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** Ro, sco (Donne, frappe)<ref group=OBM name="J"/>{{,}}<ref> Cette devise est construite en jeu de mots avec le nom de la ville : Ro (donne) et Sco (Frappe) et sa simplicité a séduit certains auteurs. Néanmoins, selon H. Tausin, elle n'a pas été portée.</ref>
* [[Rouen]] : Civitas populusque Rothomagensis (La cité et le peuple rouennais)<ref> Rouen n'a pas de devise héraldique. On trouve, en revanche, de nombreuses inscriptions latines qui désignent simplement la ville sur le modèle romain, au revers de pièces de monnaie frappées sous la [[Restauration française|Restauration]]. « Revue munismatique » (éditions ''Les Belles Lettres'' ; 1909). « Bulletin de la commission des antiquités de la Seine-maritime » (1971 ; {{p.|122}}). On rencontre aussi les légendes du type « Sigillum communie urbis rothom[agensis] » ; ou encore : « Sigillum majoris urbis rhotom[agensis] » qui accompagnent sur les actes municipaux le sceau officiel de la ville, écusson à « l'agneau pascal » [N. Périaux : ''Histoire sommaire et chronologique de la ville de Rouen (1874 ; {{p.|144}} </ref>
*[[Royan]] : Ne m'oubliez<ref>{{Lien web|titre=Les origines du blason de Royan|url=https://www.ville-royan.fr/histoire-de-royan.html?id=215|site=www.ville-royan.fr|consulté le=2019-01-21}}</ref>
* {{Référence nécessaire|[[Royan]] : Ne m'oubliez|date=juillet 2011}}
* [[Rumilly (Haute-Savoie)|Rumilly]] : Et capoë ! (Et alors !)<ref group=HT name="N2">{{p.|88}}</ref>{{,}}<ref> La formule savoyarde, écrit H. Tausin, s'écrit plus couramment : « Et capoé ! » (Et quand bien même !) Cette devise officielle serait la réponse des habitants assiégés en 1630 par l'armée française et qui ne voulurent pas se rendre à l'injonction malgré les prises annoncées de [[Chambéry]] et d'[[Annecy]] (J.F. Croisollet (« Histoire de Rumilly » (1869 ; {{p.|96-100}}). Selon une note de C. Burnod, ce serait une sentinelle nommée Marcoz d'Hècle qui aurait répondu. </ref>