière plus ou moins affirmée en dehors des pays de conception de la science électrique. Son application industrielle produit un effet de masse. Sa disponibilité présente un intérêt général et en fait un service considéré comme d'importance dans les pays les plus avancés techniquement, importance de sa distribution allant jusqu'au [[service public]], dans les pays à économie capitaliste.
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Des organismes publics apparaissent au cours du siècle pour cette marchandise. Elle est soumise à des taxes dans chaque système organisé, une structuration apparaissant en fait durablement, constituée au milieu du siècle dans l'ensemble des pays industriels occidentaux à la suite des guerres et effondrements économiques, et ajustable selon les [[Effet de levier|effets]]. Et la technicité localisée de la science électrique passe de celle du génie mécanique et électrique du temps des ingénieurs{{Note|nom=u10|url=http://www.shf-lhb.org/articles/lhb/pdf/1949/05/lhb1949038.pdf|libellé=La soudure à l'arc des conduites forcées|détails= [[Félix Viallet (industriel)|Bouchayet-Viallet]] et ses références.}} à celui de la [[Recherche et développement]] puis de l'[[Ingénierie]].
 
Ceci provoque socialement des approches diverses dans la période de la deuxième moitié du {{s-|XX}} ; Lele « sentiment positif » venant de la puissance domestiquée produit cependant aussi un « imaginaire négatif »{{Note|groupe=L40|nom=L40b}}, qui change d'échelle : elle passe des difficultés économiques à l'irrémédiable écologique, c'est-à-dire plus qu'un facteur de désagrément.
 
Au niveau de la connaissance élémentaire fondamentale, dans le siècle, l'électricité est là sous son aspect particulaire pour l'énergie, sous sa forme ondulatoire (modulée fréquentielle) pour la communication sur des supports faits avec du "plein" terrestre et du "vide" spatial.
 
Sur le fond, la tendance historique, depuis le {{s-|XVII}} avec des acteurs comme Leibniz, est de fournir pour la Science une théorie unique fournissant la synthèse de tout phénomène observable{{Note|groupe=extrait|nom=L21p16-19}}. <br>Par le fait, la mise en théorie du monde évolue et se fait en théories spécialisées, celles de la "recherche appliquée". <br>Par le fait, la théorie électrique-électronique ondulatoire/particulaire de la matière a été constatée avec les « rayons "X" » à la fin du {{s-|XIX}}.<br />Puis elle a été expérimentée dès le début du siècle : en Angleterre par la lumière de {{Lien|trad = Henry Joseph Round|langue= en|fr = Henry Joseph Round|texte = diode}}, en France avec le [[Rayonnement électromagnétique|rayonnement]] de [[Marie Curie|matières minérales]] avec son traçage sur de la matière "photographique" ; Lala [[lumière]] a conservé - sinon augmenté - son attrait dans l'esprit humain scientifique et symbolique. Les travaux de [[Louis de Broglie]]{{Note|groupe=extrait|nom=L1chap1p77}} permettront après cette époque la vision de l'« infiniment petit » avec la microscopie électronique{{Note|groupe=L1b|nom=L1bp151-167}} qui touche tous les secteurs de la science qui se constitue, de la géologie au monde du vivant.
 
{{Refnec|Cette mise en théorie des phénomènes physiques aboutit comme pour tous les phénomènes d'art et d'industrie structurant un groupe humain a un positionnement politique d'utilisation sur les deux aspects majeurs d'une société développée d'hommes industrieux avec la performance comme valeur positive.
D'un côté une voie pacifique scientifique de l'usage de l'électricité pour "le bien de l'homme".<br />Et de l'autre côté le pôle belliqueux de l'usage scientifique moderne de l'électricité pour "l'appropriation-protection tribale" selon les traditionnelles méthodes de la force et la ruse.
Ainsi cohabitent les usages diversifiés de l'électricité en « ''courants forts'' » (énergie) et « ''courants faibles'' » (information).|date=2018/08/25|bloc=oui}}
 
Dans les positivités est mis en place l'avantage de la communication « par les airs » avec l'électricité. D'abord par le [[SOS]] qui permet l'aide effective entre bateaux de haute mer{{Note|groupe=V|nom=V8}}. Les transactions quasi instantanées à distance sont possibles dans le système productif {{Gref|G=3|a=capitaliste devenu économiquement fort avec un accroissement rapide la population{{Note|groupe=L6|nom=L6p191}}|FG=3}}. Pour l'énergie, la diminution de pénibilité de tâche est effective par une motorisation électrique dont l'implantation sur site est très aisée. Dans le troisième tiers du {{s-|XX}}, l'électricité est un des éléments de progrès qui permet d'habiter des zones arides{{Note|groupe=L15|nom=L15p212-213}}.
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Pour les arts et loisirs, en plus du domaine du visuel, l'électricité vient s'intégrer à la musique d'abord par sa reproduction mécanique pratique existant depuis la fin du {{s-|XIX}}, puis dans la facture de quelques instruments avant la deuxième guerre mondiale. Mais son importance culturelle est celle d'un tournant majeur de l'art, en créativité (où on va par exemple prendre la voix nasillarde, la distorsion possible du son et l'effet de puissance comme référence). Cette nouveauté a un fort impact commercial. Dans la période de l'entre-deux guerres l'électricité marque pour l'Art la période « [[Art contemporain|contemporaine]] » qui commence puis se poursuit avec la « [[Technologies de l'information et de la communication|nouvelle technologie]] ».
 
Sur le pôle opposé agressif pour les populations dans leur ensemble, les hommes du {{S-|XX}} continuent l'« [[Époque contemporaine]] » de l'Histoire et fabriquent les guerres mondiales dès le début du siècle avec la civilisation industrielle du fer qui prédomine. La ressource additionnelle importante est l'électricité : aussi bien pour la communication, l'armement que l'encadrement{{Note|groupe=note|nom=n17}}. Autant d'effort de conception est dépensé pour la bataille avec l'arme atomique recherchée;, Efforteffort de destruction sur des centrales électriques, {{incise|Norvège 1940, Irak 1981 - 2000}}, et effort pour faire de l'espionnage de l'ennemi potentiel par satellite une nécessité {{incise|monde entier 1980 2000}}.
 
Ou encore on trouve l'effort voulu d'une forme de socialisation en fait aboutissant à la [[Réification|chosification]]{{Note|groupe=extrait|nom=L34sommaire1}} de l'individu dans la masse qui l'englobe. On met en équations des données (l'"« image" ») de chaque personne. "« Ses" chiffres» chiffres permettent alors une classification temporaire associée alors utilement à des processus et des usages. Ce que l'on appelle la « réification de l'individu par la numérisation » dans la [[:Catégorie:Économie de l'information|conception]] « [[:Catégorie:Économie du développement|lobbyiste]] ».
 
;Le changement de modernité dans la vie courante.
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Le {{S-|XX}} est devenu le siècle où on a établi la politique de la santé pour la population avec des instruments et certaines médicalisations curatives : un usage de l'électricité fait à la place de la chimie pharmaceutique ou du geste médical invasif débuté au {{S-|XIX}} pour l'électricité sur l'homme. L'électricité fait partie des processus admis du monde agricole pour la reproduction du bétail. Mais les gestes utilisant directement l'électricité sur le corps humain sont très déconsidérés dans la jonction du {{S-|XX}} au {{S-|XXI}} cela dans le même temps où les prothèses de corps robotisées apparaissent.
 
Dans tous les cas de modèle d'industrie, le « courant électrique » est une base sur laquelle vient se greffer les autres "progrès". Ceux pour le {{s-|XX}} de la connaissance scientifique, dont le côté dogmatique{{Note|groupe=L5|nom=L5p250-251}} reste fort. Cela va jusqu'à une certaine connaissance qualitative des cultures entre elles par le flux d'informations des images [[télévision|télévisuelles]] sonores transitées avec l'électricité ; Elleselles sont en continuation des œuvres des premiers photographes de la fin du {{s-|XIX}} et cinéastes du début du siècle qui passent du journalisme à la connaissance du monde « proche » et « lointain ».
 
