« Bob Denard » : différence entre les versions
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=== Un mercenaire anticommuniste ===
Robert Denard est fils d'un militaire (Léonce Denard) des [[troupes coloniales]]<ref>[http://www.humanite.presse.fr/journal/1999-05-04/1999-05-04-288925 Article paru dans ''l'Humanité'' en 1999]</ref>. À 16 ans, en octobre 1945, il s'engage dans la marine et rejoint l'école des apprentis mécaniciens de [[Saint-Mandrier-sur-Mer|Saint-Mandrier]]<ref>anciens col bleus et pompons rouges, rubrique E.A.M.F</ref>. Breveté matelot mécanicien, il part ensuite comme volontaire pour l'[[Indochine française|Indochine]] en tant que matelot seconde classe. Les modalités de son passage de la spécialité de mécanicien à celle de fusilier marin restent inconnues. Devenu quartier-maître dans les fusiliers marins en Indochine, il quitte l'armée en [[1952]] après une altercation dans un bar<ref>{{Lien web
|url=https://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3224,36-967276@51-966822,0.html|titre=Bob Denard a toujours agi pour le compte de l'État français|auteur=François Béguin|année=15 octobre 2007|éditeur=LeMonde.fr|consulté le=28 octobre 2008}}</ref> et accepte une place de conducteur d'engins et de mécanicien au [[Maroc]]. Il entre ensuite dans la police de ce pays qui se trouve toujours sous [[protectorat]] [[France|français]].
À partir des [[années 1960]], anticommuniste convaincu{{référence nécessaire}}, il intervient dans les tumultueux conflits post-[[Colonialisme|coloniaux]]. Il participe à des opérations militaires impliquant des mercenaires au [[Yémen]], en [[Iran]], au [[Nigeria]], au [[Bénin]], au [[Gabon]] (où il est instructeur de la garde présidentielle), en [[Angola]] en 1975, au [[Cabinda]] en 1976, au [[République démocratique du Congo|Zaïre]] et aux [[Comores (pays)|Comores]].
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