« Georges Radet » : différence entre les versions
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Après avoir étudié à l'[[École normale supérieure (Paris)|École normale supérieure]], il passe avec succès l'agrégation en 1884 et rejoint cette même année l'[[École française d'Athènes]]. Spécialiste de l'Asie, il voyage à de nombreuses reprises sur le continent et soutient en 1892 sa thèse de doctorat sous le titre : ''La Lydie et le monde grec au temps de Mermnades, 687-546''<ref>[http://www.sudoc.fr/082756538 Notice n{{°}}082756538] sur le SUDOC</ref>.
Entre 1888 et 1934, il enseigne à la faculté de lettres de l'[[université de Bordeaux]], faculté dont il sera doyen de 1899 à 1919<ref>{{ouvrage|langue=|prénom1=François|nom1=Cadilhon|prénom2=Bernard|nom2=Lachaise|prénom3=Jean-Michel|nom3=Lebigre|préface=Anne-Marie Cocula|titre=Histoire d'une université bordelaise|sous-titre=Michel de Montaigne, faculté des arts, faculté des lettres, 1441-1999|volume=1|passage=83|lieu=Talence|éditeur=Presses universitaires de Bordeaux|lien éditeur=|année=1999|pages totales=221|isbn=2-86781-241-0|lire en ligne={{Google Livres|-laRyNUF_h8C}}|consulté le=6 mai 2013}}</ref>.
Il est membre correspondant de l'[[Académie des inscriptions et belles-lettres]] en 1904, élu le 13 novembre 1925 membre libre de l'[[Académie des inscriptions et belles-lettres]]<ref>Marcel Aubert, ''Éloge funèbre''.</ref>.
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