Après avoir fait l'objet une vision d'économie planifiée plus ou moins affirmée selon le pays{{Note|nom=u5}}, l'électricité aboutit à la « virtualisation » de la société avec création selon certains points de vue des « [[homo numericus]] » et la mise à disposition de la connaissance par le développement de l'outillage informatique électronique électrique. Des modes de représentation de la vie en société sont établis. On trouve ainsi le « [[Dématérialisation|bureau sans papier]] », forme de « réalisme empirique et matérialisme ( ''chosisme''{{Note|groupe=extrait|nom=L34sommaire1}}) » après le « bureau efficient » qui achève la période de transmission exclusive du savoir et de l'information par le papier imprimé. L'économie du secteur tertiaire productrice d'information à stocker - archiver est devenue prédominante en termes de richesses produites dans les sociétés à modèle industriel.
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{{article détaillé|Histoire des mathématiques#XXe.C2.A0siècle{{!}}Histoire des mathématiques|Histoire de la mécanique quantique}}
[[File:Eniac.jpg|thumb|150px|L'[[ENIAC]] vers 1947 où le câblage électrique physique établissant le programme du calcul à exécuter utilise un système des « ''[[Fonction logique#Historique|portes logiques]]''» OUI-NON-ET-OU à [[Tube électronique|tubes électroniques]] pour obtenir le "vrai" résultat.]]
{{Gref|G=1|a=Le {{s|XX}} est une période où la modélisation de Newton et sa trilogie « gravité-électricité-magnétisme » laisse la place à la spécialisation théorique. Elle est obtenue par un outillage mathématique, qui permet par le calcul de procéder à la « prédiction du résultat »{{Sfn|Klein|2008|p=86-87}} par des [[loi scientifique|lois scientifiques]] dès le début du {{s-|XX}} plutôt qu'à la « constatation » des siècles précédents ;
Enen ce qui concerne le monde « vrai » et la perception humaine de celui-ci{{Note|groupe=note|nom=n11}}|be=, cette démarche depuis la mise en place des [[Équations de Maxwell]] aboutit à la [[théorie de la relativité]]. Celle-ci restreint{{Note|groupe=L1a|nom=L1ap66,68}} le modèle newtonien à s'appliquer aux objets relatifs à un espace-temps « humain »|FG=1}}. Elle aboutira incidemment{{Sfn|Klein|2008|p=99}} à l'[[Énergie nucléaire|électricité nucléaire]] par la [[Fission nucléaire|fission atomique]] et sa libération de [[Transfert thermique|chaleur]] utilisée, en fait selon les procédés étudiés depuis le {{s-|XIX}}.
 
{{Gref|G=2|a=En {{Date|1918|en science}} en mathématique une démonstration est faite que la physique avec ses lois règles et formes sont indépendantes de la situation dans le temps "historique" d'opération pour montrer un phénomène{{Sfn|Klein|2008|p=96, [[Emmy Noether#Contexte historique|Emmy Noether]]}}|FG=2}}.
 
La mathématique devient « [[Mathématiques appliquées|appliquée]] ». Elle s'emploie par sa formulation à décrire les phénomènes expérimentaux qui passent du « déterminisme absolu de la physique classique» au « [[Principe d'incertitude|déterminisme statistique]] de la mécanique ondulatoire » (probabilité qu'a un électron d'être à tel instant à tel lieu). La mathématique matricielle utilise le « tenseur » et le « torseur » selon son application. Soit à l'« onde » venue de l'antiquité, soit au « [[Constante de Planck|grain d'énergie]] » moderne du [[mécanisation|machinisme-mécanisation]]{{Note|groupe=L39|nom=L39}} ; Cc'est-à-dire soit pour la détermination du « champ » [[Vide (physique)|vide]]{{Sfn|Klein|2008|p=95}} ou bien de la « matière » relativement pleine de particules (égale énergie) mais grandement vide. On pense « [[Électron-volt]] »;
Mais l'image encore véhiculée dans les esprits de ce qu'est la matière au cours du siècle n'est pas différente de celle des particules satellites{{Note|groupe=extrait|nom=L1chap3p199,196}} sur des orbites{{Note|groupe=extrait|nom=L2p312}} dans l'atome de [[Niels Bohr]] ; Elleelle n'est pas l'image plus correcte selon la théorie d'un « nuage volumique » dont les électrons-gouttelettes appareillées sont en même temps « [[Orbitale atomique|là et plus là]] »{{Note|groupe=V|nom=V4}}.
 
Les forces « électro-magnétiques » se dissocient de la force de l'attraction par la « gravité », soit l'[[Interaction élémentaire|interaction]] entre les corps par leur masses, de la plus petite particule à la plus grande de la création.
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===Conduction électrique===
{{Ancre|Conduction électrique au XXeS}}Au {{s-|XX}}, pour la science expérimentale, le siècle débute par la création dans l'esprit scientifique de l'entité magnétique duale de l' « électron »;. Pour la théorisation de 1905 de l'atome, le « magnéton » existe{{Sfn|LarousseL1|1979|p=795, [[Paul Langevin]]}}. Pour les physiciens de la [[science appliquée]] l'électricité s'avère être un flux d'[[électron]]s (une sorte de gaz parfait pour les chercheurs au début du siècle) ou une sorte de « flux » de [[trou d'électron|trous d'électron]]{{Note|groupe=L2|nom=L2p878-880}}. Cette modélisation avec le « tout se passe comme si » fabrique la nouvelle invention pratique de la [[quasi-particule]]. Elle poursuit le thème ancien de l'« électricité positive », bien que les recherches avancent sur les raisons du déséquilibre dans le [[Univers|cosmos]] des répartitions des éléments portant une charge électrique;, Unun « problème » de « déséquilibre » ou de « dissymétrie » des masses électriques déjà perçu dans le premier tiers du {{s-|XIX}}{{Sfn|Raymond|1832|p=491}}.
Pour la Terre et les atomes qui lui sont propre mais aussi dans le reste des planètes on trouve (on voit) de nombreuses particules élémentaires chargées électriquement négativement et pérennes et peu de particules élémentaires apparentes chargées positivement et par ailleurs très éphémères{{Sfn|Klein|2008|p=95}}{{,}}{{Note|groupe=L22|nom=L22p106}}.
 
La vitesse de l'électron qui est donnée par sa trace dans les milieux sans matière cohérente n'est pas confondue avec la [[vitesse de l'électricité]] dans des corps solides ou liquides qui constituent la [[Physique de la matière condensée]]. Ces conductions se font par grain d'énergie indivisible particulaire depuis les travaux avec des tubes cathodiques dans les milieux "« vides" » à partir de 1897 ([[Joseph John Thomson]]);. Mais la conduction utile dans la matière pour le courant électrique qui provient de la variation de champ magnétique, de champ électrique ou de la différence de potentiel se fait selon qu'il est continu{{Note|groupe=extrait|nom=L23p141}} ou alternatif.
 
Avec les possibilités techniques développées au {{s-|XIX}}, les chercheurs affinent les conditions de l'expérimentation en laboratoire au {{s-|XX}}, dès le début de ce dernier : précision de l'usinage des bâtis et des éléments utiles, maîtrise de la température (chaleur traditionnelle et froid nouveau par l'usage d'installations de [[réfrigération|froid industrialisé et froid expérimental]]). La résistance ohmique est étudiée en fonction de la température ambiante de l'élément considéré en fonction de son usage.
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Après l'usage basique de l'éclairage électrique dans les bâtiments en remplacement du gaz explosif{{Note|groupe=note|nom=n24}} à partir de 1880, la « [[force électromotrice]] » et les « [[électricité domestique|courants domestiques]] » continus ou alternatifs, de tensions diverses sont amenés aux usines et aux ateliers d'artisans{{Note|groupe=L6|nom=L6p215}} ainsi qu'aux immeubles de bureaux et d'habitation dans les pays occidentaux. Les tarifs d'époque des sociétés d'électricité tiennent compte du marché et y intègrent la force contre-électromotrice.
 
