« Sadisme et masochisme au cinéma » : différence entre les versions

* ''[[Didier (film)|Didier]]'' : un labrador est transformé en être humain, psychologiquement, Didier reste un chien et Alain Chabat tient le rôle du chien. Rappelons qu’Alain Chabat s’était déjà prêté à un rôle de jument dans le film ''Prête-moi ta main''{{Précision nécessaire|texte=Streff intègre ce film dans son analyse de régression masochiste ?}}.

* ''Un mari en laisse'' (Henri Levin – 1962) : Micheline Presle traite son époux en chien, apprendre à marcher comme un chien tenu en laisse, la patte levée pour se soulager{{Précision nécessaire|texte=il est nécessaire de préciser que Streff analyse ce film comme une régression masochiste}}<ref>{{harvsp|Streff|1990|p=230}}.</ref>.