{{refnec|Pour le cathare, Dieu étant absent de ce monde, le Bien se confond avec le spirituel et le monde matériel est vu comme mauvais. Non seulement le cathare ne doit pas participer à ce monde matériel en ayant des enfants ce qui reviendrait pour lui à emprisonner une âme dans un corps créé par le principe Mauvais, mais le corps, le plaisir sexuel sont aussi mauvais : la sexualité est une impureté<ref>{{Chapitre|langue=francais|auteur1=Michel Roquebert|titre chapitre=Mouvement et doctrine cathares. L’exemplarité de Montségur (1204-1244)|auteurs ouvrage=Gabriel Audisio|titre ouvrage=Religion et exclusion (XIIe-XVIIIe siècle)|lieu=Aix-en-Provence|éditeur=Presses universitaires de Provence|année=2001|pages totales=218|isbn=9782853994910|lire en ligne=https://books.openedition.org/pup/6780?lang=fr|passage=p 41-48}}</ref>.