Le câblage électrique des immeubles est fait essentiellement en parties apparentes sur les murs et plafonds, et au départ le circuit ne comporte que des manettes, des « contacteurs de puissance » (interrupteurs{{Note|groupe=La|nom=cnrtl17}}) et des coupe-circuit « fusibles ». Les câbles utilisés depuis la décennie 1900 sont isolés avec du textile enrobé de caoutchouc et goudron, ils peuvent être torsadés. Un bon nombre de [[courroie]]s de transmission de force aux machines dans les usines sont supprimées par l'introduction des moteurs électriques. En plus de l'usage luxueux du téléphone pour les conversations à distance, la « force électrique » s'utilise dans les habitations. La « prise » de courant murale apparaît vers 1910. Le tournant 1930 de la conception moderne fait apparaître le « tableau électrique » dans l'habitat alors qu'il était de fait présent dans des ateliers{{Note|groupe=L4|nom=L4p33}} depuis le début du siècle;. On distingue alors ce qui fait partie du circuit électrique qui est de la compétence des électriciens, de ce qui est du ressort de l'occupant des lieux{{Note|groupe=La|nom=cnrtl16}}. Les « [[Années folles en France#La forte croissance économique|années folles]] » sont historiquement le symbole de la forte [[Productivisme|croissance économique]] avec le début d'un art de vivre qui est en rupture avec le passé des "« fioritures" ». L'architecture des bâtiments nouveaux tient compte à partir de cette époque des différents éléments de confort apportés par l'énergie électrique.
 
En 1926 l'« Habitat social » allemand avec la [[Cuisine de Francfort|cuisine laboratoire]] démarre pour la première fois l'intégration à l'architecture construite{{Note|groupe=V|nom=V6}} du mobilier (socle bétonné des éléments bas).
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La « maison tout-électrique » avec son chauffage à radiateurs électriques ponctuels sans inertie apparaît en France en 1970 après le premier choc pétrolier. Des essais sont faits de dalles chauffantes (chauffage de base) à résistance électrique dans les grands immeubles.
 
En 1970 la tenue de la qualité de l'air est présente dans les usines vendues clés-en-main construites en exportation ; Elleselles sont une architecture d'image de marque pour les sociétés.
 
Et elles reproduisent la notion de l'architecture « [[Le Corbusier|corbuséenne]] » du bloc central des pièces sanitaires où l'électricité est le moyen d'éclairer ; le « bloc sanitaire » est devenu un objet préfabriqué et placé lors du gros-ouvrage;. <br>L'électricité sert pour aérer et parfois évacuer les sanies. <br>L'hygiène dans les hôpitaux impose l'usage de la climatisation en flux d'air poussé.
 
À partir des années 1975, en Europe, les « ventilations mécaniques contrôlées » prennent place dans les immeubles d'habitation ; Lesles appareils remplacent les extractions naturelles des cuisines et salles de bains avec gaines et boisseaux (des extracteurs de fumée étaient utilisés dans les ateliers respectant les normes d'hygiène au travail).
 
À partir des années 1980, en Europe, la climatisation est un confort "offert" (disponible suivant les plans de promotion immobilière) pour l'habitat ; Desdes « pompes à chaleur » froid/chaud sont aussi mises en place.
 
À partir des années 1980 l'architecture des motels, des gratte-ciels d'habitation, des gares et aérogares utilisent globalement la notion du « bloc » raccordé qui est préfabriqué avec nécessité de disposer d'électricité.
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Fichier:600V CV 5.5sqmm.jpg|Câble d'amenée de basse tension à fils standards (env. 1980).
</gallery>
Les instances territoriales normatives définissent les capacités des personnes à faire{{Note|groupe=note|nom=n2}} et incitent à agir selon leurs plans{{Note|groupe=note|nom=n4}}. Dans les pays industrialisés sont définis les nouveaux métiers de l'électricité. Les commissions internationales négocient les [[norme]]s, elles sont faites dans la perspective de la {{Gref|G=1|a=production en série d'éléments avec des matériaux assortis de procédure d'une sûreté d'emploi ; Ceciceci correspond localement aux contraintes sociales existantes{{Sfn|Fiell|Fiell|2003|p=8}}|FG=1}} différentes par pays. Les [[Commission électrotechnique internationale|Commissions électrotechniques internationales]] existent depuis 1906 ; Elleselles tentent de rendre les pratiques locales utilisables économiquement pour le plus grand nombre (compatibles). En Europe depuis 1950 le câblage d'immeuble est déclaré « conforme » (recevable selon les prescriptions{{Note|groupe=note|nom=n12}} et en France le système de production du bâti comporte les DTU concernant l'électricité.
<gallery mode="packed">
Fichier:Telephone booth in the way of bicycle tracks.jpg|Cabine téléphonique à Bucharest, en bord de piste cyclable. Le plus simple des édifices du mobilier urbain fait pour être électrique depuis le début du {{s-|XX}}.
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Depuis la mise en place des systèmes de « [[sécurité sociale]] » dans les pays occidentaux hors du libéralisme économique pur, « la [[santé]] ne se compte pas » est un slogan établi dans une période longue. Le confort au quotidien des personnes est aussi un facteur pris en compte avec des éléments commercialisés en milieu de siècle. Dans la psychologie de la société de consommation, à l'époque du « tout plastique », on « libère » des contraintes le grand-public y compris par l'usage d'objets comportant l'électricité et l'électronique etc.{{Note|groupe=L7|nom=L7p26-32}}
 
À partir de la fin de siècle l'appréhension du public face aux effets des rayonnements électro-magnétiques est pris en compte généralement : aussi bien dans les espaces hospitaliers pour les patients traités et leur entourage que dans le quotidien avec l'étude des effets de l'usage intensif des téléphones portables{{Note|nom=u14|prétexte=Conséquences pour la santé de l'usage des téléphones portables {{12e}} législature en France, 2002, {{url|http://www.senat.fr/questions/base/2002/qSEQ020700927.html|Sénat (lire en ligne}}, consulté le 25-09-2017) ; |url=http://www.who.int/mediacentre/factsheets/fs193/fr/|libellé=Étude 2014|détails=(site [[OMS]], consulté le 25-08-2017).}} par exemple. L'usage de l'électricité dans la société a particulièrement perturbé le corps par la lumière électrique à volonté (usage dans les élevages d'animaux), par la possibilité du travail de nuit pour l'homme en société industrielle.
Par la capacité à mesurer en fin de siècle avec des outils de la statistique de la santé et des outils de détermination des [[Rythme biologique|rythmes]] de l'organisme, en Occident une « norme » préventive de santé s'établit pour la vie (aussi bien pour les périodes d'éveil que de sommeil). Et en même temps une comparaison est faite des apports entre les différentes médecines (selon les cultures : une approche en continuation de la « [[Philosophie de l'esprit|Philosophie de l'esprit et du psychosomatique]] »).
{{article détaillé|Histoire de la médecine#XXe.C2.A0siècle{{!}}Histoire de la médecine|Radiographie#Histoire{{!}}Radiographie}}
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{{Ancre|Épopée de l'électronique au XXeS}}
{{article détaillé|électronique|Piézoélectricité|Effet photoélectrique}}
[[Image:Triode tube 1906.jpg|150px|thumb|Un des premiers {{Gref|G=1|a=Tubes électroniques triodes [[audion]] inventés par [[Lee De Forest]] en 1906 pour la modulation de la fréquence en ondes radioélectriques{{sfn|Germa|2014|p=266}}|FG=1}}. Edison avait constaté l'effet thermoïonique des filaments de métal mais ne l'avait pas utilisé dans le domaine des circuits avec électronique servant à contrôler des courants électriques;. Par ailleurs ses lampes sont restées à filaments de carbone pour des raisons de sécurité dans l'usage de l'éclairage avec l'incandescence plutôt que celui de la « lumière froide » déjà découverte.]] {{Gref|G=2|a= Le mot « électronique » est créé dans les années 1920 pour se différentier dans la pratique et dans la théorie du concept usuel simple d'« électrique »{{Note|groupe=La|nom=cnrtl9}}|FG=2}}, c'est-à-dire « ayant rapport avec l'[[électricité]] ».
 
L'adjectif « électronique » désigne en général ce qui est « en rapport avec l'[[électron]] » et ses interactions au niveau [[atome|atomique]] et leur [[Potentiel interatomique|forces d'attraction]] intrinsèques. Dans l'usage, le « [[circuit électronique]] » ne peut se séparer du « [[circuit électrique]] » que parce que l'électronique fournit des "sorties" de [[courant électrique|courant]] régulé et/ou de [[tension électrique|tension]] régulée dans la "maille du circuit" par rapport au simple circuit électrique d'électricité à tension électrique plus ou moins constante. Les circuits électroniques sont des circuits où « circule » l'électricité continue ou alternative et dont les configurations sont avec le temps dans une fabrication d'une taille géométrique de plus en plus poussée vers la petitesse, associée à une "taille de logique" de plus en plus grande, prédominante en fin de siècle. (l'[[Amplificateur opérationnel]] a permis à la mathématique « électrifiée » d'exister dans les calculateurs).
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L'effet photoélectrique fut noté en 1839 par l'effet de la lumière sur une électrolyse par [[Antoine Becquerel]]. {{Gref|G=3|a=En 1887 [[Heinrich Hertz]] avec une lampe à arc et deux objets métalliques sous tension{{Note|groupe=La|nom=cnrtl12}} électrique voit se produire des étincelles. En 1899 [[Joseph John Thomson]], le prix Nobel, traduit l'effet photoélectrique par une « émission d'électrons »{{Sfn|Lombry|2005|p=23}}|FG=3}} autrement dit une « émission électronique »{{Note|groupe=La|nom=cnrtl18}}.
 
Des cristaux semi-conducteurs sont découverts en 1874 par [[Ferdinand Braun|Karl Ferdinand Braun]] prix Nobel et il en fait un usage pratique ne nécessitant pas d'autre alimentation électrique dans le premier [[Récepteur à cristal#Historique|récepteur radio]] à [[galène]] en 1906;. Le crystal convertit de l'énergie radioélectrique selon les lois de Maxwell et Herz en énergie électrique, elle-même transformée en énergie mécanique et finalement restituée en énergie sonore.
 
Le prélude des découvertes concernant l'électronique pratique peut être daté en 1873, lorsque [[Frederick Guthrie]] découvre la [[thermoélectricité]] et plus précisément l'[[émission thermoionique]]. Cet effet est confirmé par différent travaux [[Johann Wilhelm Hittorf|J.W.Hittorf]], [[Thomas Edison]], [[Owen Willans Richardson|Owen Richardson]] et mis en application par [[John Ambrose Fleming]] avec l'invention de la diode thermoionique, le premier [[tube électronique]] en 1904. Changement de dimension d'usage par [[Lee De Forest|Lee de Forest]] en 1906 par l'introduction de la lampe « amplificatrice de courant », la triode avec grille métallique.
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[[File:Radionette kurer transi front.png|right|thumb|150px|Le « Radionette » un premier modèle de [[Récepteur radio|poste de radio]] portatif en 1958 produit par le fabricant norvégien '''Radionette''' : un ''transistor''.]]
[[File:Seiko 35A.jpg|thumb|150px|Mouvement à Quartz synthétique de la Seiko Astron 35SQ, 1969, première montre à quartz, japonaise.]]
Des travaux sur les [[semi-conducteur]]s donnent la fabrication de matière en structure de « [[Dopage (semi-conducteur)|cristal dopé]] » par des impuretés, ce lui fait présenter des [[Jonction P-N|jonctions électroniques]] ; Elleselles font du cristal un conducteur dissymétrique. À la suite de cela le [[transistor]] a été inventé le {{date-|23 décembre 1947}} par les Américains [[John Bardeen]], [[William Shockley]] et [[Walter Houser Brattain|Walter Brattain]], chercheurs de la compagnie Bell Téléphone. Ces chercheurs ont reçu pour cette invention le prix Nobel de physique en 1956. {{Gref|G=4|a=En 1958 est inventé le [[circuit intégré]] monolithique{{sfn|Lombry|2005|p=171}}|FG=4}}. Les premiers ''postes récepteurs de radio diffusion portatifs'' sont même, par amalgame, appelés des ''postes à transistors'' puis simplement des « ''transistors'' ».
 
Dès les années 1970, les transistors sont devenus des [[Composant électronique|composants électroniques]] qui ont quasi totalement supplanté les ''tubes électroniques'', sauf pour des applications très particulières. Dans la même période {{Gref|G=5|a=les [[Condensateur (électricité)#Composant électrique ou électronique|condensateurs]] deviennent des [[Condensateur (électricité)#Condensateurs électrolytiques|« capacités » électrochimiques]]{{Sfn|Lefrou|Fabry|Poignet|2013|p=6}}|FG=5}} et facilitent l'implantation des « [[Composant discret|composants discrets]] » (discontinus monofonction) sur des « [[Circuit imprimé#Histoire|cartes électroniques]] ».
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;Grandes évolutions :
Les évolutions du transistor d'origine qui part du traitement du signal se fait avec la technologie numérique. La diversité de puissance demandée donne des formulations très variées, de même que sa mise en circuit avec une logique d'automate. Cela conduira au cours de la deuxième moitié du {{s-|XX}} à deux aspects :
* une miniaturisation et une intégration toujours plus poussée comprenant jusqu'à sa logique de commande numérisée interne, lesquelles permettront des prouesses en termes de puissance de calcul et de capacité de communication des appareils électroniques ; Celacela modélisera le passage au {{s-|XXI}} comme l'époque de la communication sans limites, donnant le siècle de l'abondance d'information{{Note|nom=u31}}. ;
* une capacité à traiter l'électricité servant de vecteur d'énergie (les courants forts) sans intermédiaire électromécanique, comme ceux inventés au {{s-|XIX}} : des [[électroaimant]]s ou éléments à [[effet Joule]] (initialisés par les [[bilame]]s et les [[rhéostat]]s). La mécanique de commande est remplacée par l'[[électronique de puissance]] qui permet toutes les fonctions pour l'objet mécanique.
 
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[[File:Leroy Merlin Greece - Caisses.JPG|right|thumb|150px|[[Caisse libre-service|Zone des caisses]] en grande distribution à partir fin de {{s-|XX}}.]]
Depuis les années 1970, une autre technologie, la [[diode électroluminescente]]{{Note|nom=u28}} fournit de petites sources d'éclairage ponctuelles et multicolores. Les diodes électroluminescentes seront au {{s-|XX}} surtout utilisées pour la {{page h'|Signalisation|signalisation}} des automatismes et machines. (À partir des années 1980, leurs trames constituent des panneaux publicitaires à images animées;, Lala base des grands "écrans vidéos" extérieurs intégrés ensuite un peu partout sur le modèle de modernité des capitales mondiales marquées qui possédaient de la publicité et des journaux déroulants lumineux).
 
À partir de {{Gref|G=2|a=1975, la lumière artificielle éclairant un espace devient une science étudiée par des ingénieurs urbanistes et les sociétés fournisseuses |c=Référence : Brochure technique Philips 1976 -catalogue professionnel lampes à décharge et tubes- éclairage maillé de stades, piscines, halls et usines |be=puis des ingénieurs du bâtiment sur délégation des architectes, essentiellement pour des commerces (et particulièrement les centres commerciaux)|FG=2}}. Et enfin à partir de 1980 les décorateurs dans l'architecture reprennent la main.
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{{Ancre|Transport sur route au XXeS}}Malgré des percées remarquables dans les [[transport en commun|transports en commun guidés]], l’électricité n'a pas supplanté toutes les autres sources d'énergie, faute d'avancées suffisantes dans les systèmes de [[Stockage de l'énergie|stockage de l’électricité]] et de réseau de distribution de l'énergie électrique.
 
Les [[Accumulateur électrique|accumulateurs]] ou batteries sont l'objet des recherches incessantes tout au long des deux derniers siècles, ils n'ont relativement au stockage de charge par des condensateurs pas changé d'échelle de grandeur;. Les dernières technologies de fin de siècle à base de [[lithium]] bien qu'ayant des rapports [[capacité électrique|capacité]] poids et volume fortement plus intéressants utilisent des [[Matière première minérale critique|métaux rares]] disponibles en quantités limitées.
 
L'électricité a été une condition nécessaire à l'existence du [[moteur à allumage commandé]], elle a fourni un confort accru par le « [[démarreur]] », une certaine sécurité avec les « [[clignotant]]s » et l'éclairage avec les « [[phare (automobile)|phare]]s » dès le début du siècle dans le transport automobile. L'électricité en tant qu'énergie de [[Traction (automobile)|traction]] prend une petite place dans le transport sur [[route]], individuel ou collectif, principalement avec les [[véhicule hybride|véhicules hybrides]] (moteur à explosion, moteur électrique) sur la fin de siècle.
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À noter des flottes captives d'entreprise [[Benne à ordures ménagères|véhicules de ramassage d'ordure]] au début du siècle et les camions de livraison de lait en Angleterre.
 
Malgré les excellents [[Rendement (physique)|rendement]]s des moteurs électriques entre 80 et 95 %, le déplacement des véhicules réclame une quantité d'énergie hors de proportion avec le besoin de déplacement exprimé;. Il est comparéecomparé habituellement àau cellebesoin dude chauffage dans l'habitat. L'électrification des moyens de transport non guidés, pour particuliers et entreprises au {{s-|XX}} n'a pas eu lieu ; Elleelle est subordonnée à une [[infrastructure de transport|infrastructure]] alimentation en continu fiable (transport guidé) ou du même ordre que celle de l'alimentation en [[carburant]]s développée dans le courant du {{s-|XX}} ; Cellecelle-ci fut {{Gref|G=2|a=préférée aussi bien pour des raisons économiques que de stratégie d'« indépendance » {{Gref|G=3|dissocié=militaire et|FG=3}} de développement économique des états|c=[https://www.mern.gouv.qc.ca/energie/politique/memoires/20130912_053_Hugo_Tremblay_M.pdf]|FG=2}} concernés.
 
====Véhicules électriques====
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Dans la « peinture expression d'art », essentiellement dans la première moitié du {{s-|XX}}, l'électricité est un thème de modernité figurative ou un thème symbolique ou encore un thème « abstrait »{{Note|groupe=E|nom=E2}}. L'[[expressionnisme]] est une formulation de l'inquiétude ambiante qui comprend dans sa vision tourmentée de la réalité le côté « irraisonnable » de la société des nouvelles techniques « incalculables » (dont l'électricité) ajouté aux nouveaux savoirs scientifiques sur le fonctionnement émotif de l'être humain.
 
La sculpture accentue encore son caractère théâtral par une mise en mouvement la plupart du temps au moyen de l'électricité{{Note|nom=u21|url=http://mediation.centrepompidou.fr/education/ressources/ENS-calder/ENS-calder.html|libellé=« Calder, LES ANNÉES PARISIENNES (1926-1933) »|détails= au Centre Pompidou, 2009. L'histoire des [[mobile (art)|mobiles]] qui démarre dans l'art moderne est référencée de nos jours par ceux d'[[Alexander Calder]] ; Elleelle démarre par [[Marcel Duchamp]] qui a utilisé la motorisation électrique et la sonorisation, (site du musée Pompidou, consulté le 26-09-2017).}} depuis l' « époque [[dada]] » (qui établit son principe de « déraison » après la première guerre mondiale).
 
Dans les Arts plastiques l'« [[Art cinétique]] » l'« [[Art cybernétique]] » l'« [[Art numérique]] » démarrent dans la période 1955-1965. Cela comprend la nouvelle sculpture animée ou bien encore exprime la déformation figée du matériau à la façon d'un instantané photographique. On note pour ce dernier cas l'{{Gref|G=1|a=[[hologramme]] connu depuis 1950 et mis en place de façon artistique spatiale avec des lasers en 1960{{sfn|Germa|2014|p=172}}|FG=1}}, une lumière électrique qui crée un volume apparent. C'est une mise en scène la plupart du temps d'objets constituant une réalité figée et immortalisée.
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{{Ancre|21e siècle}}
===Évolutions sociétales et constats philosophiques===
{{Refnec|Le {{s|XXI}} poursuit le [[XXe siècle|siècle précédent]] où pouvoir royal ou républicain n'est plus forcément distinctif dans la politique;. {{style|Cette situation a ses fondations sur le {{s-|XIX}} dans la tendance de la prise de place importante de l'individu, l'[[individualisme]] sur ses deux aspects non antinomiques le [[respect]] et l'{{Gref|G=|a=[[Égocentrisme|égotisme]]|c=http://cnrtl.fr/definition/égotisme|FG=}}, dans la société d'un pays : une société qui s'applique quelque part}} et "« accompagne" » les individus, qu'ils soient dans leur patrie ou expatriés. Dans leur ensemble les sociétés contemporaines importantes économiquement ont ensuite {{style|déclaré de façon [[Protocole de Kyoto|protocolaire]]}} que l'usage de l'électricité, qui correspond à une des formes de vie en société, est dans la problématique environnementale planétaire. Cette façon de voir a débuté au {{s-|XX}}, et elle prend en compte la totalité de la planète, incidents nucléaires des centrales de production d'électricité compris.|date=2018/8/25|bloc=oui}}
 
Cependant le stockage des combustibles nucléaires des pays producteurs d'électricité {{incise|après un retraitement, pour des raisons de technologie utilisée, délocalisé dans les faits}}, en plus du recyclage des matériaux et sources ponctuelles (transformateurs, accumulateurs et piles, appareils) à échelle mondiale montrent le problème du modèle économique et politique. Il s'agissait au départ de la mise en commun d'un produit qui ne serait qu'un vecteur énergétique, l'électricité. Celle-ci présente une disparité due à de multiples facteurs historiques{{Note|groupe=L23|nom=L23p183}} et méthodiques sur les espaces administrés qui la rend par l'implantation des sources d'énergie et la forme donnée à cette énergie au plan de la réalité semblable aux autres énergies primaires (hydrocarbure et charbon). Malgré la disparité de ses présentations sur le plan physique, elle avait été jugée pouvoir être un produit strictement générique et à partir de là elle fut jugée dans le monde politique être sans usure d'acheminement (comme peut l'être une monnaie). Cependant on constate dans la même période que ce vecteur d'énergie n'est pas en partage réel de risques écologiques globaux ou locaux pour ses scories industrielles directes ou dérivées.
 
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L'énergie électrique fait partie des énergies qui suivent à la fois les lois économiques du marché et les lois physiques de conversion ou reconversion de sources d'énergie du court terme, vues de la production et vues de la consommation. {{Gref|G=1|a=Ainsi les effets de la présence d'énergies naturelles temporaires et non prévisibles devenues « énergie électrique globale » est étudié au {{s-|XXI}}. Des possibilités de la mettre en [[Stockage de l'énergie|réserve]] sur des éléments du réseau pour éviter leur perte physique{{Note|groupe=note|nom=n23}} et l'effet de déstabilisateur économique de système est perçu (en Europe comme aux États-Unis).
 
La production d'électricité en Islande, une île exceptionnelle par ses ressources géothermiques, est dans les faits exportée, et cela sans qu'il soit question de réseau autre que commercial, appuyé sur les usines (de production d'aluminium) ; Elleelle montre l'enchevêtrement des besoins locaux pour les pays, et les choix globaux de positionnement sur le marché mondial{{Note|groupe=R|nom=R1n1067}}.
 
La [[énergie fatale|dissipation]] de ces énergies temporaires au niveau local dont l'échelle de temps va du très court terme économique et énergétique au moyen terme économique et énergétique (2010 en France après la première restructuration en 1990) fait réétudier les pratiques des cycles court et long ([[Gestion de la production#Modes d'organisation de la gestion des flux|flux de production]]), des circuits de proximité et ceux à l'éloignement;
Ils intègrent au mieux la notion de service rendu{{Note|groupe=note|nom=n22}}|be=et réunissent les collectivités locales et leurs divers métiers{{Note|nom=u25|prétexte=En France, comme en Europe, l'obligation de fourniture d'électricité correspond aussi à l'obligation de mise à disposition « régulée » : |url=http://www.saint-martin-de-londres.fr/download/Actualite/cesml_prevenance_risques_hiver_2016-2017.pdf|libellé=communiqué de risque de délestage en 2017 de la Coopérative d'Électricité de Saint-Martin-de-Londres|détails=(consulté le 29-09-2017), Société d'Intérêt Collectif Agricole fondée en 1920 comme [[Entreprise locale de distribution d'électricité et de gaz en France|Entreprise Locale de Distribution]].}}|FG=1}}.
 
La [[gouvernance|manière]] de gouverner par pays se traduit politiquement ; Elleelle consiste sur le moyen-long terme dans lesle choix: de effectuer la préférence pourpréférer une ou des filières de production, (la Chine en 2016 les associe{{Note|nom=u24|url=http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2015/01/10/20002-20150110ARTFIG00021-la-chine-devient-le-plus-gros-investisseur-dans-le-solaire-et-l-eolien.php|libellé=La chine devient le plus gros investisseur dans le solaire et l'éolien|détails=(site Le Figaro, 12/01/2015, consulté le 29-09-2017). L'[[énergie solaire en Chine]] se combine à l'éolien et les {{Gref|G=1|a=nouveaux barrages|c=sur source EDF 2015 : http://escaledenuit.com/2015/06/01/les-10-plus-gros-producteurs-d-energies-renouvelables-au-monde/|FG=1}}.}} et devient le plus gros producteur mondial d'électricité en [[énergie renouvelable]]);
effectuerou d'appliquer un moratoire d'à une technique opératoire (en particulier par le [[Mouvement antinucléaire#XXIe.C2.A0siècle|Mouvement antinucléaire au {{s-|XXI}}]] et la [[Taxe carbone#Taxe carbone, ou mesures fiscales similaires, par pays|Taxe carbone]]). Les solutions espérées pérennes d'accès à l'électricité sont étudiées suivant les contextes de développement de population, de développement économique et de géographie (particulièrement pour l'Afrique{{Note|groupe=R|nom=R1n1279p16}}).
 
;Incidents et black-outs au XXIeS
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{{Ancre|Électricité dans l'Art au XXIeS}}
[[File:Quantum Reality (Large Buckyball around Trees).jpg|thumb|150px|Une sculpture de buckminsterfullerène de {{unité|9|m}} de diamètre réalisée en 2007 par l’ancien physicien {{Lien|fr=Julian Voss-Andreae|lang=en|trad=Julian Voss-Andreae|texte=Julian Voss-Andreae}}.]]
Tout en poursuivant l'usage d'outil fait au {{s-|XX}} de l'électricité, l'électronique, l'informatique dans leur œuvres les artistes retranscrivent les atmosphères créées par le bais de l'éclairage, de la mise en mouvement d'objets, les images... Ainsi la [[lumière noire]] festive des entractes de cinéma, des boîtes de nuit est rappelée pour définir des espaces conjugués avec le son perçu ; Lala création d'atmosphère concerne encore plus fortement l'art hors architecture qu'au moment des créations d'une galerie dans les grandes maisons par les propriétaires du {{s-|XIX}}. On a décoré populairement au {{s-|XX}} par l'objet que l'on possède et on l'a éclairé dans l'habitat ordinaire quotidien; Tout cela fait partie du mouvement général pictural et statuaire qui peut être déclaré être celui du moment, celui continué ou renaissant{{efn|Les styles-mouvements continués ou renaissant après discontinuité sont dits '''« revival '''(en)''' »''' en art contemporain [[Architecture néo-traditionnelle|architectural]], théâtral, pictural et statuaire.}}. Il est de plus en plus fortement directement lié à l'expression située dans l'espace public éclairé et en dehors de l'affichage publicitaire particulièrement par le [[street art]]. Celui-ci valorise maintenant l'espace, sans avoir fait partie du projet d'aménagement initial (après l'avoir un temps déprécié) avec ses différents supports stables ou passants: des murs de création du lieu, des roulottes de chantier de confection du lieu, des camions et wagons passant là ; Maismais ceci reste non appropriable à l'échelle individuelle normale.
 
Des artistes contemporains évoquent l'électricité par sa technologie ou bien ses principes trouvés par la recherche contemporaine (évocation de la dualité onde-particule du [[Fullerène#Inspiration artistique|buckminsterfullerène]] ; sculpture intitulée Quantum Buckyball (2004), composée de fullerènes imbriqués, {{Gref|G=1|a=évocation du cadre de vie incluant la nanotechnologie de la matière et celle de l'électricité par la reproduction d'un PC en une sculpture en céramique ech:1/1|c=Biennale de l'art contemporain Lyon 2015, espace "Off"|FG=1}}).
 
En continuation du mouvement dans les arts plastiques du {{s-|XX}} de l'expérimentation de la technologie ({{lien|langue=en|trad=Experiments in Art and Technology|fr=Experiments in Art and Technology|expérimentation de la technologie}}), des artistes utilisent la technologie électrique et électronique. Certaines de ces œuvres intègrent la personne et son intimité, certaines sont en phase avec le cadre de vie actuel et par là même en deviennent la mémoire à partir des œuvres auxquelles elles se réfèrent{{Note|groupe=note|nom=n9}}.
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{{Note|groupe=note|nom=n7
|texte=En France les sociétés productrices distributrices d'électricité sont rassemblées à la sortie de la deuxième guerre mondiale en un service public, défini comme un [[Établissement public à caractère industriel et commercial en France|Établissement Public à caractère Industriel et Commercial]] aux débuts de la V{{e}} République, [[EDF]];. Cet établissement est devenu société par actions en 2004 à la suite de la mise en place lesdes règles d'interdiction de monopole de la Communauté Européenne.<br />
Pour le Canada, au Québec, une nationalisation est faite hors des motifs de reconstruction d'après guerre ([[Histoire de l'électricité au Québec]]).}}
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{{Note|groupe=note|nom=n12
|prétexte={{Gref|G=1|a={{citation|La norme est née en 1911 sous le titre "Instructions concernant les conditions d’établissement des installations électriques de première catégorie dans les immeubles et leurs dépendances", plus sobrement "publication 137", la norme s’est appelée successivement C 11, NF C 11, USE11 au fil du temps et de son enrichissement technique. C’est en octobre 1956 que la norme devient NF C 15-100, lors du classement méthodique adopté par l’[[Union technique de l'électricité|UTE]], mais la vraie refonte du texte est liée à la publication du décret du 4 novembre 1962 concernant la protection des travailleurs [...] La dernière version date de 1991, révisée par deux amendements en 1994 et 1995.}} InterSection, magazine Scneider-Electric de l'enseignement technologique et professionnel, 2003;. |c=http://geea.org.pagesperso-orange.fr/telechargement/GT_C15100HD.pdf|FG=1}}
|url=http://www.schneider-electric.fr/documents/pageFlip/e8/pdf/chapitre/E8K.pdf
|libellé=La norme française NF
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{{Note|groupe=note|nom=n16
|prétexte=Dans la vie pratique l'usage jusqu'à l'exagération de l'expérimentation avec de l'électricité est tenté (le livre de G. Flaubert [[Bouvard et Pécuchet]] le montre pour tous les aspects de la science dite exacte);. Ainsi en 1874, est utilisée ''L’électricité contre le phylloxéra'', en dernier recours contre une crise agricole importante due à un prédateur, avec une conclusion négative rapportée dans ''La Nature. Revue des sciences et de leurs applications aux arts et à l’industrie'', 1874.
|url=http://cnum.cnam.fr/CGI/fpage.cgi?4KY28.2/131/100/432/0/0
|libellé=lire en ligne
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{{Note|groupe=note|nom=n17
|texte=Pour contraindre les personnes une clôture a été établie en 1906, lors de la guerre russo-japonaise pour des prisonniers;. En 1915 l'armée allemande a électrifié des clôtures le long de la frontière entre la Belgique et les Pays-Bas.}}
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{{Note|groupe=note|nom=n18
Ligne 1 752 ⟶ 1 751 :
|url=http://www.lcp.fr/actualites/en-direct-le-discours-de-politique-generale-dedouard-philippe
|libellé=discours de politique générale
|détails= (site lcp.fr, consulté le 4-07-2017). Pour la France, intention déclarée en 2017 de faire disposer de moyens aux individus afin de communiquer avec les administrations;. Discours de politique générale du Premier ministre 04/07/2017, 15h57 - Chaque citoyen disposerait d'un compte web pour faire le lien avec l'administration.}}
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{{Note|groupe=note|nom=n21
|prétexte=L'intelligence se comprend d'abord comme assistance technique mécanique débutée au {{s-|XX}} puis comme [[intelligence artificielle]] à la place de l'homme au {{s-|XXI}} : {{url|https://lejournal.cnrs.fr/intelligence-artificielle-0|intelligence artificielle}} (site cnrs.fr, consulté le 28-09-2017). La banalisation de cette appellation déjà faite dans le domaine de la communication (qui utilise le son et l'image) est concrétisée comme exemple fort dans le domaine des transports en prise à la réalité du danger. Il s'agit d'une prévision de défaillances techniques avec peu d'objectifs à réaliser dans les véhicules individuels concernant les défaillances humaines qui sont traitées dans les véhicules de transport en commun guidé;. Pour le côté humain, cela touche à la [[wikt:discipline|discipline]] à laquelle on s'astreint et à la [[liberté]] que l'on associe à un principe de plaisir {{url|http://www.cnrs.fr/cw/dossiers/dosrob/accueil/decouvrir/service/vehicule.html|véhicule intelligent}} (site cnrs.fr, consulté le 28-09-2017). {{Gref|G=1|a=Dès 2015 des pôles informatiques de prospection sur le traitement algorithmique de l'information donnée par des capteurs électroniques y travaillent (comme le [[Contrôle d'interdistance d'un convoi de véhicules]] et le [[Programme européen Prometheus]])|c=https://www.lemonde.fr/economie/article/2015/05/16/la-voiture-sans-chauffeur-de-google-autorisee-a-sortir-en-ville_4634631_3234.html|FG=1}}. {{Gref|G=2|a=Ils sont rejoints en 2016 pour le pilotage automatique des véhicules sur route par des constructeurs automobiles en recherche et développement|c=http://www.automobile-entreprise.com/Google-Uber-Volvo-et-Ford-reunis,5018|FG=2}}. }}
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{{Note|groupe=note|nom=n22
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|url=http://www.connaissancedesenergies.org/qu-est-ce-que-l-energie-fatale-121219
|libellé=Connaissance des énergies, définition énergie fatale
|détails=(site connaissancedesenergies.org, consulté le 29-09-2017) ;<br />
*''CDE'' {{url|http://www.connaissancedesenergies.org/de-l-energie-stockee-sous-forme-d-hydrogene-solide-130222|hydrogénation comme stock}} (consulté le 29-09-2017), ''CNRS (thèse)'' {{url|http://gdr-thermoelectricite.cnrs.fr/GDR2007-2010/Contibutions_Caen2007/Tence.pdf|hydrogénation en principe de thermoélectricité atomique}} (consulté le 29-09-2017).
*''TI-Techniques-ingenieur-'' {{url|http://www.techniques-ingenieur.fr/actualite/articles/stockage-solaro-eolien-step-technologie-francaise-denis-payre-36357/|stockage solaro-éolien}} (consulté le 29-09-2017), utilisant le [[Pompage-turbinage]] vu au {{s-|XX}}.}}
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{{Note|groupe=L1a|nom=L1ap26-32
|prétexte={{Chapitre|titre chapitre=Astronomie;. Vers une Renaissance des idées|titre ouvrage=Histoire des sciences |passage=26-32}}.
|id=La Souchère2009|libellé=La Souchère 2009}}
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{{Note|groupe=L1a|nom=L1ap56,57
|prétexte={{Chapitre|titre chapitre=Astronomie;. D'où les étoiles tirent-elles leur énergie?|titre ouvrage=Histoire des sciences}} {{citation|p.56 :...Dès lors que l'on admet que les étoiles...évoluent, on peut s'interroger sur l'origine de leur énergie...On crut un moment que le Soleil tirait son énergie de réactions chimiques ( anté 1700 ).}} <br>
{{citation|p.57 : ...Le problème ne ( sera ) résolu que dans la première moitié du {{s-|XX}}, par [[Arthur Eddington]] notamment, après la découverte de la radioactivité et de l'énergie nucléaire...}}.
|id=La Souchère2009|libellé=La Souchère 2009}}
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{{Note|groupe=L1a|nom=L1ap66,68
|prétexte={{Chapitre|titre chapitre=Astronomie;. La photographie entre en scène;. Einstein contre Newton|titre ouvrage=Histoire des sciences}} {{citation|p.66 : Le premier cliché astronomique, un daguerréotype du Soleil, fut publié en 1845...( Léon Foucault et Hyppolyte Fizeau )...}} <br>
{{citation|p.68 :...Les éclipses et la photographie...( « véritable rétine du savant p.66 » )...ont...permis d'apporter la preuve expérimentale de la déviation des rayons lumineux passant à proximité d'un corps massif, déviation '''prédite''' par la théorie de la relativité d'Einstein.}}.
|id=La Souchère2009|libellé=La Souchère 2009}}
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{{Références|taille=35|groupe=L1b|références=
{{Note|groupe=L1b|nom=L1bp131-142
|prétexte={{Chapitre|titre chapitre=Physique;. L'électromagnétisme|titre ouvrage=Histoire des sciences|passage=131-142}}.
|id=Desit-Ricard2009|libellé=Desit-Ricard 2009}}
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{{Note|groupe=L1b|nom=L1bp151-167
|prétexte={{Chapitre|titre chapitre=Physique;. Le {{s-|XX}}|titre ouvrage=Histoire des sciences|passage=151-167}}.
|id=Desit-Ricard2009|libellé=Desit-Ricard 2009}}
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{{Note|groupe=L1b|nom=L1bp116
|prétexte={{Chapitre|titre chapitre=Physique;. Héritage de Newton et nouveaux concepts|titre ouvrage=Histoire des sciences}} {{citation|p.116 :...Son œuvre...a passionné les philosophes du Siècle des Lumières...tels [[Voltaire]]...[[Jean Le Rond d'Alembert]]...De grands observatoires ( ont ) été bâtis en Europe...Greenwich...Paris...}} <br>
( Mais après Alembert et le {{s-|XVIII}} dans la [[mécanique des fluides]] ){{citation|...Les suisses [[Euler]] et [[Bernoulli]] au {{s-|XIX}}... ( inventent les fonctions mathématiques et traitent ) l'[[Hydrodynamique]]}}.
|id=Desit-Ricard2009|libellé=Desit-Ricard 2009}}
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{{Note|groupe=L1b|nom=L1bp132
|prétexte={{Chapitre|titre chapitre=Physique;. De l'Antiquité au {{s-|XVII}}|titre ouvrage=Histoire des sciences}} {{citation|p.132 : William Gilbert publie "''De Magnete''", croit à la suite de Kepler que la Terre qui est un gros aimant tourne sur elle-même à cause de cela}}.
|id=Desit-Ricard2009|libellé=Desit-Ricard 2009}}
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{{Note|groupe=L1c|nom=L1cp210
|prétexte={{Chapitre|titre chapitre=Chimie;. Le {{s-|XVIII}};. La chimie mécaniste;. La révolution chimique |titre ouvrage=Histoire des sciences}} {{citation|p.210 :...1783 est aussi l'année où l'eau va cesser d'être un élément [''[[phlogistique]]'' mécaniste]. [[Antoine Lavoisier|Lavoisier]]...a obtenu de l'eau...en faisant éclater une étincelle électrique dans un mélange d'oxygène et d'hydrogène contenus dans des caisses pneumatiques, ce qui permet des mesures quantitatives}}.
|id=Lécaille2009|libellé=Lécaille 2009}}
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{{Note|groupe=L1c|nom=L1cp180,182,193,210
|prétexte={{Chapitre|titre chapitre=Chimie;. La période hellénistique et la naissance de l'alchimie|titre ouvrage=Histoire des sciences}} {{citation|p.180 : ...On retrouve chez les alchimistes cette formule "UnLe Tout" symbolisant l'unité du monde, l'unité de la matière, l'unité de l'œuvre...( p.182 ) L'astrologie aura une influence importante sur la théorie alchimique...( p.193 ) Les « principes actifs » de Newton dans son « Optique » [pour] l'attraction entre les particules dans les composés sont des concepts dont l'origine est à chercher dans ses convictions alchimiques...( p.210 ) L'"élément" chez [[Antoine Lavoisier|Lavoisier]] est ce que nous appelons un "corps simple", c'est l'expérience, l'opération d'analyse, qui permet de le définir [et réalise la révolution de l'alchimie à la chimie scientifique]}}.
|id=Lécaille2009|libellé=Lécaille 2009}}
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{{Références|taille=35|groupe=L1d|références=
{{Note|groupe=L1d|nom=L1dp581
|prétexte={{Chapitre|titre chapitre=Prix Nobel;. Chronologie des Prix Nobel;. Physique|titre ouvrage=Histoire des sciences|passage=581}}.
|id=Beugniez2009|libellé=Beugniez 2009}}
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{{Note|groupe=L1d|nom=L1dp529,530
|prétexte={{Chapitre|titre chapitre=Prix Nobel;. Physiologie ou médecine;. Les atouts de l'organisme|titre ouvrage=Histoire des sciences}} {{citation|p.529-530 : Les neurones...[[Camillo Golgi]] visualise les neurones moteurs en 1906 ... 1932 [[Charles Sherrington]] et [[Edgar Douglas Adrian]] découvrent leur mécanisme fonctionnel chimique entre le sensoriel et le moteur [''du à l'électricité mise en évidence à l'aide de d'appareils électroniques'']... 1944 [[Joseph Erlanger]] et [[Herbert Gasser]] prouvent la « fonction hautement différenciée des nerfs » avec le seuil d'excitabilité lié à la fréquence de l'influx nerveux...1939 début de la caractérisation de l'influx avec son phénomène ionique par la caractérisation du courant électrique en tension et intensité par [[John Eccles]], [[Alan Hodgkin]] et [[Andrew Huxley]] prix Nobels en 1963. [''Différenciation entre [[Motoneurone|motricité]] et [[Nerf sensitif|sensations]]'']}}.
|id=Beugniez2009|libellé=Beugniez 2009}}
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{{Note|groupe=L3|nom=L3p12-136
|prétexte=p.12 : La science des nombres et de l'espace : {{citation|( L'utilité a conduit aux notions de nombre avec la numération pour distinguer dans la communication orale concernant les objets ce qu'est leur chiffrage d'avec la désignation d'entité par leur nature, soit quantité-qualité(s) ) p.13 :...Dans l'Antiquité, les Grecs désignaient sous le nom de mathématique tout l'ensemble des connaissances et, pendant très longtemps, ce mot est employé au singulier. On peut donc dire qu'à l'origine, elle était ''la science'' par excellence. Puis, peu à peu, son sens s'est restreint. Pour [[Descartes]], on ne doit {{citation|rapporter aux mathématiques que toutes choses dans lesquelles on examinera l'''ordre'' ou la ''mesure''.}} Pour [[d'Alembert]], c'est {{citation en fin de citation|la science qui a pour objet les propriétés de la grandeur.}}}}<br />
p.14 :{{citation|...l'activité [''moderne''] oblige à travailler sur des corps qui se déplacent ou se modifient ; aussi pour avoir des notions précises sur le '''mouvement''' et le '''changement''' est inventé le '''calcul infinitésimal'''...}}<br />
p.126 : Trois grands mathématiciens : {{citation|...p.130 : ...( Newton et les débuts du calcul infinitésimal par des [[différentielle]]s )...p.134-135-136 : ...[[Karl Friedrich Gauss]]...en 1799 apporta la première démonstration sans faille de ce qui est connu sous le nom de « théorème fondamental de l'algèbre », à savoir que toute équation algébrique a une solution...Mais il ne s'intéressait pas qu'aux mathématiques pures, et nombreuses sont aussi les applications pratiques qu'il a su tirer des théories abstraites... En collaboration étroite avec le physicien [[Wilhelm Eduard Weber|Wilhelm Weber]], il accomplit des travaux en électricité et en magnétisme, domaine dans lequel son influence a été particulièrement puissante. C'est ainsi qu'il étudia le [[Magnétisme animal|magnétisme]] de la [[:Catégorie:Géomagnétisme|terre]] et d'après ses observations et ses calculs, '''prédit''' l'endroit où devait se trouver le pôle sud. Par la suite les navigateurs devaient constater que ses prévisions étaient exactes. Il inventa également une sorte de ''[[Magnétomètre]]''...}}
|id=Adler1961|libellé=Adler 1961.}}
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{{Note|groupe=L6|nom=L6p191
|prétexte=p.191 : {{citation| Accroissement de la population en millions d'habitants entre 1800 et 1910 ( Crise de logement croissante ) pour :<br />*l'Allemagne de 25 à 65 ; <br />*la Grande-Bretagne de 16 à 46 ; <br />*la France de 37 à 39 ; <br />*la Russie de 33 à 140 ; <br />*les U.S.A de 6 à 83.}}
|id=PloetzStierLudatPollmuller1957|libellé=Ploetz ''et al.'' 1957.}}
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{{Note|groupe=L6|nom=L6p215
|prétexte=p. 215 : {{citation|...Essor économique avant la première guerre mondiale : Essor rapide de l'économie grâce à l'expansion du capital européen et américain...Le développement des sciences et des techniques semble offrir des possibilités de progrès illimitées ; cette évolution est un moment stoppée par la catastrophe que fut la première guerre mondiale.}}<br />
p. 216 : {{citation|...Emprise du monde industriel : dans la plupart des pays européens, comme en Amérique, s'opère une migration des travailleurs agricoles vers les centres industriels.}}
|id=PloetzStierLudatPollmuller1957|libellé=Ploetz ''et al.'' 1957.}}
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*Livre {{Harvsp|Cattelin|Bourdreux|Langrand|Moreno|2006|texte=L46}} (IREM Orléans Cabinet de curiosité)
{{Références|groupe=L46|références=
{{Note|groupe=L46|nom=L46|id=CattelinBourdreuxLangrandMoreno2006|libellé=Cattelin et al. 2006|prétexte=Dans l'inventaire réalisé en 1786 de la collection faite sous l'impulsion de [[Joseph-Aignan Sigaud de Lafond|Sigaud de Lafond]], quatre-vingt-dix objets sont référencés et estimés... Ces objets permettent d'expérimenter aussi bien la matière que l'« immatériel » ; Parpar exemple le déchargement électrique obtenu par un éclair entre deux personnes de sexe opposé s'appelle désormais le « coup de foudre » amoureux, il est obtenu au moyen d'une boule en verre tournante frottée.}}.
}}